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MUSIQUELIBRE
Le 1e janvier est toujours une date très symbolique pour le collectif savoirsCom1 et pour la diffusion des connaissances puisque un certain nombre d’œuvres et de créations deviennent accessibles librement à l’humanité tout entière en s’élevant dans le domaine public. Elles prennent le statut de « patrimoine commun ».
Cette date est l’occasion de réécouter la parisienne libérée :
Cette date est l’occasion de réécouter la parisienne libérée :
Imposteur! C’est le premier mot qui nous vient à l’esprit quand on évoque ce malfaiteur.
Alors que ce triste Sire prétend depuis plus de 10 ans ne rien monétiser de ses pitoyables « productions » musicalo-pathétiques, nos inspecteurs en fact checking ont passé au crible son dernier méfait, les résultats sont édifiants.
La vidéo d’abord (à surtout ne pas regarder ni partager)
Alors que ce triste Sire prétend depuis plus de 10 ans ne rien monétiser de ses pitoyables « productions » musicalo-pathétiques, nos inspecteurs en fact checking ont passé au crible son dernier méfait, les résultats sont édifiants.
La vidéo d’abord (à surtout ne pas regarder ni partager)
La musique sous licence libre a souvent cette image d'être une musique chiante, tout juste bonne à servir de fond sonore à un diaporama photos de vos dernières vacances au camping.
Mais c'est faux ! Au fil des années, les netlabels qui distribuent de la musique sous licence Creative Commons, se sont multipliés, diversifiés et la qualité a nettement augmenté.
On trouve maintenant de véritables albums de qualité dans tous les styles de musique. Mais ce n'est pas évident pour le néophyte de trouver des choses sympas à se glisser dans les oreilles. Heureusement, il y a Phonosti.co où des passionnés font un travail de sélection extra et partagent tout ça avec nous.
Mais c'est faux ! Au fil des années, les netlabels qui distribuent de la musique sous licence Creative Commons, se sont multipliés, diversifiés et la qualité a nettement augmenté.
On trouve maintenant de véritables albums de qualité dans tous les styles de musique. Mais ce n'est pas évident pour le néophyte de trouver des choses sympas à se glisser dans les oreilles. Heureusement, il y a Phonosti.co où des passionnés font un travail de sélection extra et partagent tout ça avec nous.
La Déclaration d’Indépendance du Cyberespace : http://editions-hache.com/essais/barlow/barlow2.html
Texte de la parodie:
Texte de la parodie:
La tradition musicale du requiem est dès l’origine inhérente à la liturgie chrétienne au point qu’il faut attendre le XVIIIe siècle pour assister à la création de requiems « de concert », donc exécutés en dehors d’une célébration funèbre à caractère religieux.
Aujourd’hui, Denis Raffin propose d’aller plus loin encore et vient de passer plusieurs années à l’élaboration d’un requiem athée, qui comme il nous l’explique, vise à rendre hommage au souvenir des disparus en exaltant plutôt… la vie, hors de toute transcendance.
Qui plus est, sa création musicale est non seulement libre de références à la divinité mais aussi libre de droits et élaborée avec des logiciels libres. De bonnes raisons pour lui donner la parole et prêter une oreille curieuse à son requiem.
Aujourd’hui, Denis Raffin propose d’aller plus loin encore et vient de passer plusieurs années à l’élaboration d’un requiem athée, qui comme il nous l’explique, vise à rendre hommage au souvenir des disparus en exaltant plutôt… la vie, hors de toute transcendance.
Qui plus est, sa création musicale est non seulement libre de références à la divinité mais aussi libre de droits et élaborée avec des logiciels libres. De bonnes raisons pour lui donner la parole et prêter une oreille curieuse à son requiem.
Il y a un an le Framablog avait interviewé Alain, membre de Dogmazic qui avait participé au grand retour de la plateforme d’écoute de musique sous licence libre.
