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AUTOHEBERGEMENT
Tristan Nitot travaille désormais pour Cozy Cloud, une startup française qui propose de bâtir un "cloud personnel". Celle-ci annonce vouloir redonner aux internautes le contrôle de leurs données personnelles tout en échappant aux services centralisés.
Lima – Enfin une solution pour faire de l’autohébergement sérieusement
Cette couverture du CES 2015 a été rendue possible grâce au soutien de Domadoo.
Lancé via Kickstarter il y a un petit moment, le projet Lima est une bonne alternative aux NAS et aux solutions de cloud. J'ai passé un peu de temps sur leur stand au CES pour bien comprendre de quoi il en retournait et j'ai trouvé ça tellement cool, que je ne résiste pas à l'envie de vous parler de ce projet imaginé par des Français.
Lima est un boitier que vous reliez en Ethernet à votre réseau et sur lequel vous pouvez brancher un disque dur en USB (ou plusieurs disques dur avec un hub USB). Un système de fichier spécifique est alors mis en place sur le(s) disque(s) et vous n'avez plus qu'à installer le driver qui va bien sous OSX, Windows, Ubuntu ou installer l'application mobile Lima pour accéder à cet espace de stockage.
Cette couverture du CES 2015 a été rendue possible grâce au soutien de Domadoo.
Lancé via Kickstarter il y a un petit moment, le projet Lima est une bonne alternative aux NAS et aux solutions de cloud. J'ai passé un peu de temps sur leur stand au CES pour bien comprendre de quoi il en retournait et j'ai trouvé ça tellement cool, que je ne résiste pas à l'envie de vous parler de ce projet imaginé par des Français.
Lima est un boitier que vous reliez en Ethernet à votre réseau et sur lequel vous pouvez brancher un disque dur en USB (ou plusieurs disques dur avec un hub USB). Un système de fichier spécifique est alors mis en place sur le(s) disque(s) et vous n'avez plus qu'à installer le driver qui va bien sous OSX, Windows, Ubuntu ou installer l'application mobile Lima pour accéder à cet espace de stockage.
LinuxFr.org | Se passer de Google, Facebook et autres big brothers 2.0 #1 - les moteurs de recherche
Aujourd'hui, le net est occupé en grande partie par les services de grosses entreprises privées. Ceci pose de nombreux problèmes : logiciels privateurs, centralisation des données, pistage permanent, censure, exploration de données, dépendance à des tiers, etc.
Cette série décrit (et critique) des alternatives soit utilisables en auto-hébergement, soit via des services basés sur des logiciels libres. Dans cette première dépêche, nous allons nous intéresser aux moteurs de recherche. Les commentaires sont là pour préciser des oublis ou corriger les éventuelles erreurs.
Cette série décrit (et critique) des alternatives soit utilisables en auto-hébergement, soit via des services basés sur des logiciels libres. Dans cette première dépêche, nous allons nous intéresser aux moteurs de recherche. Les commentaires sont là pour préciser des oublis ou corriger les éventuelles erreurs.
Fâché avec le manque de protection des données sur des réseaux sociaux comme Facebook, ou par le traçage de site comme Google, bref par tous ces sites qui vous tracent et qui prennent un pouvoir incommensurable seulement en vous observant, je me suis passionné par des alternatives libres.
Puis, j’ai découvert cette distribution, Yunohost , qui me permet de m’auto-héberger. Cela veut dire que cette page que vous lisez provient d’un serveur qui se trouve chez moi. Ce serveur me permet aussi d’avoir quelques applications sympathiques auxquelles ont accès les utilisateurs que je peux rajouter sur mon serveur, dont Rouncube , une boîte mail, Jappix , un serveur de réseaux sociaux comme Facebook qui fonctionne avec ejjaberd, mais respectueux des données, Owncloud pour échanger et partager des fichiers !
Pourquoi s’auto-héberger ?
