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EDUCATION
Nous percevons de plus en plus la réalité du monde qui nous entoure par des prismes. Il peut s’agir de celui des médias, de celui des réseaux sociaux ou bien encore des moteurs de recherche. Pourtant, comme tout cartésien le dit, « nos sens nous trompent »…
Nous sommes heureux d’annoncer la publication de la nouvelle version de GCompris, le logiciel éducatif pour les enfants de deux à dix ans.
Il s’agit d’une étape importante car nous abandonnons enfin officiellement l’ancienne version GTK+ pour la version Qt sur Windows.
Celle‐ci contient entre autres huit nouvelles activités, listées dans la suite de la dépêche. Certaines ont été développées par des étudiants lors du Google Summer Of Code, auquel nous avons participé une fois de plus au sein du projet KDE.
Cette version est complètement traduite en quinze langues grâce au travail de la communauté KDE.
Il s’agit d’une étape importante car nous abandonnons enfin officiellement l’ancienne version GTK+ pour la version Qt sur Windows.
Celle‐ci contient entre autres huit nouvelles activités, listées dans la suite de la dépêche. Certaines ont été développées par des étudiants lors du Google Summer Of Code, auquel nous avons participé une fois de plus au sein du projet KDE.
Cette version est complètement traduite en quinze langues grâce au travail de la communauté KDE.
Le système d'exploitation du RaspBerry Pi est désormais disponible en version x86. Cela signifie que vous pouvez l'installer sur tous les ordinateurs, portables ou de bureau.
Dans un contexte de crise économique, la question de la résilience des entreprises est clairement posée. La prise en compte du développement durable par celles-ci doit donc être vue comme un enjeu stratégique majeur.
Les récentes études montrent très nettement que l’intégration de la dimension sociale et environnementale et leur mise en œuvre concrète dans les entreprises sont à l’origine d’une meilleure performance économique.
Les récentes études montrent très nettement que l’intégration de la dimension sociale et environnementale et leur mise en œuvre concrète dans les entreprises sont à l’origine d’une meilleure performance économique.
Pour la deuxième année consécutive, des contributeurs et contributrices bénévoles de l’encyclopédie Wikipédia, soutenus par l’association Wikimédia France, créent un cours en ligne gratuit et ouvert à tous pour apprendre à contribuer à Wikipédia : le WikiMOOC. Le cours commencera le 6 mars 2017 et il est d’ores et déjà possible de s’inscrire via la plateforme France université numérique.
En France, les débats sur l’efficacité du système scolaire se cristallisent autour de l’autonomie du chef d’établissement. Une focalisation qui conduit à ignorer de nombreuses questions de management. Une analyse détaillée de certains aspects de l’organisation du système scolaire canadien – dont les bonnes performances ont été saluées par la dernière enquête PISA – fait ressortir des éléments bien plus riches.
On dénombre aujourd’hui environ 1 million de cours sous forme de MOOC, dont l’immense majorité (environ 80 %) aux États-Unis. Cependant, l’enjeu de démocratisation culturelle doit être revu avec modestie : les deux tiers des participants à des MOOC sont titulaires d’un diplôme de licence et la moyenne d’âge est de 28 ans.
Les MOOC ont-ils un avenir ? Trois paradoxes se profilent.
Les MOOC ont-ils un avenir ? Trois paradoxes se profilent.
Apple a commencé à donner des cours gratuits de programmation informatique pour les enfants. Nous sommes allés les voir à l'Apple Store du Marché Saint-Germain : l'expérience était aussi amusante qu'enrichissante.
Maintenant, en plus de proposer mon logiciel libre depuis 11 ans, je veux maintenant proposer des formations pour apprendre à programmer avec le langage Linotte dans les écoles, collectivités ou entreprises. Si cela intéresse des personnes, n’hésitez pas à me contacter sur mon courriel contact@codevallee.fr ! Et oui, pourquoi ne pas vivre de son logiciel libre ? C’est mon prochain pari….
Bonne programmation !
Bonne programmation !