Pour fêter le premier anniversaire du site renouvelé, on a eu envie de détailler avec lui le bilan bien fourni de cette année… En profitant de deux belles conférences aux JDLL, Roka et Pouhiou ont mitonné la petite interview que voici pour qui ne pouvait être à Lyon lors de ces rencontres.
Pour fêter le premier anniversaire du site renouvelé, on a eu envie de détailler avec lui le bilan bien fourni de cette année… En profitant de deux belles conférences aux JDLL, Roka et Pouhiou ont mitonné la petite interview que voici pour qui ne pouvait être à Lyon lors de ces rencontres.
Grand jour aujourd’hui pour les Communs de la culture : Le célèbre Boléro de Ravel entre (enfin) dans le domaine public !
Et c’est tout un symbole pour le droit d’auteur vu la rocambolesque histoire de son héritage (voir la vidéo d’Antoine Defoort ci-dessous).
Cela ne signifie pas que vous pouvez prendre n’importe quel enregistrement du Boléro et en faire ce que vous voulez, car il faut tenir compte du droit voisin des interprètes de cet enregistrement (le chef d’orchestre, les solistes, les musiciens d’accompagnement, l’arrangeur, l’éditeur...).
Cela signifie par contre qu’il n’y a plus d’autorisation à demander aux (étranges) ayants droit (moyennant finances) pour l’interpréter.
Sauf que, aussi étrange que cela puisse paraître, il y a encore un obstacle : la partition, qui appartient à l’éditeur et que vous devez obligatoirement déclarer si votre interprétation est publique.
Et c’est tout un symbole pour le droit d’auteur vu la rocambolesque histoire de son héritage (voir la vidéo d’Antoine Defoort ci-dessous).
Cela ne signifie pas que vous pouvez prendre n’importe quel enregistrement du Boléro et en faire ce que vous voulez, car il faut tenir compte du droit voisin des interprètes de cet enregistrement (le chef d’orchestre, les solistes, les musiciens d’accompagnement, l’arrangeur, l’éditeur...).
Cela signifie par contre qu’il n’y a plus d’autorisation à demander aux (étranges) ayants droit (moyennant finances) pour l’interpréter.
Sauf que, aussi étrange que cela puisse paraître, il y a encore un obstacle : la partition, qui appartient à l’éditeur et que vous devez obligatoirement déclarer si votre interprétation est publique.
Avertissement :
Si vous ne pouvez pas répondre un OUI franc et massif à au moins quatre des questions ci-dessous, la lecture de cet article est ajournée pour vous. Revenez pour la session de septembre.
Vous avez compris le monde des barbus libristes grâce au geektionnerd ?
Votre starteupe prospère après la lecture attentive du Guide du connard professionnel ?
Votre petit cœur fond comme un gelato dans un four à pizza en vous souvenant du dénouement du tome de GNKD ?
La carte de France de la dégooglisation est reproduite en puzzle de magnets sur votre porte de frigo ?
Vous ne pouvez plus vous endormir OKLM sans écouter en boucle le bruit des vautours ?
Vous riez comme une hyène en rut en relisant pour la douzième fois ce gag désopilant sans être trop sûr d’avoir bien tout compris ?
Oui maintenant que nous sommes entre nous, je vous le confirme : le bon docteur Giraudot, aka Gee, aka Ptilouk,… revient, sans d’ailleurs être jamais parti, nous soigner par le rire la dépression post-adolescente avec la parution aujourd’hui du premier tome de Grise Bouille, et un tournant dans ce qu’on peut appeler une œuvre au sens plein du terme. Les fidèles de Simon ont suivi impavides et fébriles les épisodes successifs depuis un peu plus d’un an, voici l’heure de la publication de l’album, chez Framabook bien sûr (what else ?)
Avant de déguster l’opus par le menu, profitons d’un instant ou il délaisse sa guitare électrique pour lui poser quelques questions.
Si vous ne pouvez pas répondre un OUI franc et massif à au moins quatre des questions ci-dessous, la lecture de cet article est ajournée pour vous. Revenez pour la session de septembre.
