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DEMOCRATIE
On entend souvent que la meilleure réponse contre la désinformation, c’est l’éducation. Qui passe notamment par la « littératie numérique » comme disent les spécialistes, c’est-à-dire la maîtrise des savoirs, capacités liées aux technologies numériques. Mais c’est oublier que l’éducation est trop souvent convoquée pour être la réponse à tous les maux, sans qu’elle soit extensible à l’infini, c’est-à-dire capable d’adresser tous les problèmes du monde. Rolin Moe (@RMoeJo), directeur de l’Institut pour l’innovation académique de Seattle, pour Real Life revient sur les nombreuses déclarations qu’on a pu entendre récemment, convoquant l’éducation pour répondre aux fake news (voir notre article « Peut-on répondre à la désinformation ? »). C’est oublier ou croire que ceux qui produisent de la désinformation seraient les seuls responsables, les seuls à exalter les promesses solutionnistes de la Silicon Valley, ou un programme ou une plateforme est toujours un remède à un problème. On peut continuer à nier « la complicité d’une société qui promet le savoir comme un pouvoir, tout en traitant toujours l’information comme une ressource économique »… La désinformation fait partie du paysage. Tenter de l’expulser ne fera que déplacer le problème, estime-t-il.
La consultation publique en ligne initiée par MM. les députés Luc Belot (PS) et Patrice Martin-Lalande (LR) sera clôturée mardi 17 janvier. Elle porte sur leur proposition de loi « généralisant la consultation publique en ligne, par l’internet, sur les textes de loi avant leur examen par le Parlement ».
Au vu du calendrier parlementaire cette proposition de loi ne sera vraisemblablement pas présentée au Parlement, cependant elle a le mérite de faire avancer le débat sur les consultations publiques en ligne. D'autant qu'il est tout à fait probable que la prochaine majorité se saisisse de ce sujet tant il semble populaire : nombreux sont ceux qui semblent considérer ces consultations comme un pilier d'un « renouveau démocratique ». C'est le cas des députés à l'origine de la proposition qui voient dans ces consultations un moyen de « retisser le lien de confiance distendu ».
Au vu du calendrier parlementaire cette proposition de loi ne sera vraisemblablement pas présentée au Parlement, cependant elle a le mérite de faire avancer le débat sur les consultations publiques en ligne. D'autant qu'il est tout à fait probable que la prochaine majorité se saisisse de ce sujet tant il semble populaire : nombreux sont ceux qui semblent considérer ces consultations comme un pilier d'un « renouveau démocratique ». C'est le cas des députés à l'origine de la proposition qui voient dans ces consultations un moyen de « retisser le lien de confiance distendu ».
La consultation publique en ligne initiée par MM. les députés Luc Belot (PS) et Patrice Martin-Lalande (LR) sera clôturée mardi 17 janvier. Elle porte sur leur proposition de loi « généralisant la consultation publique en ligne, par l’internet, sur les textes de loi avant leur examen par le Parlement »
C’est avec une certaine inquiétude que Lawrence Lessig observe comment Internet est à la fois un outil fantastique et ce qui a renforcé la crise démocratique. Professeur de droit à Harvard, constitutionnaliste réputé, Lawrence Lessig est l’un des premiers penseurs du web. Dès les années 1990, il a réfléchi aux liens entre Internet et la démocratie. C’est à lui que l’on doit les licences “creative commons” (pour la mise à disposition d’oeuvres en ligne). Et la publication, en 2000, d’un texte devenu classique de la littérature numérique “Code is law” [“le code, c’est la loi”]. Il y expliquait qu’avec la numérisation de nos sociétés, le programme informatique était amené à faire loi. 16 ans, plus tard les algorithmes sont partout dans nos vies.
Bon. 2017, année électorale, que faire ? Ne pas en parler, parce que c’est tellement déprimant et éloigné de ce que devrait être la politique qu’il vaut mieux justement se consacrer à des choses plus importantes ? Ou alors en parler parce que ces gens-là ont malgré tout le pouvoir, et que se résigner c’est leur donner raison ?
Bref, l’année 2016 aura eu son gros lot d’articles politiques. Je ne sais pas si je suivrais la tendance cette année. Ça peut soit me gonfler, soit m’inspirer. On verra bien.
