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GAFAM
JUILLET & AOÛT 2017
C’est la rentrée, et puisque durant 2 mois je n’ai rien diffusé via mon inséparable shaarli, je me rattrappe avec cette « petite » sélection :
C’est la rentrée, et puisque durant 2 mois je n’ai rien diffusé via mon inséparable shaarli, je me rattrappe avec cette « petite » sélection :
Faire connaître et promouvoir :
- la culture libre
- les alternatives aux GAFAMs
- les distributions GNU/Linux & les logiciels libres
- les alternatives politiques & économiques
- les licences & les matériels libres
Voici donc les sujets abordés dans le présent Autonews ... surtout lorsqu’ils sont « croisés » 🙂
http://autonews.sam7.blog/?type=archive
- la culture libre
- les alternatives aux GAFAMs
- les distributions GNU/Linux & les logiciels libres
- les alternatives politiques & économiques
- les licences & les matériels libres
Voici donc les sujets abordés dans le présent Autonews ... surtout lorsqu’ils sont « croisés » 🙂
http://autonews.sam7.blog/?type=archive
Faire connaître & promouvoir les alternatives aux GAFAMs (Vous connaissez sans doute Google, Apple, Facebook, Amazon : se sont les quatre grandes firmes américaines (nées dans les dernières années du xxe siècle ou au début du xxie siècle sauf Apple créé en 1976) qui dominent le marché du numérique, parfois également nommées les Big Four. Ce sigle, cependant, tend à être abandonné au profit du sigle GAFAM, le M signifiant Microsoft. Leur puissance tend à être contestée par les Natu) : Voici donc les sujets abordés dans le présent Autonews 🙂
http://autonews.gafam.fr/?type=archive
http://autonews.gafam.fr/?type=archive
Google et Facebook versus #FakeNews : de la fabrique de l’information vers la fabrique d’opinion ? |
La chasse aux fake news est un thème en vogue, qui travaille les sphères politiques, mais pas seulement. Ainsi, alors que le sujet « fausse information » n’a toujours pas été traité de façon intelligente, collégiale et réfléchie, Google et Facebook l’ont déjà plié à leurs propres intérêts.
Sans que personne n’y retrouve à redire ou ne vienne contester cette nouvelle hégémonie des deux plus importantes entreprises californiennes de portée planétaire sur — excusez du peu — la « vérité ». Observation de la « fabrique de l’opinion » par le moteur de recherche internet aux 90% de parts de marché et du réseau social aux 1 milliard 500 millions comptes [plus ou moins] actifs.
Sans que personne n’y retrouve à redire ou ne vienne contester cette nouvelle hégémonie des deux plus importantes entreprises californiennes de portée planétaire sur — excusez du peu — la « vérité ». Observation de la « fabrique de l’opinion » par le moteur de recherche internet aux 90% de parts de marché et du réseau social aux 1 milliard 500 millions comptes [plus ou moins] actifs.
Paris, 5 avril 2017 — Les plateformes de vidéos en ligne (Youtube et Facebook en tête) supplantent maintenant la télévision en nombre d'audiences, rendant ces médias extrêmement importants dans la représentation de la société qu'ils fournissent. Elles constituent un espace public d'expression, régi par des sociétés privées, et permettant à de nombreuses personnes, cultures, sous-cultures, groupes sociaux d'exister, d'échanger et d'être vus. Il existe bien entendu des initiatives et des alternatives libres, mais aucune d'entre elles ne peut prétendre à atteindre le niveau de présence de ces plateformes.
Google vient de lancer un nouvel espace dans lequel l'entreprise américaine prsente tous ses projets open source. C'est aussi l'occasion pour la société de détailler sa manière de travailler avec l'open source.
Nous avons la chance d’être autorisés à traduire et publier un long article qui nous tient à cœur : les idées et analyses qu’il développe justifient largement les actions que nous menons avec vous et pour le plus grand nombre.
Non, nous n’allons vous parler de fibres (quoique). C’est du transit d’Internet que nous allons parler. Ou plutôt, nous allons laisser Stéphane Bortzmeyer en parler.
Son article nous a séduits, aussi bien par la thématique abordée (on ne se refait pas, quand les GAFAM menacent l’avenir d’Internet, on aime bien que ce soit dit 😃) que par son aspect didactique, truffé d’hyperliens permettant à tout un chacun de le comprendre. Nous le reproduisons ici, avec son aimable permission et celle de la licence (libre, bien sûr) de l’article, la GFDL et avec quelques photos en plus (dont un chaton, je viens de dire qu’on ne se refaisait pas 😁).
Stéphane Bortzmeyer est bien connu du milieu technique pour ses articles sur les RFC (Request For Comments) et autres articles techniques plutôt que pour des textes à destination de la famille Dupuis-Morizeau mais ses fiches de lecture pourraient bien les intéresser.