Vous avez compris le monde des barbus libristes grâce au geektionnerd ?
Votre starteupe prospère après la lecture attentive du Guide du connard professionnel ?
Votre petit cœur fond comme un gelato dans un four à pizza en vous souvenant du dénouement du tome de GNKD ?
La carte de France de la dégooglisation est reproduite en puzzle de magnets sur votre porte de frigo ?
Vous ne pouvez plus vous endormir OKLM sans écouter en boucle le bruit des vautours ?
Vous riez comme une hyène en rut en relisant pour la douzième fois ce gag désopilant sans être trop sûr d’avoir bien tout compris ?
Oui maintenant que nous sommes entre nous, je vous le confirme : le bon docteur Giraudot, aka Gee, aka Ptilouk,… revient, sans d’ailleurs être jamais parti, nous soigner par le rire la dépression post-adolescente avec la parution aujourd’hui du premier tome de Grise Bouille, et un tournant dans ce qu’on peut appeler une œuvre au sens plein du terme. Les fidèles de Simon ont suivi impavides et fébriles les épisodes successifs depuis un peu plus d’un an, voici l’heure de la publication de l’album, chez Framabook bien sûr (what else ?)
Avant de déguster l’opus par le menu, profitons d’un instant ou il délaisse sa guitare électrique pour lui poser quelques questions.
Souvenez-vous, il a quelques semaines, je vous présentais mon premier dessin animé. Vous pouviez y entendre une petite musique que j’avais composée/enregistrée pour l’occasion. Je reviens aujourd’hui sur cette (très très) courte musique, proposée sans les bruitages.
Il y a 3 ans, Aaron Swartz mettait fin à ses jours, poussé à bout par la pression judiciaire et la volonté de faire de lui « un exemple ». Il en aura de fait été un, un exemple d’être humain exceptionnel persécuté au nom du sacro-saint droit de propriété intellectuelle.
Voici une chanson écrite il y a un peu plus d’un an en hommage à Aaron Swartz et enregistrée au printemps dernier (même session que Le bruit des vautours). Comme d’habitude, j’y joue tous les instruments à l’exception de la batterie (programmée sur Hydrogen). Le visuel ci-contre est basé sur la célèbre photo de Sage Ross (licence CC By Sa).
Voici une chanson écrite il y a un peu plus d’un an en hommage à Aaron Swartz et enregistrée au printemps dernier (même session que Le bruit des vautours). Comme d’habitude, j’y joue tous les instruments à l’exception de la batterie (programmée sur Hydrogen). Le visuel ci-contre est basé sur la célèbre photo de Sage Ross (licence CC By Sa).
Ensemble et connectés, face à l’obscurantisme, éduquons nous mes frères! #amen :)
J’en avais parlé lors de mon article de retour de vacances, voici une nouvelle chanson qui parle un peu de la dérive sécuritaire dans laquelle nos représentants (qui ne représentent plus personne depuis longtemps) se vautrent un peu plus chaque jour. Les paroles ont été écrites en début d’année, peu de temps après les attaques de janvier 2015 à Paris. Elles sont tristement remises d’actualité aujourd’hui, de manière encore plus forte avec l’État d’Urgence utilisé pour justifier tout et n’importe quoi. On nous annonce même que cet État d’Urgence pourrait durer indéfiniment (ça fait long comme urgence).
J’inaugure aujourd’hui une nouvelle section, Jukebox, qui regroupera des compositions musicales (non-comiques, je précise).
J’ai enregistré cette chanson en novembre dernier sans trop savoir ce que j’allais en faire et comment j’allais la diffuser. Finalement, l’actualité fait que j’ouvre cette nouvelle section sur ce blog, sans trop savoir ce que j’en ferai à l’avenir. D’autres chansons (j’en ai quelques-unes en stock) pourront éventuellement être diffusées plus tard.
