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GNOME
Ubuntu GNOME 17.04 a été publié ce 13 avril aux côtés des autres saveurs Ubuntu 17.04 ( Mate, xubuntu, Ubuntu Budgie, Lubuntu, Kubuntu, Ubuntu Studio), mais pour ceux qui se demandent ce qui se passe sur Ubuntu GNOME, maintenant que Ubuntu 18.04 utilisera GNOME avec Unity abandonné (on avait d’abord cru à un poisson d’avril avec la rumeur), c’est que la saveur Ubuntu GNOME ferme ses portes. L’équipe Ubuntu GNOME travaillera avec Canonical sur le bureau pour la mettre par défaut dans Ubuntu, ce qui rend inutile un dérivé Ubuntu GNOME. Jeremy Bicha et Tim Lunn de la communauté Ubuntu GNOME ont confirmé leurs plans dans l’annonce Ubuntu GNOME 17.04. « À la suite de cette décision, il n’y aura plus de saveur GNOME distincte d’Ubuntu. Les équipes de développement à la fois Ubuntu GNOME et Ubuntu Desktop fusionneront des ressources et se concentreront sur une seule version combinée, qui fournit le meilleur de GNOME et d’Ubuntu. Nous collaborons actuellement avec les équipes canonical pour savoir comment cela fonctionnera et de plus amples détails seront annoncés en temps voulu alors que nous déterminons les spécificités. »
Dans l’article relatif à la sortie d’Ubuntu GNOME 17.04, j’évoquais un concept art de Jovan Petrović sur ce qu’aurai pu être le futur d’Ubuntu après l’abandon d’Unity au profit de GNOME.
Et il faut croire que ça aura bien plu, puisque en seulement quelques heures, un nouveau thème directement inspiré de ce concept faisait son apparition : United GNOME .
Et il faut croire que ça aura bien plu, puisque en seulement quelques heures, un nouveau thème directement inspiré de ce concept faisait son apparition : United GNOME .
Après les déclarations déroutantes du fondateur d'Ubuntu, la communauté du logiciel libre ainsi que les utilisateurs de la distribution demandaient des éclaircissements sur le futur des projets abandonnés et le retour dans le giron de Gnome. C'est désormais chose faite, sur Google+.
Le premier avril est déjà passé et pourtant Mark Shuttleworth vient d’annoncer l’abandon de l’environnement de bureau Unity pour les futures versions d’Ubuntu. Sont également abandonnés les efforts de convergence avec les smartphones.
Unity et Mir sont dans un bateau, Unity tombe à l’eau. Qu’est‐ce qui reste ?
Mir ? Non, Mir n’a aucun intérêt sans le reste. « Nous n’avons pas d’autres choix réalistes que celui d’utiliser Wayland, puisqu’Ubuntu bascule sur GNOME. » (Michael Hall, Canonical Community Manager). Alors qu’est‐ce qui reste ? Que reste‐t‐il en effet des nombreuses idées de Mark Shuttleworth et de son projet de changer le monde ?
Si ça sonne comme une intro de philo ou de brèves de comptoir, c’est que la présente dépêche a été rédigée en piochant dans les commentaires échangés sur ce journal de patrickg. Je ne suis donc pas toujours de mon avis !
Unity et Mir sont dans un bateau, Unity tombe à l’eau. Qu’est‐ce qui reste ?
Mir ? Non, Mir n’a aucun intérêt sans le reste. « Nous n’avons pas d’autres choix réalistes que celui d’utiliser Wayland, puisqu’Ubuntu bascule sur GNOME. » (Michael Hall, Canonical Community Manager). Alors qu’est‐ce qui reste ? Que reste‐t‐il en effet des nombreuses idées de Mark Shuttleworth et de son projet de changer le monde ?
Si ça sonne comme une intro de philo ou de brèves de comptoir, c’est que la présente dépêche a été rédigée en piochant dans les commentaires échangés sur ce journal de patrickg. Je ne suis donc pas toujours de mon avis !
Exit les Ubuntu Phone, les tablettes Ubuntu et le rêve poursuivi par Mark Shuttleworth d'offrir à GNU/Linux une interface faisant converger les différents appareils pour un seul OS, Ubuntu. Le retour vers Gnome signe la mort d'une stratégie orientée desktop.
