14046 shaares
La crise du politique institutionnel est évidente, partout dans le monde. La fonction de la révolution numérique dans cette crise est double : le numérique participe aux causes de la crise et il contient les potentiels de sa solution.
Le phénomène des civic tech, les applications de citoyenneté numérique, se situe a priori du côté des solutions (voir une étude de la Knight Foundation). Mais ce n’est pas si simple car les civic tech sont impactées par l’ambivalence des problèmes et des solutions dans les technologies actuelles. Je propose de distinguer les formes « descendantes » (top down) de participation numérique aux institutions et les formes « remontantes » (bottom up) d’activisme numérique disséminé.
Le phénomène des civic tech, les applications de citoyenneté numérique, se situe a priori du côté des solutions (voir une étude de la Knight Foundation). Mais ce n’est pas si simple car les civic tech sont impactées par l’ambivalence des problèmes et des solutions dans les technologies actuelles. Je propose de distinguer les formes « descendantes » (top down) de participation numérique aux institutions et les formes « remontantes » (bottom up) d’activisme numérique disséminé.