En tout cas, on commence quand même l’année par ça. Et par ce problème fondamental qui n’est juste jamais évoqué dans les grands médias : comment on fait quand les deux partis présentés comme « gouvernementaux » (déjà ça, ça me gonfle), sont d’accord sur l’organisation fondamentale de la société ? Sur le fait de subir la mondialisation sans broncher et de continuer la grande marche de la libéralisation d’à peu près tout, de la destruction méthodique du programme du Conseil National de la Résistance ? Et d’autant plus quand ces deux partis se réclament d’idéologies (respectivement le socialisme et le gaullisme) qui, toutes deux, impliquent en principe le rejet de tout cela ?
Chaque jour de nouveaux clous dans le cercueil de la démocratie représentative…
Bref, l’année 2016 aura eu son gros lot d’articles politiques. Je ne sais pas si je suivrais la tendance cette année. Ça peut soit me gonfler, soit m’inspirer. On verra bien.
En tout cas, on commence quand même l’année par ça. Et par ce problème fondamental qui n’est juste jamais évoqué dans les grands médias : comment on fait quand les deux partis présentés comme « gouvernementaux » (déjà ça, ça me gonfle), sont d’accord sur l’organisation fondamentale de la société ? Sur le fait de subir la mondialisation sans broncher et de continuer la grande marche de la libéralisation d’à peu près tout, de la destruction méthodique du programme du Conseil National de la Résistance ? Et d’autant plus quand ces deux partis se réclament d’idéologies (respectivement le socialisme et le gaullisme) qui, toutes deux, impliquent en principe le rejet de tout cela ?
Chaque jour de nouveaux clous dans le cercueil de la démocratie représentative…
La Primaire.org s’est lancée mi 2016 pour désigner un candidat « citoyen » à l’élection présidentielle de ce printemps. Plus de 120 000 personnes se sont inscrites pour participer au processus de sélection. Les candidats initiaux étaient nombreux : 215 en tout ! Parmi eux, seize ont réussi à rassembler les 500 parrainages citoyens nécessaire pour se qualifier. En octobre, cinq d’entre eux, dont deux femmes, ont été choisi lors d’un premier vote. Et ce 30 décembre, 32 685 personnes ont, selon le décompte de l’association, participé au vote final. Soit davantage que lors de la primaire d’EELV, qui avait réuni un peu plus de 17 000 votants en octobre.
Les cinq candidats « citoyens » et leurs propositions ont été évalués par un système orignal de notation, avec une échelle d’appréciation : « très bien », « bien » « assez bien » , « passable » et « insuffisant » (voir ici). C’est une femme, Charlotte Marchandise, qui a finalement obtenu une majorité d’appréciations « très bien ». Elle a donc été désignée candidate du mouvement. Charlotte Marchandise n’est pas absolument novice en politique, mais presque. Elle est élue municipale de Rennes, adjointe à la santé, depuis deux ans. Elle n’est affiliée à aucun parti mais figurait comme candidate citoyenne une liste de gauches unies (EELV, Front de gauche puis fusion avec le PS).
Il lui reste désormais à réunir les 500 parrainages d’élus nécessaires pour être en mesure de se présenter à la présidentielle.
Les cinq candidats « citoyens » et leurs propositions ont été évalués par un système orignal de notation, avec une échelle d’appréciation : « très bien », « bien » « assez bien » , « passable » et « insuffisant » (voir ici). C’est une femme, Charlotte Marchandise, qui a finalement obtenu une majorité d’appréciations « très bien ». Elle a donc été désignée candidate du mouvement. Charlotte Marchandise n’est pas absolument novice en politique, mais presque. Elle est élue municipale de Rennes, adjointe à la santé, depuis deux ans. Elle n’est affiliée à aucun parti mais figurait comme candidate citoyenne une liste de gauches unies (EELV, Front de gauche puis fusion avec le PS).
Il lui reste désormais à réunir les 500 parrainages d’élus nécessaires pour être en mesure de se présenter à la présidentielle.
Avec les sources indiscutables qui vont avec
2017 approche et la démocratie va encore être mise à mal par les élections qui viennent. Voici un peu de matériel intellectuel destiné à la promotion de la démocratie réelle.
N'hésitez pas à vous servir dans cette argumentation libre de droits pour étayer vos discussions sur les forums, les réseaux sociaux, les bars et dans les repas de famille. Et ajoutez en commentaire ce que j'ai pu oublier, ou corrigez ce que j'ai mal dit.
2017 approche et la démocratie va encore être mise à mal par les élections qui viennent. Voici un peu de matériel intellectuel destiné à la promotion de la démocratie réelle.
N'hésitez pas à vous servir dans cette argumentation libre de droits pour étayer vos discussions sur les forums, les réseaux sociaux, les bars et dans les repas de famille. Et ajoutez en commentaire ce que j'ai pu oublier, ou corrigez ce que j'ai mal dit.