Maintenant que Mark Shuttleworth vient d’annoncer l’abandon d’Unity 8 (et probablement celui de Mir), certains se posent la question du choix de GNOME sur les forums, plutôt qu’un environnement plus traditionnel comme peuvent l’être MATE ou Xfce.
Je vais donc profiter de l’occasion pour rappeler qu’un environnement de bureau ne se limite pas à la partie visible, que ce soit avec ou sans panel au bas de l’écran et autre menu principal.
Je vais donc profiter de l’occasion pour rappeler qu’un environnement de bureau ne se limite pas à la partie visible, que ce soit avec ou sans panel au bas de l’écran et autre menu principal.
Dans un billet de blog, Mark Shuttleworth, fondateur d’Ubuntu et de Canonical, annonce mettre fin au développement d’Unity 8, de la téléphonie et de la convergence, tout en confirmant qu’Ubuntu 18.04 LTS utilisera bel et bien GNOME.
Le cas de Mir n’est pas évoqué, mais sachant que GNOME a clairement fait le choix de Wayland, j’imagine qu’ils abandonneront également le développement de ce dernier.
Le cas de Mir n’est pas évoqué, mais sachant que GNOME a clairement fait le choix de Wayland, j’imagine qu’ils abandonneront également le développement de ce dernier.
Ça y est. Le tout nouveau GNOME 3.24 est disponible.
Parmi les principales nouveautés, nous retiendrons l’apparition d’un mode nuit censé nous prémunir des problèmes d’endormissement et de fatigue oculaire. Le Centre de contrôle a été révisé, la gestion des comptes en ligne, des imprimantes et des utilisateurs ayant été retravaillée. Il est par exemple bien plus simple de connaître l’emplacement et le niveau d’encre de chaque imprimante (pratique pour les entreprises qui en possèdent un certain nombre). Il en va de même de la zone de notification, qui est désormais plus simple et plus lisible. Les informations météorologiques y ont également été intégrées.
Parmi les principales nouveautés, nous retiendrons l’apparition d’un mode nuit censé nous prémunir des problèmes d’endormissement et de fatigue oculaire. Le Centre de contrôle a été révisé, la gestion des comptes en ligne, des imprimantes et des utilisateurs ayant été retravaillée. Il est par exemple bien plus simple de connaître l’emplacement et le niveau d’encre de chaque imprimante (pratique pour les entreprises qui en possèdent un certain nombre). Il en va de même de la zone de notification, qui est désormais plus simple et plus lisible. Les informations météorologiques y ont également été intégrées.
Lundi 13 mars 2017, après six mois de développement, l’équipe de MATE Desktop a publié la version 1.18.
MATE Desktop Environment est la continuation de GNOME 2, il fournit un environnement de bureau intuitif et attrayant en utilisant les métaphores traditionnelles du bureau. MATE est en cours de développement pour intégrer de nouvelles technologies (systemd, GTK+ 3, Wayland, etc.) tout en préservant un environnement de bureau traditionnel.
Cette nouvelle version finalise la migration vers GTK+ 3, la migration de libunique vers GtkApplication et la suppression de tout le code GTK+ 2. La version minimale requise de GTK+ est la 3.14.
MATE Desktop Environment est la continuation de GNOME 2, il fournit un environnement de bureau intuitif et attrayant en utilisant les métaphores traditionnelles du bureau. MATE est en cours de développement pour intégrer de nouvelles technologies (systemd, GTK+ 3, Wayland, etc.) tout en préservant un environnement de bureau traditionnel.
Cette nouvelle version finalise la migration vers GTK+ 3, la migration de libunique vers GtkApplication et la suppression de tout le code GTK+ 2. La version minimale requise de GTK+ est la 3.14.
une fois n'est pas coutume, je vais parler de GNOME. Et pour parler de GNOME, rien de tel qu'une Fedora pour manipuler, car je le rappelle, les contributeurs de RedHat sont aussi de bons contributeurs à GNOME.
Le but de la manœuvre aujourd'hui, c'est de rendre GNOME plus ergonomique pour l'utilisation sur PC. En effet, le menu des activités et l'ensemble de GNOME-Shell n'est pas optimal (à mon goût) sur PC.
