14046 shaares
Grand jour aujourd’hui pour les Communs de la culture : Le célèbre Boléro de Ravel entre (enfin) dans le domaine public !
Et c’est tout un symbole pour le droit d’auteur vu la rocambolesque histoire de son héritage (voir la vidéo d’Antoine Defoort ci-dessous).
Cela ne signifie pas que vous pouvez prendre n’importe quel enregistrement du Boléro et en faire ce que vous voulez, car il faut tenir compte du droit voisin des interprètes de cet enregistrement (le chef d’orchestre, les solistes, les musiciens d’accompagnement, l’arrangeur, l’éditeur...).
Cela signifie par contre qu’il n’y a plus d’autorisation à demander aux (étranges) ayants droit (moyennant finances) pour l’interpréter.
Sauf que, aussi étrange que cela puisse paraître, il y a encore un obstacle : la partition, qui appartient à l’éditeur et que vous devez obligatoirement déclarer si votre interprétation est publique.
Et c’est tout un symbole pour le droit d’auteur vu la rocambolesque histoire de son héritage (voir la vidéo d’Antoine Defoort ci-dessous).
Cela ne signifie pas que vous pouvez prendre n’importe quel enregistrement du Boléro et en faire ce que vous voulez, car il faut tenir compte du droit voisin des interprètes de cet enregistrement (le chef d’orchestre, les solistes, les musiciens d’accompagnement, l’arrangeur, l’éditeur...).
Cela signifie par contre qu’il n’y a plus d’autorisation à demander aux (étranges) ayants droit (moyennant finances) pour l’interpréter.
Sauf que, aussi étrange que cela puisse paraître, il y a encore un obstacle : la partition, qui appartient à l’éditeur et que vous devez obligatoirement déclarer si votre interprétation est publique.