La prospectiviste Amy Webb (@amywebb, Wikipédia), fondatrice du Future Today Institute est l’auteur de deux livres : Data, a Love Story : How I Cracked the Online Dating Code to Meet My Match, et tout récemment, The Signals Are Talking : Why Today’s Fringe Is Tomorrow’s Mainstream. C’est à propos de ce dernier ouvrage qu’elle a été interviewée par la Technology Review.
Le monde en ce début de l’année 2017 est un champ de ruines et, en de nombreuses régions, un charnier à livre ouvert. Pour les historiens futurs, s’il s’en trouve encore, l’année qui vient de s’achever apparaîtra comme un tournant tragique de l’histoire mondiale, un de ces moments où la vision du gouffre n’a jamais été aussi proche. Le monde n’est jamais apparu, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, malgré les risques de cataclysme de la Guerre froide, comme aussi dangereux tant pour la paix que pour les valeurs de droit et de liberté. Nous n’avons jamais eu autant besoin de dirigeants dotés d’un sens historique et de principes.
Les tares de la 5ème République sont connues : une organisation territoriale du pouvoir qui empêche la représentation paritaire des CSP et même des classes sociales... La parité hommes/femmes progresse à la vitesse d’un escargot et n’est évoquée que pour masquer l’absence totale d’ouvriers et d’employés... La très stupide élection présidentielle masque aussi de vrais enjeux et produit un crétinisme civique massif
Alors que la démocratie brésilienne est en pleine crise de confiance, un candidat aux élections municipales de Rio de Janeiro finance sa campagne électorale en faisant appel aux donations des citoyens. Une campagne inclusive et transparente qui a été portée par deux experts du crowdfunding au Brésil : Felipe Caruso et Téo Ferraz Benjamin. Nous avons rencontré ce dernier à Colaboramerica pour comprendre comment le financement participatif pouvait servir les valeurs de la démocratie.
Le procédé anti-démocratique à l’oeuvre qui consiste à élire des dirigeants au lieu de voter les lois nous conduit de période en période à remettre sur le tapis des sujets qui au final ne seront pas traités, ou dans la plupart des cas traités dans un sens tout à fait différent des « promesses de campagne » qui n’engagent que ceux qui les croient, et ne constituent en rien le principe démocratique.
Parmi ces sujets abscons et traités de manière parfaitement incohérente au sein d’une économie mesurée sur le fondement d’une monnaie non-libre, il y a l’économie de la médecine.
Parmi ces sujets abscons et traités de manière parfaitement incohérente au sein d’une économie mesurée sur le fondement d’une monnaie non-libre, il y a l’économie de la médecine.
Imposteur! C’est le premier mot qui nous vient à l’esprit quand on évoque ce malfaiteur.
Alors que ce triste Sire prétend depuis plus de 10 ans ne rien monétiser de ses pitoyables « productions » musicalo-pathétiques, nos inspecteurs en fact checking ont passé au crible son dernier méfait, les résultats sont édifiants.
La vidéo d’abord (à surtout ne pas regarder ni partager)
Alors que ce triste Sire prétend depuis plus de 10 ans ne rien monétiser de ses pitoyables « productions » musicalo-pathétiques, nos inspecteurs en fact checking ont passé au crible son dernier méfait, les résultats sont édifiants.
La vidéo d’abord (à surtout ne pas regarder ni partager)
La France accueillera, les 7, 8 et 9 décembre, le quatrième Sommet mondial du Partenariat pour un Gouvernement Ouvert (PGO).
Initiative multilatérale inédite crée en 2011 par huit pays fondateurs, le PGO rassemble des représentants des 70 Etats membres et de la société civile, qui souhaitent s’engager en faveur de la transparence de l’action publique et d’une meilleure association des citoyens à la prise de décision, en titrant tout le profit de l’innovation numérique.
Les pays qui rejoignent l’OGP s’engagent à respecter les grands principes de la Déclaration du gouvernement ouvert :
* Transparence de l’action publique, notamment via l’ouverture des données publiques
* Participation des citoyens à l’élaboration et à l’évaluation des politiques publiques
* Intégrité de l’action publique et des agents publics
* Utilisation des nouvelles technologies en faveur de l’ouverture et de la redevabilité
Initiative multilatérale inédite crée en 2011 par huit pays fondateurs, le PGO rassemble des représentants des 70 Etats membres et de la société civile, qui souhaitent s’engager en faveur de la transparence de l’action publique et d’une meilleure association des citoyens à la prise de décision, en titrant tout le profit de l’innovation numérique.
