14046 shaares
Sur Internet, le logiciel privateur n'est pas la seule façon de perdre votre liberté. Le logiciel en tant que service est un autre moyen de donner à un tiers le pouvoir sur votre informatique.
Contexte : comment le logiciel privateur vous enlève votre liberté
La technologie numérique peut vous donner la liberté ; elle peut aussi vous la prendre. Le contrôle que nous avons de notre informatique a d'abord été menacé par le logiciel privateur : logiciel sur lequel les utilisateurs n'ont pas la main parce que le propriétaire (une société, comme Apple ou Microsoft) le contrôle. Les propriétaires se servent souvent de ce pouvoir injuste en insérant des fonctionnalités malveillantes comme les logiciels espions, les portes dérobées [backdoors], et les dispositifs de « gestion numérique des restrictions », ou DRM, qu'ils nomment « gestion numérique des droits » dans leur propagande.
Notre solution à ce problème est de développer le logiciel libre et de rejeter le logiciel privateur. « Logiciel libre » signifie que vous, en tant qu'utilisateur, avez quatre libertés essentielles : (0) exécuter le programme comme vous le souhaitez, (1) étudier et changer le code source comme vous le souhaitez, (2) redistribuer des copies exactes, et (3) redistribuer des copies de vos versions modifiées (voir la définition du logiciel libre).
Avec le logiciel libre, nous, les utilisateurs, récupérons le contrôle de notre informatique. Les logiciels privateurs continueront d'exister, mais nous pouvons les exclure de nos vies et beaucoup d'entre nous l'ont déjà fait. Cependant, le contrôle que nous avons de notre informatique est actuellement la cible d'une nouvelle menace : le logiciel en tant que service. Pour notre liberté, nous devons le rejeter également.
Contexte : comment le logiciel privateur vous enlève votre liberté
La technologie numérique peut vous donner la liberté ; elle peut aussi vous la prendre. Le contrôle que nous avons de notre informatique a d'abord été menacé par le logiciel privateur : logiciel sur lequel les utilisateurs n'ont pas la main parce que le propriétaire (une société, comme Apple ou Microsoft) le contrôle. Les propriétaires se servent souvent de ce pouvoir injuste en insérant des fonctionnalités malveillantes comme les logiciels espions, les portes dérobées [backdoors], et les dispositifs de « gestion numérique des restrictions », ou DRM, qu'ils nomment « gestion numérique des droits » dans leur propagande.
Notre solution à ce problème est de développer le logiciel libre et de rejeter le logiciel privateur. « Logiciel libre » signifie que vous, en tant qu'utilisateur, avez quatre libertés essentielles : (0) exécuter le programme comme vous le souhaitez, (1) étudier et changer le code source comme vous le souhaitez, (2) redistribuer des copies exactes, et (3) redistribuer des copies de vos versions modifiées (voir la définition du logiciel libre).
Avec le logiciel libre, nous, les utilisateurs, récupérons le contrôle de notre informatique. Les logiciels privateurs continueront d'exister, mais nous pouvons les exclure de nos vies et beaucoup d'entre nous l'ont déjà fait. Cependant, le contrôle que nous avons de notre informatique est actuellement la cible d'une nouvelle menace : le logiciel en tant que service. Pour notre liberté, nous devons le rejeter également.