Une chanson écrite sous le coup de la colère d’entendre rabâcher les mêmes mots et les mêmes concepts dans nos médias au marteau-piqueur et, pire, de les entendre répétés par des connaissances. Inspirée aussi par Lepage qui nous explique qu’on a volé les mots pour critiquer le pouvoir en place. À l’heure où l’on nous sort une énième loi pour relancer la « compétitivité » et la « croissance » et où on nous demande de voter pour une des deux faces d’une même pièce, il me semblait adapté de la dévoiler aujourd’hui.
Cette chanson s’appelle Novlangue
J’ai enregistré cette chanson en novembre dernier sans trop savoir ce que j’allais en faire et comment j’allais la diffuser. Finalement, l’actualité fait que j’ouvre cette nouvelle section sur ce blog, sans trop savoir ce que j’en ferai à l’avenir. D’autres chansons (j’en ai quelques-unes en stock) pourront éventuellement être diffusées plus tard.
Une chanson écrite sous le coup de la colère d’entendre rabâcher les mêmes mots et les mêmes concepts dans nos médias au marteau-piqueur et, pire, de les entendre répétés par des connaissances. Inspirée aussi par Lepage qui nous explique qu’on a volé les mots pour critiquer le pouvoir en place. À l’heure où l’on nous sort une énième loi pour relancer la « compétitivité » et la « croissance » et où on nous demande de voter pour une des deux faces d’une même pièce, il me semblait adapté de la dévoiler aujourd’hui.
Cette chanson s’appelle Novlangue
Il y a quelques mois, j’inaugurai cette section avec Novlangue, une chanson enregistrée plusieurs mois auparavant et publiée à cause du contexte. C’est un peu la même chose pour celle-ci, qui est encore plus ancienne. La seconde partie a été enregistrée en septembre 2014, la première en novembre (même jour que Novlangue, d’où la disposition identique). Oui, la seconde partie a été enregistrée en premier car c’est la plus importante (la première n’est qu’une sorte d’intro).
Cette fois, ce sont les derniers événements en Grèce qui me poussent à la rendre publique. Une chanson qui parle d’argent roi et de révolte, bien sûr… Les paroles sont peut-être naïves, mais je peux vous garantir que dans le genre catharsis, ça fait un bien fou de gueuler tout ça dans un micro.
Cette fois, ce sont les derniers événements en Grèce qui me poussent à la rendre publique. Une chanson qui parle d’argent roi et de révolte, bien sûr… Les paroles sont peut-être naïves, mais je peux vous garantir que dans le genre catharsis, ça fait un bien fou de gueuler tout ça dans un micro.
La nouvelle a fait la une de tous les journaux hier : la justice américaine a invalidé les prétentions de la société Warner qui revendiquait un copyright sur la chanson « Happy Birthday » et appliquait depuis plusieurs décennies une politique agressive de prélèvement de royalties. Ce jugement va faire date, car il s’agit de l’une des premières décisions à statuer clairement sur un cas de copyfraud : de la « fraude de droit d’auteur », découlant d’une revendication abusive de droits. Néanmoins, il me paraît important d’apporter des nuances par rapport à ce que l’on a pu lire dans la presse à propos du dénouement de cette affaire. Nombreux en effet ont été les articles à proclamer qu’Happy Birthday était « tombé » ou « entré dans le domaine public » ou que la chanson était désormais devenue « libre de droits« .
Depuis mi-mai, l’équipe de Musique libre a réussi le pari de ressusciter Dogmazic après trois ans de sommeil.
Alain, un des bénévoles qui a permis ce retour à la vie et président de l’association a accepté de répondre à nos questions.
Alain, un des bénévoles qui a permis ce retour à la vie et président de l’association a accepté de répondre à nos questions.
Bon et bien ça y est. On avait du mal à y croire et on avait envie d'y croire en même temps. Et là, ça commençait à traîner en longueur. Et ça faisait mal de se dire que toute cette musique n'était plus disponible.
Et bah ça y est, pour de vrai, y'en a qui l'on vraiment fait. Dogmazic est revenu !
NdM : Dogmazic est un site permettent l'écoute et le téléchargement de musique sous licence de libre diffusion. Il est géré par l'association française Musique Libre.