Les pays qui rejoignent l’OGP s’engagent à respecter les grands principes de la Déclaration du gouvernement ouvert :
* Transparence de l’action publique, notamment via l’ouverture des données publiques
* Participation des citoyens à l’élaboration et à l’évaluation des politiques publiques
* Intégrité de l’action publique et des agents publics
* Utilisation des nouvelles technologies en faveur de l’ouverture et de la redevabilité
En sa qualité de co-présidente du Partenariat pour un gouvernement ouvert, la France accueillera le 4e Sommet mondial de l’Open Government Partnership (OGP) à Paris du 7 au 9 décembre prochain. Ce Partenariat regroupe aujourd’hui 70 États et des centaines d’organisations de la société civile qui agissent promouvant la transparence, la participation citoyenne et l’innovation démocratique à travers le monde.
En novembre dernier, nous avions annoncé que SavoirsCom1 boycotterait le sommet de l’OGP (Open Government Partnership) pour s’opposer à la mise en place du mega-fichier TES sur les empreintes biométriques. Alors que le sommet va s’ouvrir cette semaine, nous nous associons à 10 autres associations pour un communiqué qui dénonce le décalage entre la communication sur le « gouvernement ouvert » et son bilan depuis 5 ans.
***
Alors que la France s’apprête à accueillir le Sommet mondial du Partenariat pour un Gouvernement Ouvert, plusieurs associations pointent les contradictions du gouvernement. Certaines ne s’y rendront pas.
Bilan du gouvernement ouvert à la française (9 pages), co-signé par les associations et collectifs suivants : April, BLOOM, DemocracyOS France, Fais ta loi, Framasoft, La Quadrature du Net, Ligue des Droits de l’Homme, Regards Citoyens, République citoyenne, SavoirsCom1.
Derrière un apparent « dialogue avec la société civile », la France est loin d’être une démocratie exemplaire.
(...)
Les associations signataires de ce communiqué dressent un bilan critique et demandent au gouvernement et aux parlementaires de revoir certains choix qui s’avèrent radicalement incompatibles avec l’intérêt général et l’esprit du PGO, et de mettre enfin en cohérence leurs paroles et leurs actes.
Lire le bilan complet (9 pages).
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Alors que la France s’apprête à accueillir le Sommet mondial du Partenariat pour un Gouvernement Ouvert, plusieurs associations pointent les contradictions du gouvernement. Certaines ne s’y rendront pas.
Bilan du gouvernement ouvert à la française (9 pages), co-signé par les associations et collectifs suivants : April, BLOOM, DemocracyOS France, Fais ta loi, Framasoft, La Quadrature du Net, Ligue des Droits de l’Homme, Regards Citoyens, République citoyenne, SavoirsCom1.
Derrière un apparent « dialogue avec la société civile », la France est loin d’être une démocratie exemplaire.
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Les associations signataires de ce communiqué dressent un bilan critique et demandent au gouvernement et aux parlementaires de revoir certains choix qui s’avèrent radicalement incompatibles avec l’intérêt général et l’esprit du PGO, et de mettre enfin en cohérence leurs paroles et leurs actes.
Lire le bilan complet (9 pages).
Alors que la France s’apprête à accueillir le Sommet mondial du Partenariat pour un Gouvernement Ouvert, plusieurs associations pointent les contradictions du gouvernement. Certaines ne s’y rendront pas.
Bilan du gouvernement ouvert à la française (9 pages), co-signé par les associations et collectifs suivants : April, BLOOM, DemocracyOS France, Fais ta loi, Framasoft, La Quadrature du Net, Ligue des Droits de l’Homme, Regards Citoyens, République citoyenne, SavoirsCom1.
Derrière un apparent « dialogue avec la société civile », la France est loin d’être une démocratie exemplaire.
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Les associations signataires de ce communiqué dressent un bilan critique et demandent au gouvernement et aux parlementaires de revoir certains choix qui s’avèrent radicalement incompatibles avec l’intérêt général et l’esprit du PGO, et de mettre enfin en cohérence leurs paroles et leurs actes.
Lire le bilan complet (9 pages).
Bilan du gouvernement ouvert à la française (9 pages), co-signé par les associations et collectifs suivants : April, BLOOM, DemocracyOS France, Fais ta loi, Framasoft, La Quadrature du Net, Ligue des Droits de l’Homme, Regards Citoyens, République citoyenne, SavoirsCom1.