Son article nous a séduits, aussi bien par la thématique abordée (on ne se refait pas, quand les GAFAM menacent l’avenir d’Internet, on aime bien que ce soit dit 😃) que par son aspect didactique, truffé d’hyperliens permettant à tout un chacun de le comprendre. Nous le reproduisons ici, avec son aimable permission et celle de la licence (libre, bien sûr) de l’article, la GFDL et avec quelques photos en plus (dont un chaton, je viens de dire qu’on ne se refaisait pas 😁).
Stéphane Bortzmeyer est bien connu du milieu technique pour ses articles sur les RFC (Request For Comments) et autres articles techniques plutôt que pour des textes à destination de la famille Dupuis-Morizeau mais ses fiches de lecture pourraient bien les intéresser.
Ce n’est pas vraiment un tutoriel que je vais proposer dans ce qui suit mais plus une série de conseils, de bon sens mais qui semblent échapper à beaucoup d’utilisateurs de smartphones.
L’idée m’est venue en lisant un article sur Zataz sur les petits problèmes d’Apple avec un groupe de pirates nommé Turkish Crime Family. Ceux-ci menacent apple de supprimer des millions de comptes icloud. Accessoirement, de nouvelles stars se sont encore fait piratées des photos très privées sur leur compte icloud. Je me suis demandé alors, comment on peut être assez con pour laisser trainer des photos très privées sur des comptes de cloud, après tout ce qui est arrivé à d’autres stars. Mais c’est connu, « ça n’arrive qu’aux autres ».
L’idée m’est venue en lisant un article sur Zataz sur les petits problèmes d’Apple avec un groupe de pirates nommé Turkish Crime Family. Ceux-ci menacent apple de supprimer des millions de comptes icloud. Accessoirement, de nouvelles stars se sont encore fait piratées des photos très privées sur leur compte icloud. Je me suis demandé alors, comment on peut être assez con pour laisser trainer des photos très privées sur des comptes de cloud, après tout ce qui est arrivé à d’autres stars. Mais c’est connu, « ça n’arrive qu’aux autres ».
Durant des années, j’ai milité en faveur des logiciels libres, des œuvres libres, des contenus libres, des licences Creative Commons… mais je m’interroge désormais sur le bien-fondé de mon engagement.
Dans libre, on doit entendre libre d’être utilisé, étudié, modifié, transmis… La liberté d’utiliser et de transmettre implique la possible gratuité (en ce sens qu’une œuvre libre peut être commercialisée, tout en restant accessible gratuitement — c’est le cas de mon Geste qui sauve).
Longtemps, j’ai souhaité que le plus grand nombre possible de contenus soient libres. Mais pourquoi cette volonté, quelle était mes raisons ?
Dans libre, on doit entendre libre d’être utilisé, étudié, modifié, transmis… La liberté d’utiliser et de transmettre implique la possible gratuité (en ce sens qu’une œuvre libre peut être commercialisée, tout en restant accessible gratuitement — c’est le cas de mon Geste qui sauve).
Longtemps, j’ai souhaité que le plus grand nombre possible de contenus soient libres. Mais pourquoi cette volonté, quelle était mes raisons ?
Coalition for better ads, le collectif de publicitaires et d'acteurs importants du web (Google, Facebook) qui veut améliorer la publicité en ligne, a rendu les premiers résultats de ses analyses sur les formats jugés les plus intrusifs par les internautes.
Décriée de longue date pour son manque de protection en matière de données personnelles, la messagerie Google Allo n'arrange pas son cas avec la dernière découverte de Recode. L'appli peut dévoiler par erreur votre historique de recherche à votre interlocuteur.
À l’occasion du 28e anniversaire du World Wide Web, son inventeur Tim Berners-Lee a publié une lettre ouverte dans laquelle il expose ses inquiétudes concernant l’évolution du Web, notamment la perte de contrôle sur les données personnelles, la désinformation en ligne et les enjeux de la propagande politique.
Aral Balkan, qui n’est plus à présenter sur ce blog, lui répond par cet article en reprenant le concept de Capitalisme de surveillance. Comment pourrions-nous arrêter de nous faire exploiter en coopérant avec des multinationales surpuissantes, alors que cela va à l’encontre de leurs intérêts ? Réponse : c’est impossible. À moins de changer de paradigme…
Aral Balkan, qui n’est plus à présenter sur ce blog, lui répond par cet article en reprenant le concept de Capitalisme de surveillance. Comment pourrions-nous arrêter de nous faire exploiter en coopérant avec des multinationales surpuissantes, alors que cela va à l’encontre de leurs intérêts ? Réponse : c’est impossible. À moins de changer de paradigme…
Pour s'opposer au monopole galopant de Google et d'Android en Europe, des entreprises concurrentes déposent une nouvelle plainte auprès de la Commission Européenne. Parmi les opposants, on trouve Qwant, moteur de recherche français, et Axel Springer, groupe média allemand.
Un utilisateur de Facebook rapporte 80$ de revenus publicitaires par an à Facebook. C’est une moyenne. Un utilisateur très assidu en rapporte plus.
In fine, Facebook dégage un bénéfice net de 10 milliards de dollars par an, principalement issu des revenus publicitaires.
