14046 shaares
44 results
tagged
INTEROPERABILITE
L'April appelle les personnels de l'Éducation nationale, parents d'élèves, organisations, citoyens à signer l'appel pour l'interopérabilité dans l'Éducation nationale.
À l'initiative de l'April, plus de 100 personnels, enseignants, syndicats de l'Éducation nationale lancent un appel pour la généralisation des formats ouverts dans l'Éducation nationale. Cet appel reçoit également le soutien de SE-UNSA1, du SGEN-CFDT2, de la Fédération SUD Éducation3, des Clionautes4 et de LinuxÉdu5.
Cet appel est ouvert à tous : personnels de l'Éducation nationale, parents d'élèves, organisations, citoyens. Nous vous invitons à nous rejoindre pour l'interopérabilité dans l'Éducation nationale en signant dès maintenant l'appel.
N'hésitez pas à faire circuler l'information autour de vous pour recueillir un maximum de soutiens notamment d'ici le salon Educatec-Educatice des 26, 27 et 28 novembre 2014 !
À l'initiative de l'April, plus de 100 personnels, enseignants, syndicats de l'Éducation nationale lancent un appel pour la généralisation des formats ouverts dans l'Éducation nationale. Cet appel reçoit également le soutien de SE-UNSA1, du SGEN-CFDT2, de la Fédération SUD Éducation3, des Clionautes4 et de LinuxÉdu5.
Cet appel est ouvert à tous : personnels de l'Éducation nationale, parents d'élèves, organisations, citoyens. Nous vous invitons à nous rejoindre pour l'interopérabilité dans l'Éducation nationale en signant dès maintenant l'appel.
N'hésitez pas à faire circuler l'information autour de vous pour recueillir un maximum de soutiens notamment d'ici le salon Educatec-Educatice des 26, 27 et 28 novembre 2014 !
Association Francophone des Utilisateurs de Logiciels Libres
Promouvoir les logiciels libres ainsi que l'utilisation de standards ouverts.
Depuis 1998, l'AFUL a pour but de promouvoir le logiciel libre, en particulier les systèmes d'exploitation (comme GNU-Linux ou les systèmes BSD libres), et aide à la diffusion de standards ouverts. L'AFUL est une organisation à but non lucratif (association loi 1901) qui réunit des utilisateurs, des professionnels, des entreprises et d'autres associations situées dans plus de dix pays et régions francophones (France, Belgique, Suisse, Luxembourg, Québec, pays d'Afrique francophone, etc.)
Promouvoir les logiciels libres ainsi que l'utilisation de standards ouverts.
Depuis 1998, l'AFUL a pour but de promouvoir le logiciel libre, en particulier les systèmes d'exploitation (comme GNU-Linux ou les systèmes BSD libres), et aide à la diffusion de standards ouverts. L'AFUL est une organisation à but non lucratif (association loi 1901) qui réunit des utilisateurs, des professionnels, des entreprises et d'autres associations situées dans plus de dix pays et régions francophones (France, Belgique, Suisse, Luxembourg, Québec, pays d'Afrique francophone, etc.)
Ce beau mois de juin a vu la publication de nombreuses transcriptions
Si, vous avez quelque chose à cacher" conférence de Numendil à Passage en Seine.
Interopérabilité - Quels enjeux économiques conférence de Pierre Jarillon lors des RMLL.
Comment les grands acteurs du web s’improvisent magiciens et jouent avec nos données personnelles conférence de Frank Rousseau lors des RMLL.
Actualités de l'April de février 2014 enregistrées par Luc Fievet et Lionel Allorge.
Soit quasiment 3h de vidéo, transcrites relues et publiées par le groupe pour votre plus grand plaisir.
Bonne lecture !
Si, vous avez quelque chose à cacher" conférence de Numendil à Passage en Seine.
Interopérabilité - Quels enjeux économiques conférence de Pierre Jarillon lors des RMLL.
Comment les grands acteurs du web s’improvisent magiciens et jouent avec nos données personnelles conférence de Frank Rousseau lors des RMLL.
Actualités de l'April de février 2014 enregistrées par Luc Fievet et Lionel Allorge.
Soit quasiment 3h de vidéo, transcrites relues et publiées par le groupe pour votre plus grand plaisir.
Bonne lecture !
"Enfermer plus encore nos clients dans notre écosystème". Telle était la stratégie d'Apple résumée en interne par Steve Jobs, un an avant sa mort.
Qu'est-ce recouvre l'expression "format ouvert" ? Et quelles sont les incidences d'utiliser ou non ce type de formats lors de l'échange ou la sauvegarde de fichiers ? Ce poster et ce dépliant présente deux scénarios simples pour expliquer les notions de formats "ouverts" et "fermés".
L'April soutient la journée de libération des documents, dont l'édition 2014 se tiendra le 26 mars. Cette journée a pour objectif de rappeler l'importance des formats de documents numériques réellement ouverts. Ces formats permettent aux citoyens, aux consommateurs, aux gouvernements comme aux entreprises d'utiliser les logiciels de leur choix tout en conservant la maîtrise sur leurs documents et leurs données sur le long terme.