L’apprentissage du code, et plus largement du développement est une tâche qui peut s’avérer hardue, notamment lorsque l’on peine à trouver des contextes d’utilisation concrets, ce qui est notamment le cas à l’école
C’est dans ce contexte que je vous présente aujourd’hui CodeCombat, un site web, ou plutôt un jeu en ligne, dont l’objectif est de faire apprendre la programmation en s’amusant, c’est à dire en jouant. Il s’agit en somme d’une plateforme d’apprentissage en ligne qui tourne 100% autour de la gamification.
C’est dans ce contexte que je vous présente aujourd’hui CodeCombat, un site web, ou plutôt un jeu en ligne, dont l’objectif est de faire apprendre la programmation en s’amusant, c’est à dire en jouant. Il s’agit en somme d’une plateforme d’apprentissage en ligne qui tourne 100% autour de la gamification.
Dans le cadre du programme Hour of Code, Microsoft France annonce que plusieurs de ses employés participeront toute la semaine à des ateliers pour faire découvrir le code à des enfants de 7 à 15 ans. 2 500 jeunes seront concernés.
Ça m'énerve ! Pourquoi y a-t-il encore des "microsoft word" d'installés dans les écoles ? Grrr !
Le pire, c'est que les parents vont aller l'acheter pour l'avoir à la maison. Et comme tout le monde l'a à la maison, les écoles vont aller l'installer pour ne pas "perturber" les pitis enfants.
Le pire, c'est que les parents vont aller l'acheter pour l'avoir à la maison. Et comme tout le monde l'a à la maison, les écoles vont aller l'installer pour ne pas "perturber" les pitis enfants.
Le ministère de l’Éducation nationale (MEN) use de méthodes déloyales pour imposer un nouveau fichier scolaire aux implications plus que sensibles. Le livret scolaire unique numérique (LSUN) est le dernier maillon d’un fichage méticuleux qui remet en selle le débat ouvert il y a 10 ans lors de la sortie fracassante du gros fichier des écoliers, Base élèves 1er degré (BE1D).
Ce livret scolaire est censé s’imposer du CP à la 3ème, commun à l’école élémentaire et au collège, c’est à dire durant toute la scolarité obligatoire. Là où ça coince, c’est que les données que doit recueillir le LSUN sont exactement celles qui avaient du être expurgées de BE1D, en 2008, afin que ce dernier puisse plus facilement être accepté en masse par les parents d’élèves et les enseignants. Quelques réunions houleuses sur ce « livret numérique » ont déjà eu lieu à Paris entre des enseignants et leurs inspecteurs de circonscription, qu’on appelle dans la grande maison les IEN. En question notamment, l’absence totale d’information que doit légalement obtenir toute personne – en l’espèce, les responsables légaux des enfants concernés – dont les données personnelles sont traités dans un fichier informatisé.
Ce livret scolaire est censé s’imposer du CP à la 3ème, commun à l’école élémentaire et au collège, c’est à dire durant toute la scolarité obligatoire. Là où ça coince, c’est que les données que doit recueillir le LSUN sont exactement celles qui avaient du être expurgées de BE1D, en 2008, afin que ce dernier puisse plus facilement être accepté en masse par les parents d’élèves et les enseignants. Quelques réunions houleuses sur ce « livret numérique » ont déjà eu lieu à Paris entre des enseignants et leurs inspecteurs de circonscription, qu’on appelle dans la grande maison les IEN. En question notamment, l’absence totale d’information que doit légalement obtenir toute personne – en l’espèce, les responsables légaux des enfants concernés – dont les données personnelles sont traités dans un fichier informatisé.
Cette fois-ci, c’est fait. Framasoft claque la porte de l’Éducation nationale. Après des années de lutte et de travaux de promotion des logiciels libres, le ministère continue de clairement privilégier les outils de Microsoft. Forcément, au bout d’un moment, il y a de quoi s’agacer un peu. Avec toutes les actions et recommandations que l’association a faites, rien ne change et Microsoft est toujours le premier choix. Du coup, un article vient expliquer la position de Framasoft vis-à-vis du ministère de l’Éducation.