Le prix à payer pour le service est :
In fine, Facebook dégage un bénéfice net de 10 milliards de dollars par an, principalement issu des revenus publicitaires.
Le prix à payer pour le service est :
En quelques années à peine s’est élevée dans une grande partie de la population la conscience diffuse des menaces que font peser la surveillance et le pistage sur la vie privée.
Mais une fois identifiée avec toujours plus de précision la nature de ces menaces, nous sommes bien en peine le plus souvent pour y échapper. Nous avons tendance surtout à chercher qui accuser… Certes les coupables sont clairement identifiables : les GAFAM et leur hégémonie bien sûr, mais aussi les gouvernements qui abdiquent leur pouvoir politique et se gardent bien de réguler ce qui satisfait leur pulsion sécuritaire. Trop souvent aussi, nous avons tendance à culpabiliser les Dupuis-Morizeau en les accusant d’imprudence et de manque d’hygiène numérique. C’est sur les utilisateurs finaux que l’on fait porter la responsabilité : « problème entre la chaise et le clavier », « si au moins ils utilisaient de mots de passe compliqués ! », « ils ont qu’à chiffrer leur mails », etc. et d’enchaîner sur les 12 mesures qu’ils doivent prendre pour assurer leur sécurité, etc.
L’originalité du billet qui suit consiste à impliquer une autre cible : les développeurs. Par leurs compétences et leur position privilégiée dans le grand bain numérique, ils sont à même selon l’auteur de changer le cours de choses et doivent y œuvrer.
Les pistes qu’expose Mo Bitar, lui-même développeur (il travaille sur StandardNotes, une application open source de notes qui met l’accent sur la longévité et la vie privée) paraîtront peut-être un peu vagues et idéalistes. Il n’en pointe pas moins une question intéressante : la communauté des codeurs est-elle consciente de ses responsabilités ?
Qu’en pensent les spécialistes de la cybersécurité, les adminsys, la communauté du développement ?
Mais une fois identifiée avec toujours plus de précision la nature de ces menaces, nous sommes bien en peine le plus souvent pour y échapper. Nous avons tendance surtout à chercher qui accuser… Certes les coupables sont clairement identifiables : les GAFAM et leur hégémonie bien sûr, mais aussi les gouvernements qui abdiquent leur pouvoir politique et se gardent bien de réguler ce qui satisfait leur pulsion sécuritaire. Trop souvent aussi, nous avons tendance à culpabiliser les Dupuis-Morizeau en les accusant d’imprudence et de manque d’hygiène numérique. C’est sur les utilisateurs finaux que l’on fait porter la responsabilité : « problème entre la chaise et le clavier », « si au moins ils utilisaient de mots de passe compliqués ! », « ils ont qu’à chiffrer leur mails », etc. et d’enchaîner sur les 12 mesures qu’ils doivent prendre pour assurer leur sécurité, etc.
L’originalité du billet qui suit consiste à impliquer une autre cible : les développeurs. Par leurs compétences et leur position privilégiée dans le grand bain numérique, ils sont à même selon l’auteur de changer le cours de choses et doivent y œuvrer.
Les pistes qu’expose Mo Bitar, lui-même développeur (il travaille sur StandardNotes, une application open source de notes qui met l’accent sur la longévité et la vie privée) paraîtront peut-être un peu vagues et idéalistes. Il n’en pointe pas moins une question intéressante : la communauté des codeurs est-elle consciente de ses responsabilités ?
Qu’en pensent les spécialistes de la cybersécurité, les adminsys, la communauté du développement ?
Windows 10 : vers une gestion plus souple des mises à jour avec la Creators Update - Tech - Numerama
Microsoft a révélé de nouvelles fonctionnalités prévues avec la Creators Update, la mise à jour de Windows 10 attendue au printemps. Au programme pour les utilisateurs : une gestion étendue des mises à jour et un meilleur contrôle des données personnelles.
Saisi par quatre personnes, le Conseil d’État a décidé de saisir la Cour de justice de l’Union européenne d’un train de questions sur le terrain du « droit à l’oubli » ou droit à l’effacement dans les moteurs de recherche.
Quatre personnes, quatre profils différents, mais un problème commun : la faculté pour les moteurs de recherche d’indexer des informations parfois sensibles diffusées dans la presse.
Quatre personnes, quatre profils différents, mais un problème commun : la faculté pour les moteurs de recherche d’indexer des informations parfois sensibles diffusées dans la presse.
Google News Lab et FirstDraft réunissent sous un seul drapeau une trentaine de médias français et internationaux pour lutter contre la désinformation. Cette alliance entre les rédactions vise à vérifier les sources d'articles signalés par les internautes et à démonter les rumeurs présentes sur le web.
Aujourd’hui, nous savons tous que nos données sont exploitées, la plupart du temps à notre insu. Il n’y a que les spécialistes qui peuvent être certains à 99% de tout maîtriser. Alors, y-a-t-il place pour une autre solution accessible à tous ?