Puis, j’ai découvert cette distribution, Yunohost , qui me permet de m’auto-héberger. Cela veut dire que cette page que vous lisez provient d’un serveur qui se trouve chez moi. Ce serveur me permet aussi d’avoir quelques applications sympathiques auxquelles ont accès les utilisateurs que je peux rajouter sur mon serveur, dont Rouncube , une boîte mail, Jappix , un serveur de réseaux sociaux comme Facebook qui fonctionne avec ejjaberd, mais respectueux des données, Owncloud pour échanger et partager des fichiers !
Pourquoi s’auto-héberger ?
Nous rêvions d'un internet où nous n'aurions pas peur de compromettre notre vie privée à chaque fois que nous profitions d'un service, où nous n'aurions pas besoin de gérer ving-cinq comptes et mots de passe et où nous pourrions faire une recherche sur l'ensemble de nos données en une seule requête. Nous rêvions d'un web où il serait facile de créer nos applications et ou celles-ci collaboreraient. En bref nous rêvions de web services … à notre service !
Aujourd'hui, nous avons le grand honneur de poser la première brique de cet idéal ! Nous publions la première version de Cozy, un cloud personnel réunissant sur votre matériel vos web applications et vos données. D'un clic vous déployez vos services sur votre PC dans le salon, sur une machine louée à un hébergeur ou même sur une mini carte-mère comme le Raspberry Pi.
Aujourd'hui, nous avons le grand honneur de poser la première brique de cet idéal ! Nous publions la première version de Cozy, un cloud personnel réunissant sur votre matériel vos web applications et vos données. D'un clic vous déployez vos services sur votre PC dans le salon, sur une machine louée à un hébergeur ou même sur une mini carte-mère comme le Raspberry Pi.
Si vous cherchez un bon petit script pour héberger votre propre calendrier, vos contacts, vos flux RSS, vos emails, vos notes, vos photos, vos todo-lists ou encore vos signets, courez jeter un oeil à Cozy Cloud.
Développé par des Français, cette plateforme de cloud 100% libre fonctionne par module. En gros, vous n'installez que ce dont vous avez besoin. L'installation exige Python et se fait en quelques secondes.
Développé par des Français, cette plateforme de cloud 100% libre fonctionne par module. En gros, vous n'installez que ce dont vous avez besoin. L'installation exige Python et se fait en quelques secondes.
Vendu 69 dollars et prévu pour la fin de l'année, le boîtier Plug permet de bénéficier d'un espace de stockage virtuel aussi souple qu'avec Dropbox ou Google Drive, mais en exploitant exclusivement les disques durs et clés USB branchées sur le boîtier, chez soi ou chez un ami.
Soyons sincères pour une fois. Bien sûr l’auto-hébergement n’est pas et ne sera pas une solution. En tout cas ce ne sera pas une solution satisfaisante pour pouvoir radicalement changer les usages sur Internet.
L’auto-hébergement est compliqué et cher, tombe facilement en panne et suppose des acquis vrais pour la plupart des nerds mais faux pour le reste. Dans le discours des nerds, l’auto-hébergement doit permettre aux gens de prendre le contrôle de leurs contenus. Il n’y a que ce que tu héberges que tu possèdes vraiment.
Prôner l’auto-hébergement pour tous c’est supposer que le problème le plus urgent sur Internet, l’exigence essentielle, c’est de posséder ses données et contenus dans des endroits sécurisés et toujours accessibles pour nous. Il faudrait avant tout utiliser des interfaces éprouvées et a minima garantir la compatibilité entre les différentes techniques utilisées. Un fichier de configuration devrait pouvoir passer de la carte à trou antédiluvienne au dernier SSD. Les services qui ne garantissent pas cette compatibilité seraient dangereux et idiots.
La sécurité des données et leur accessibilité seraient le mètre étalon de tout service et seul l’auto-hébergement permettrait de répondre à la problématique. La solution d’auto-hébergement adoptée devrait bien sûr mettre en œuvre une sauvegarde régulière solide, avoir une forte tolérance aux erreurs et une résistance remarquable aux tentatives d’effraction et, cerise sur le gâteau, devrait être montée sur ressort.
Cette position élitiste vient d’être très clairement critiquée par Tante dans un excellent billet de blog récent, que je vous invite fortement à aller lire...