Donc, que va-t-on faire à travers cet article : Personnaliser GNOME avec quelques extensions pour le rendre plus classique. Vous me direz, oui mais il y a aussi une session "Gnome Classique"... Oui mais les 2 panneaux ne sont pas personnalsables. On a un aspect «à la GNOME2» mais le tout est figé et non personnalisable.
Donc c'est parti pour la «customisation».
Le but de la manœuvre aujourd'hui, c'est de rendre GNOME plus ergonomique pour l'utilisation sur PC. En effet, le menu des activités et l'ensemble de GNOME-Shell n'est pas optimal (à mon goût) sur PC.
Donc, que va-t-on faire à travers cet article : Personnaliser GNOME avec quelques extensions pour le rendre plus classique. Vous me direz, oui mais il y a aussi une session "Gnome Classique"... Oui mais les 2 panneaux ne sont pas personnalsables. On a un aspect «à la GNOME2» mais le tout est figé et non personnalisable.
Donc c'est parti pour la «customisation».
On l’a vu précédemment, il suffit de deux ou trois extensions pour transformer votre GNOME en quelque chose de plus proche de Windows, avec panel au bas de l’écran et autre menu principal. Et comme nous allons le voir, il n’est guère plus difficile de le faire ressembler à macOS ;-)
Dès que l’on entend parler de GNOME sur les forums, vous pouvez être certain qu’une ou plusieurs personnes vont intervenir pour signaler ô combien elles n’aiment pas son ergonomie, préférant de loin d’autres environnements plus traditionnels, disposant par exemple d’une barre des tâches et d’un menu principal.
Que retenir de cette année écoulée en matière de logiciels libres selon moi ?
Fedora 25 est une réussite, c’est stable, ça tient les promesses concernant ses nouvelles fonctionnalités de GNOME, de Wayland, les émoticônes, mais je vais vous parler d’expérience utilisateur concernant la migration depuis Fedora 24. J’ai profité du fait d’avoir deux machines pour tenter les deux migrations recommandées : mon ordinateur fixe avec Gnome Logiciels, c’est la migration la plus simple pour l’utilisateur non spécialiste, mon ordinateur portable avec dnf system-update, c’est la migration ligne de commande, pour les geeks amateurs ou avancés.
En ce mardi 22 novembre 2016, le projet Fedora est fier d’annoncer la sortie de la distribution GNU/Linux Fedora 25.
Fedora est une distribution communautaire développée par le projet éponyme et sponsorisée par Red Hat, qui lui fournit des développeurs ainsi que des moyens financiers et logistiques. Fedora peut se voir comme une sorte de vitrine technologique pour le monde du logiciel libre, c’est pourquoi elle est prompte à inclure des nouveautés.
Une des nouveautés majeures est l'activation par défaut de Wayland grâce à l'arrivée de GNOME 3.22. Fedora devient la première distribution majeure à le fournir, par défaut, pour GNOME.
D'autres changements moins visibles améliorent le confort d'utilisation. Les développeurs noteront l'amélioration de Flatpak pour faciliter leur gestion de logiciels et l'arrivée du compilateur pour le langage Rust.
Fedora est une distribution communautaire développée par le projet éponyme et sponsorisée par Red Hat, qui lui fournit des développeurs ainsi que des moyens financiers et logistiques. Fedora peut se voir comme une sorte de vitrine technologique pour le monde du logiciel libre, c’est pourquoi elle est prompte à inclure des nouveautés.
Une des nouveautés majeures est l'activation par défaut de Wayland grâce à l'arrivée de GNOME 3.22. Fedora devient la première distribution majeure à le fournir, par défaut, pour GNOME.
D'autres changements moins visibles améliorent le confort d'utilisation. Les développeurs noteront l'amélioration de Flatpak pour faciliter leur gestion de logiciels et l'arrivée du compilateur pour le langage Rust.
En ce mardi 22 novembre 2016, le projet Fedora est fier d’annoncer la sortie de la distribution GNU/Linux Fedora 25.
Comme à son habitude, le projet Fedora propose le dernier cru des environnements GNOME, GNOME 3.22.
Cette version de Fedora s'est surtout concentrée sur deux axes : couche graphique et simplicité.
