14046 shaares
Une conscience de classe – ou plutôt de corporation – est en train de naître chez les auteurs·trices. Je ne vais pas m’en plaindre : c’est une excellente chose que celles et ceux qui, par leurs créations, alimentent une industrie plutôt florissante comprennent qu’il faille se serrer les coudes et cesser de se faire marcher sur les pieds (assez de métaphores anatomiques pour aujourd’hui).