L’auto-hébergement est compliqué et cher, tombe facilement en panne et suppose des acquis vrais pour la plupart des nerds mais faux pour le reste. Dans le discours des nerds, l’auto-hébergement doit permettre aux gens de prendre le contrôle de leurs contenus. Il n’y a que ce que tu héberges que tu possèdes vraiment.
Prôner l’auto-hébergement pour tous c’est supposer que le problème le plus urgent sur Internet, l’exigence essentielle, c’est de posséder ses données et contenus dans des endroits sécurisés et toujours accessibles pour nous. Il faudrait avant tout utiliser des interfaces éprouvées et a minima garantir la compatibilité entre les différentes techniques utilisées. Un fichier de configuration devrait pouvoir passer de la carte à trou antédiluvienne au dernier SSD. Les services qui ne garantissent pas cette compatibilité seraient dangereux et idiots.
La sécurité des données et leur accessibilité seraient le mètre étalon de tout service et seul l’auto-hébergement permettrait de répondre à la problématique. La solution d’auto-hébergement adoptée devrait bien sûr mettre en œuvre une sauvegarde régulière solide, avoir une forte tolérance aux erreurs et une résistance remarquable aux tentatives d’effraction et, cerise sur le gâteau, devrait être montée sur ressort.
Cette position élitiste vient d’être très clairement critiquée par Tante dans un excellent billet de blog récent, que je vous invite fortement à aller lire...
Bonjour à tous, chez Cozy Cloud, une jeune startup, nous sommes de fervents défenseurs du logiciel libre et de sa culture. Et comme en plus, nous ne sommes pas satisfaits du modèle actuel des services web, nous cherchons à redonner le contrôle de ses données et services à l'utilisateur. Pour cela nous vous proposons un projet libre auto-hébergeable nommé Cozy.
À l'heure où l'auto-hebergement devient un mode de vie pour la plupart d'entre nous, de nombreux outils passionnants et abordables commencent à voir le jour.
L'un d'entre eux s'appelle Qy.Share et je suis sûr qu'il va vous plaire. Il s'agit d'un soft qui permet très facilement (et j'insiste sur le TRÈS) de mettre en place un site web autohébergé chez vous.
Pas de prise de tête avec Apache, MySQL, etc.. En réalité, Qy.Share est une machine virtuelle (virtualbox) qui permet de faire tourner un WordPress en local sur votre ordinateur. Ce WordPress est bien évidemment accessible à tous, si vous pensez à ouvrir le port 80 de votre box ADSL et Qy.Share vous permet d'avoir une adresse xxxx.qyshare.com publique qui pointe automatiquement vers votre adresse IP.
L'un d'entre eux s'appelle Qy.Share et je suis sûr qu'il va vous plaire. Il s'agit d'un soft qui permet très facilement (et j'insiste sur le TRÈS) de mettre en place un site web autohébergé chez vous.
Pas de prise de tête avec Apache, MySQL, etc.. En réalité, Qy.Share est une machine virtuelle (virtualbox) qui permet de faire tourner un WordPress en local sur votre ordinateur. Ce WordPress est bien évidemment accessible à tous, si vous pensez à ouvrir le port 80 de votre box ADSL et Qy.Share vous permet d'avoir une adresse xxxx.qyshare.com publique qui pointe automatiquement vers votre adresse IP.
Voici une présentation d’outils (clients et serveurs) pour héberger soi‐même ses données et services sur Android. La présentation inclut les logiciels pour le desktop, puisque la plupart des utilisateurs désirent synchroniser les trois (serveur, smartphone, desktop).
Il y a quelques semaines, grâce au billet proposé par Baloo (que je remercie encore au passage), j’ai pu découvrir Yunohost. Une distribution faite pour les personnes qui souhaite monter leurs serveurs d’hébergement, mais qui n’ont ni les connaissances pour ça, ni du temps libre à consacrer pour monter les différentes briques de leurs serveurs.