Comme à son habitude, le projet Fedora propose le dernier cru des environnements GNOME, GNOME 3.22.
Cette version de Fedora s'est surtout concentrée sur deux axes : couche graphique et simplicité.
Cette réflexion m’est venue en faisant récemment le point sur mon utilisation de Linux. Je ne suis pas un utilisateur exigeant et du moment que je puisse surfer, écouter de la musique, écrire, jouer voir parfois bidouiller je suis content. Alors quelle distribution me correspondrait et me permettrait d’utiliser mon OS comme je l’entends ?
Allez aujourd'hui je vais vous dire quelques mots sur l'organisation des OS libres et de leur utilisation en bureautique...
C'est l'histoire de décisions, chacune ayant été prise à un niveau précis entre le noyau et l'application exécutée en mode graphique, qui va mener dans un avenir prochain à une uniformisation voulue, ou subie, des OS libres.
Jusque là, freedesktop c'était plutôt cool car cela permettait de proposer des « standards » pour les environnements graphiques utilisant X Window System. C'était cool car, pour le bureau, cela fournissait une base de travail pour les systèmes GNU/Linux, mais aussi Unix-like.
Et puis, voilà que la révolution de la conteneurisation des applications débarque. Mais si vous savez, le truc qui permet d'isoler chaque application et ainsi d'améliorer la sécurité de votre système (au prix de bien des sacrifices mais bon...). Et freedesktop s'est donc lancé à pied joint dans ces technologies mainstream et a donc proposé sa solution : Flatpak.
C'est l'histoire de décisions, chacune ayant été prise à un niveau précis entre le noyau et l'application exécutée en mode graphique, qui va mener dans un avenir prochain à une uniformisation voulue, ou subie, des OS libres.
Jusque là, freedesktop c'était plutôt cool car cela permettait de proposer des « standards » pour les environnements graphiques utilisant X Window System. C'était cool car, pour le bureau, cela fournissait une base de travail pour les systèmes GNU/Linux, mais aussi Unix-like.
Et puis, voilà que la révolution de la conteneurisation des applications débarque. Mais si vous savez, le truc qui permet d'isoler chaque application et ainsi d'améliorer la sécurité de votre système (au prix de bien des sacrifices mais bon...). Et freedesktop s'est donc lancé à pied joint dans ces technologies mainstream et a donc proposé sa solution : Flatpak.
Ma machine tourne sous Debian Sid, alias Unstable, avec GNOME actuellement en version 3.22, soit une version particulièrement bien adaptée à Wayland.
J'ai donc à nouveau tenté la bascule, et je dois dire que les progrès accomplis impressionnent, dans le sens où il devient très difficile de distinguer une session GNOME-Wayland d'une session GNOME-X11 (la vie est ainsi faite que les différences au niveau de l'interface sauteront aux yeux des utilisateurs autant que les gains en termes de sécurité et d'éradication de bogues insolubles passeront inaperçus). Pour résumer la chose en quatre petits mots : on y est presque !
Presque ?
J'ai donc à nouveau tenté la bascule, et je dois dire que les progrès accomplis impressionnent, dans le sens où il devient très difficile de distinguer une session GNOME-Wayland d'une session GNOME-X11 (la vie est ainsi faite que les différences au niveau de l'interface sauteront aux yeux des utilisateurs autant que les gains en termes de sécurité et d'éradication de bogues insolubles passeront inaperçus). Pour résumer la chose en quatre petits mots : on y est presque !
Presque ?
On ne présente plus GNOME, l’environnement de bureau libre (depuis toujours), sexy (depuis la série 3.x), ergonomique (selon les points de vue), personnalisable (non, là, je plaisante, en revanche) et, dorénavant, à la pointe de la technique !
GNOME 3.22, nom de code Karlsruhe, est sorti le mercredi 21 septembre 2016, avec, sous le capot, rien de moins qu’une révolution…
La dernière version de GNOME est le résultat de six mois de développement dont 22 980 changements effectués par approximativement 775 contributeurs.
GNOME 3.22, nom de code Karlsruhe, est sorti le mercredi 21 septembre 2016, avec, sous le capot, rien de moins qu’une révolution…
La dernière version de GNOME est le résultat de six mois de développement dont 22 980 changements effectués par approximativement 775 contributeurs.