Que faire ? Les GAFAM sont bien trop puissants pour lutter comme cela. Et nos dirigeants sont bien trop sensible à leur pression, et leur portefeuille.
Il faut donc continuer la lutte, mais par d’autres moyens. Se regrouper, pour créer et développer de vrais alternatives, capables de lutter, proposant des outils performants et de vrais moyens pour les promouvoir. En clair, pas des CHATONS, des Lions.
Que faire ? Les GAFAM sont bien trop puissants pour lutter comme cela. Et nos dirigeants sont bien trop sensible à leur pression, et leur portefeuille.
Il faut donc continuer la lutte, mais par d’autres moyens. Se regrouper, pour créer et développer de vrais alternatives, capables de lutter, proposant des outils performants et de vrais moyens pour les promouvoir. En clair, pas des CHATONS, des Lions.
Cet article vise à clarifier la position de Framasoft, sollicitée à plusieurs reprises par le Ministère de l’Éducation Nationale ces derniers mois. Malgré notre indignation, il ne s’agit pas de claquer la porte, mais au contraire d’en ouvrir d’autres vers des acteurs qui nous semblent plus sincères dans leur choix du libre et ne souhaitent pas se cacher derrière une « neutralité et égalité de traitement » complètement biaisée par l’entrisme de Google, Apple ou Microsoft au sein de l’institution.
Le magazine Alternatives économiques organise des journées sur le thème de « L’économie autrement », à Dijon, les 25 et 26 novembre. L’enjeu : mettre en valeur les initiatives concrètes développées par les acteurs de l’économie sociale et solidaire, tout en questionnant leur capacité à transformer le modèle économique et social. Au menu : revenu de base, économie circulaire, droit au logement, transition énergétique, monnaies locales, réussite scolaire, démocratie dans l’entreprise, accès à la santé...
Lancée en 2015, la Grande École du Numérique défendue par le président de la République compte désormais 225 formations labellisées. Objectif ? Former des jeunes pas ou peu qualifiés ainsi que des femmes aux métiers du numérique.
Le M de GAFAM se retrouve décidément à tous les étages de nos ministères… on avait déjà évoqué celui de l’Éducation Nationale. À quel moment exactement va-t-on finir par considérer que c’est un problème ?
Sur le Monde Diplo, Evgeny Morozov (@evgenymorozov) revient sur les oeuvres caritatives de Mark Zuckerberg.
Morozov pointe le fait que ses investissements caritatifs dans le domaine de la santé ou de l’éducation sont rendus possibles par les impôts que Facebook ne paie pas. Mais surtout, il montre que ses donations sont avant tout des investissements dans des technologies de santé et d’éducation qui valorisent le modèle des Gafa, comme l’utilisation de la personnalisation des données des utilisateurs. Pour Morozov, ces investissements visent avant tout à armer la refonte du système éducatif ou du système de santé, au service des intérêts de ces mêmes investisseurs.
Morozov pointe le fait que ses investissements caritatifs dans le domaine de la santé ou de l’éducation sont rendus possibles par les impôts que Facebook ne paie pas. Mais surtout, il montre que ses donations sont avant tout des investissements dans des technologies de santé et d’éducation qui valorisent le modèle des Gafa, comme l’utilisation de la personnalisation des données des utilisateurs. Pour Morozov, ces investissements visent avant tout à armer la refonte du système éducatif ou du système de santé, au service des intérêts de ces mêmes investisseurs.
Dans le monde de la recherche scientifique, publier ses travaux est un passage obligé. Cela permet aux chercheuses et chercheurs de faire connaître leur travail mais aussi d’être identifié par leurs pairs et pourquoi pas d’obtenir un poste, à condition d’être publié dans les bonnes revues. Sauf que cette mécanique de publication – qui permettait à la base de faire circuler le savoir – est devenue une vraie chasse gardée économique : celle des éditeurs scientifiques. Quelques grands noms comme le neerlandais Elsevier ou le groupe Springer/Nature se partagent un marché juteux et privatisent au passage des travaux scientifiques la plupart du temps financés par des fonds publics.