Derrière un apparent « dialogue avec la société civile », la France est loin d’être une démocratie exemplaire.
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Les associations signataires de ce communiqué dressent un bilan critique et demandent au gouvernement et aux parlementaires de revoir certains choix qui s’avèrent radicalement incompatibles avec l’intérêt général et l’esprit du PGO, et de mettre enfin en cohérence leurs paroles et leurs actes.
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Alors que la France s’apprête à accueillir le Sommet mondial du Partenariat pour un Gouvernement Ouvert, plusieurs associations pointent les contradictions du gouvernement. Certaines ne s’y rendront pas.
Ce bilan du « gouvernement ouvert » à la française co-signé par les associations et collectifs suivants : April, BLOOM, DemocracyOS France, Fais ta loi, Framasoft, Ligue des Droits de l’Homme, Regards Citoyens, République citoyenne, SavoirsCom1, et La Quadrature du Net.
Derrière un apparent « dialogue avec la société civile », la France est loin d'être une démocratie exemplaire.
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Les associations signataires de ce communiqué dressent un bilan critique et demandent au gouvernement et aux parlementaires de revoir certains choix qui s'avèrent radicalement incompatibles avec l’intérêt général et l’esprit du PGO, et de mettre enfin en cohérence leurs paroles et leurs actes.
Lire le document complet
Ce bilan du « gouvernement ouvert » à la française co-signé par les associations et collectifs suivants : April, BLOOM, DemocracyOS France, Fais ta loi, Framasoft, Ligue des Droits de l’Homme, Regards Citoyens, République citoyenne, SavoirsCom1, et La Quadrature du Net.
Derrière un apparent « dialogue avec la société civile », la France est loin d'être une démocratie exemplaire.
(...)
Les associations signataires de ce communiqué dressent un bilan critique et demandent au gouvernement et aux parlementaires de revoir certains choix qui s'avèrent radicalement incompatibles avec l’intérêt général et l’esprit du PGO, et de mettre enfin en cohérence leurs paroles et leurs actes.
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Alors que la France s’apprête à accueillir le Sommet mondial du Partenariat pour un Gouvernement Ouvert, plusieurs associations pointent les contradictions du gouvernement. Certaines ne s’y rendront pas.
Bilan du gouvernement ouvert à la française (9 pages), co-signé par les associations et collectifs suivants : ANTICOR, April, BLOOM, DemocracyOS France, Fais ta loi, Framasoft, La Quadrature du Net, Ligue des Droits de l’Homme, Regards Citoyens, République citoyenne, SavoirsCom1.
Derrière un apparent « dialogue avec la société civile », la France est loin d'être une démocratie exemplaire.
(...)
Les associations signataires de ce communiqué dressent un bilan critique et demandent au gouvernement et aux parlementaires de revoir certains choix qui s'avèrent radicalement incompatibles avec l’intérêt général et l’esprit du PGO, et de mettre enfin en cohérence leurs paroles et leurs actes.
Lire le bilan complet (9 pages).
Bilan du gouvernement ouvert à la française (9 pages), co-signé par les associations et collectifs suivants : ANTICOR, April, BLOOM, DemocracyOS France, Fais ta loi, Framasoft, La Quadrature du Net, Ligue des Droits de l’Homme, Regards Citoyens, République citoyenne, SavoirsCom1.
Derrière un apparent « dialogue avec la société civile », la France est loin d'être une démocratie exemplaire.
(...)
Les associations signataires de ce communiqué dressent un bilan critique et demandent au gouvernement et aux parlementaires de revoir certains choix qui s'avèrent radicalement incompatibles avec l’intérêt général et l’esprit du PGO, et de mettre enfin en cohérence leurs paroles et leurs actes.
Lire le bilan complet (9 pages).
La situation est apocalyptique sur tous les fronts : inégalités, guerres, environnement, des scientifiques en sont à calculer la probabilité que l’humanité survivra à ce siècle. Il nous faut réagir de façon massive et radicale, mais nous sommes ultra minoritaires à être prêt au changement. C’est insupportablement trop long et ingrat, mais je reste pour l’option du combat pacifique et de l’éducation populaire plutôt que celle des fusils. Ça ne m’intéresse pas d’imposer un nouvel ordre qui n’aurait pas la légitimité de la décision populaire. J’ai bien conscience de mes infimes probabilités de succès, notamment parce qu’il nous faudra beaucoup de temps et qu’on n’en a plus, mais on a connu pire.