L'accueil est là : http://dogmazic.net/ et vous y trouverez tous les liens qui vont bien vers le blog, les forums, … mais surtout … l'archive.
L'archive avec ses plus de 50.000, oui cinquante mille vous avez bien lu, morceaux de musique sous des licences de libre diffusion et tout ça avec une jolie interface qu'elle a la classe parce qu'elle est toute belle. Regardez donc moi ça.
Et bah ça y est, pour de vrai, y'en a qui l'on vraiment fait. Dogmazic est revenu !
NdM : Dogmazic est un site permettent l'écoute et le téléchargement de musique sous licence de libre diffusion. Il est géré par l'association française Musique Libre.
L'accueil est là : http://dogmazic.net/ et vous y trouverez tous les liens qui vont bien vers le blog, les forums, … mais surtout … l'archive.
L'archive avec ses plus de 50.000, oui cinquante mille vous avez bien lu, morceaux de musique sous des licences de libre diffusion et tout ça avec une jolie interface qu'elle a la classe parce qu'elle est toute belle. Regardez donc moi ça.
Ces artistes vous proposent de télécharger leur logiciel, dont ils vont prendre le contrôle à distance… Pour envahir votre PC ? Oui. Avec leur performance distribuée. Pour votre plaisir. Voici une démarche assez particulière qu’on vous propose de découvrir par une interview des artistes-développeurs qui la proposent.
David Rovics est un chanteur et compositeur américain engagé dans la tradition des Bob Dylan et Pete Seeger, il n’est pas avare de protest-songs, s’attaquant par exemple à la mondialisation, aux interventions militaires des États-Unis, aux multinationales… Il soutient divers mouvements contestataires comme Occupy Wall Street et bien d’autres. Il met son abondante discographie en libre téléchargement et déclare :
N’hésitez pas à télécharger ces chansons gratuitement. Faites-en l’usage que vous voulez. Envoyez-les à des amis, vous pouvez les graver, les copier, les passer à la radio, sur Internet, n’importe où. La musique est un bien commun. Ignorez les entreprises compères de l’industrie de la musique qui vous disent le contraire. Télécharger de musique n’est pas du vol, vous ne faites de mal à personne, je vous assure.
N’hésitez pas à télécharger ces chansons gratuitement. Faites-en l’usage que vous voulez. Envoyez-les à des amis, vous pouvez les graver, les copier, les passer à la radio, sur Internet, n’importe où. La musique est un bien commun. Ignorez les entreprises compères de l’industrie de la musique qui vous disent le contraire. Télécharger de musique n’est pas du vol, vous ne faites de mal à personne, je vous assure.
La Parisienne Libérée est chroniqueuse-chanteuse d’actualité à Médiapart. Scéniquement parlant, elle est souvent identifiable par sa perruque à cheveux rouges, comme par exemple dans la chanson Rien à cacher, interprétée avec Jérémie Zimmermann.
Nous l’avons rencontrée dans le cadre de nos pérégrinations pour le premier festival du domaine public que nous organisons en janvier prochain. Elle s’est montrée fort intéressée par le domaine public et ses enjeux et a décidé de l’intégrer dans sa chronique mensuelle Rythm & News avec une chanson inédite à la clé.
Inscrit dans l’article Rythm & News n° 3 : Macronscope et domaine public paru le 25 décembre sur Mediapart, voici le magnifique résultat, aussi bien pour la musique que pour les images et les paroles.
Nous l’avons rencontrée dans le cadre de nos pérégrinations pour le premier festival du domaine public que nous organisons en janvier prochain. Elle s’est montrée fort intéressée par le domaine public et ses enjeux et a décidé de l’intégrer dans sa chronique mensuelle Rythm & News avec une chanson inédite à la clé.
Inscrit dans l’article Rythm & News n° 3 : Macronscope et domaine public paru le 25 décembre sur Mediapart, voici le magnifique résultat, aussi bien pour la musique que pour les images et les paroles.