Yunohost m’a mis aussi sur le chemin d’un nouveau genre (pour moi) de distributions, c’est ainsi qu’après quelques recherches sur le web, j’ai découvert Turnkey Linux. Une solution qui permet de monter en quelques minutes (et clics) un serveur de production LAMP, ou encore de choisir parmi les 100 applications proposées : Drupal, WordPress, Zen Cart, Zimbra, Etherpad Lite, GitLab…
Mais ce n’est pas l’unique plus qu’offre Turnkey, car en plus des images iso, il est possible de télécharger des images de machines virtuelles et les importer dans VirtualBox par exemple. Une solution très utile si on cherche à tester une application sans pour autant devoir l’installer.
Yunohost m’a mis aussi sur le chemin d’un nouveau genre (pour moi) de distributions, c’est ainsi qu’après quelques recherches sur le web, j’ai découvert Turnkey Linux. Une solution qui permet de monter en quelques minutes (et clics) un serveur de production LAMP, ou encore de choisir parmi les 100 applications proposées : Drupal, WordPress, Zen Cart, Zimbra, Etherpad Lite, GitLab…
Mais ce n’est pas l’unique plus qu’offre Turnkey, car en plus des images iso, il est possible de télécharger des images de machines virtuelles et les importer dans VirtualBox par exemple. Une solution très utile si on cherche à tester une application sans pour autant devoir l’installer.
Partagez, simplement et sans limite, tout ce que vous voulez avec vos amis !
Avec votre smartphone, tablette ou pc portable, accédez à toutes les données de votre ordinateur familial !
Avec votre smartphone, tablette ou pc portable, accédez à toutes les données de votre ordinateur familial !
ownCloud est un système flexible, ouvert de synchronisation de fichiers source et la solution action. Que vous utilisiez un appareil mobile, un poste de travail ou un client Web, ownCloud offre la possibilité de mettre les bons fichiers à portée de main de vos employés sur n'importe quel appareil avec un facile à utiliser, sécurisé, des solutions privées et contrôlées.
Yunohost est une distribution automatisant l'installation d'un serveur personnel.
Elle fournit par défaut un serveur web, mail, et de messagerie instantanée, ainsi qu'un portail d'application permettant d'ajouter des services et d'y accéder simplement par votre navigateur.
Elle fournit par défaut un serveur web, mail, et de messagerie instantanée, ainsi qu'un portail d'application permettant d'ajouter des services et d'y accéder simplement par votre navigateur.
Les solutions d’auto‐hébergement existent maintenant depuis quelque temps, et je souhaite revenir un peu sur celles‐ci, afin d’ouvrir un débat sur leur utilité (c’est en plein dans mon actualité avec le projet qy.share, mais il n’y a pas que lui). Il me semble, en effet, que ces logiciels souffrent d’une image assez négative (lorsque l’on regarde l’intérêt qui leur est réellement porté par nos amis blogueurs et journalistes) malgré les services et les promesses qui sont réellement tenues. De plus, je considère qu’il y a toujours un intérêt à tester, comprendre et débattre sur des logiciels en manque de reconnaissance, surtout lorsque ceux‐ci commencent à être nombreux et proposent des services pertinents.
Alors, qu’est‐ce que l’auto‐hébergement et à qui cela se destine‐t‐il ? Vaste question à laquelle nous ne trouverons probablement pas de réponse globale. L’auto‐hébergement apporte surtout une maîtrise complète des services Internet que l’on utilise et une meilleure maîtrise de la diffusion de ses données. Il apporte surtout une grande liberté dans la taille des données échangées. Son principe repose sur le fait que l’ensemble des services de communication utilisés par un usager sont sous son propre contrôle (exit donc Google et compagnie).
Est‐ce accessible au non geek ? Probablement plus simplement qu’on ne le pense, il existe de plus en plus de solutions fonctionnelles, mais peu connues.
Alors, qu’est‐ce que l’auto‐hébergement et à qui cela se destine‐t‐il ? Vaste question à laquelle nous ne trouverons probablement pas de réponse globale. L’auto‐hébergement apporte surtout une maîtrise complète des services Internet que l’on utilise et une meilleure maîtrise de la diffusion de ses données. Il apporte surtout une grande liberté dans la taille des données échangées. Son principe repose sur le fait que l’ensemble des services de communication utilisés par un usager sont sous son propre contrôle (exit donc Google et compagnie).
Est‐ce accessible au non geek ? Probablement plus simplement qu’on ne le pense, il existe de plus en plus de solutions fonctionnelles, mais peu connues.
La conférence de Benjamin Bayart, Internet libre, ou Minitel 2.0 ? , est sans doute une des plus emblématiques du monde de l’Internet et du libre. Elle en a motivé plus d’un à s’essayer à l’auto-hébergement. Toutefois celui-ci présente encore des contraintes à repousser.
Pour rappel, la conférence en question met en parallèle les 2 façons d’aborder l’Internet : un Internet centralisé où des géants tels que Google, Youtube, Facebook, etc. concentrent les données et un Internet libre où chacun est un acteur maître de son contenu.
Pour rappel, la conférence en question met en parallèle les 2 façons d’aborder l’Internet : un Internet centralisé où des géants tels que Google, Youtube, Facebook, etc. concentrent les données et un Internet libre où chacun est un acteur maître de son contenu.
Dans la plus grande indifférence, nous confions nos mails à de grosses entreprises. J’ai déjà abordé ce sujet, mais je n’ai pas cette fois la sensation que l’auto-hébergement soit accessible.
Stocker ses données hors-ligne
Pour commencer, tous les Clouds ont obligatoirement des Conditions d’Utilisation. Vous acceptez donc en ces termes que vos données soient soumises à conditions. C’est un non-sens de vous dire comment vous devez utiliser vos propres données.
Le Cloud est souvent compris comme une solution infaillible (et à moindre coût) de sauvegarde de données. C’est faux.
D’abord la sauvegarde sur disque dur externe étant moins complexe, vous aurez la possibilité d’effectuer des sauvegardes plus régulières.
Ensuite, les données étant stockées en ligne, vous n’y accéderez par définition pas si votre connexion internet est inopérante ou si votre système d’exploitation est hors service.
Autre point important, si automatisation il y a, l’automatisation des sauvegardes peut impliquer que vous ne maîtrisiez plus vous même quelles données sont sauvegardées.
Ne pas confier ses mails à des inconnus
Stocker ses données hors-ligne
Pour commencer, tous les Clouds ont obligatoirement des Conditions d’Utilisation. Vous acceptez donc en ces termes que vos données soient soumises à conditions. C’est un non-sens de vous dire comment vous devez utiliser vos propres données.
Le Cloud est souvent compris comme une solution infaillible (et à moindre coût) de sauvegarde de données. C’est faux.
D’abord la sauvegarde sur disque dur externe étant moins complexe, vous aurez la possibilité d’effectuer des sauvegardes plus régulières.
Ensuite, les données étant stockées en ligne, vous n’y accéderez par définition pas si votre connexion internet est inopérante ou si votre système d’exploitation est hors service.
Autre point important, si automatisation il y a, l’automatisation des sauvegardes peut impliquer que vous ne maîtrisiez plus vous même quelles données sont sauvegardées.
Ne pas confier ses mails à des inconnus
Beedbox, qu'est ce que c'est ?
Beedbox est un projet visant à permettre à tout un chacun d'héberger ses propres services web à domicile et d'apporter enfin une alternative simple aux services de Google, Facebook et consors afin de reprendre le contrôle de vos données.
Nous concentrons d'abord nos efforts sur la création d'une distribution GNU/Linux puis le projet proposera par la suite, un materiel basse consommation et silencieux pour une solution clé en main.
Le principe?
Beedbox est un projet visant à permettre à tout un chacun d'héberger ses propres services web à domicile et d'apporter enfin une alternative simple aux services de Google, Facebook et consors afin de reprendre le contrôle de vos données.
Nous concentrons d'abord nos efforts sur la création d'une distribution GNU/Linux puis le projet proposera par la suite, un materiel basse consommation et silencieux pour une solution clé en main.
Le principe?