Pour cette édition, nous encourageons chacun à sensibiliser le maximum d'acteurs, citoyens comme pouvoirs publics, à l'importance des standards ouverts.
Pour cela, vous pouvez par exemple sensibiliser les pouvoirs publics aux problématiques liées à l'usage de formats fermés pour les échanges avec les citoyens, comme par exemple des formulaires à remplir qui exigent des outils privateurs, et qui posent ainsi de nombreuses difficultés aux utilisateurs de logiciels libres dans leurs échanges avec l'administration.
Vous pouvez également vous informer et sensibiliser à l'importance des formats ouverts et de l'interopérabilité pour les citoyens, notamment en relayant le document de sensibilisation de l'April Formats ouverts, pour quoi faire ? .
Pour cette édition, nous encourageons chacun à sensibiliser le maximum d'acteurs, citoyens comme pouvoirs publics, à l'importance des standards ouverts.
Pour cela, vous pouvez par exemple sensibiliser les pouvoirs publics aux problématiques liées à l'usage de formats fermés pour les échanges avec les citoyens, comme par exemple des formulaires à remplir qui exigent des outils privateurs, et qui posent ainsi de nombreuses difficultés aux utilisateurs de logiciels libres dans leurs échanges avec l'administration.
Vous pouvez également vous informer et sensibiliser à l'importance des formats ouverts et de l'interopérabilité pour les citoyens, notamment en relayant le document de sensibilisation de l'April Formats ouverts, pour quoi faire ? .
Un accord de principe a été trouvé pour rendre interopérables les systèmes d'identification électroniques à travers les différents pays membres de l'Union Européenne.
Les représentants des Etats membres de l'Union Européenne ont trouvé la semaine dernière un accord sur une régulation des systèmes d'identification électronique (eID) et des "services de confiance", qui devra être formellement approuvé par le Parlement lors d'une séance plénière en avril prochain, puis par le Conseil des ministres en juin.
Les représentants des Etats membres de l'Union Européenne ont trouvé la semaine dernière un accord sur une régulation des systèmes d'identification électronique (eID) et des "services de confiance", qui devra être formellement approuvé par le Parlement lors d'une séance plénière en avril prochain, puis par le Conseil des ministres en juin.
ShareLatex est un site d'édition de document Latex en ligne. Il permet de créer, éditer, partager un document latex et ce en ligne, sans aucune installation préalable. Le 21 février 2014 le site est devenu opensource en libérant le code source (GNU AGPLv3) et en appelant la communauté à améliorer, forker et télécharger leur travail. Le code est désormais sur github.
La commission en charge du marché intérieur a voté une résolution législative à l'unanimité appelant à la création d'un chargeur universel compatible avec tous les téléphones mobiles. Celui-ci existe déjà, fondé sur une connectique micro-USB. Mais tous les fabricants n'intègrent pas pleinement ce principe d'interopérabilité. Apple préfère maintenir son connecteur propriétaire Lightning et vendre en option un adaptateur micro-USB.
Face aux pratiques commerciales d'Apple et d'Amazon dans le secteur du livre électronique, les libraires européens se tournent vers Bruxelles pour obtenir l'interopérabilité des formats. Un courrier a été adressé à la Commission pour lui signifier l'urgence de réglementer ce marché.
Comment voulez-vous que le logiciel libre s'impose en France, notamment comme système d'exploitation, si cette dernière ne fait pas un effort pour l'adopter ? Derrière cette bonne volonté utopique se cache surtout une histoire de gros sous, couplée à une histoire d'habitudes conservatrices. En 2009, le ministère de la Défense avait conclu un contrat "Open Bar" avec Microsoft pour installer son parc informatique avec Windows et ce sans avoir lancé d'appels d'offres. Celui-ci avait été signé pour quatre ans, et aujourd'hui, en 2013, c'est l'heure de le revoir, soit en le reconduisant, soit en l'abandonnant au profit des logiciels libres.
Malheureusement, comme l'avait signalé PC-INpact, le renouvellement semble être prioritaire et en bonne voie d'achèvement. Mais de nombreux problèmes sont liés à cette affaire.
Malheureusement, comme l'avait signalé PC-INpact, le renouvellement semble être prioritaire et en bonne voie d'achèvement. Mais de nombreux problèmes sont liés à cette affaire.
Il se passe un drôle de truc en ce moment du côté du Ministère de la Défense. Ces derniers sont en train de renégocier un gros contrat avec Microsoft qui court depuis 2009 et prendra fin en mai de cette année.
Ce contrat baptisé Open Bar permet à nos forces armées de mettre à jour tout leur parc machines avec tous les logiciels Microsoft sans aucune limite. Ils peuvent même en installer de nouveaux s'ils le souhaitent. Le tarif est de 100 € par poste.
Ce n'est pas vraiment de l'achat de licences, mais plutôt de la location puisqu'au bout des 4 ans, l'État pourra soit partir avec une option d'achat de tous ces logiciels, soit reconduire le contrat (ce qui est en train de se passer).
Malheureusement, il y a plusieurs choses qui sentent très mauvais dans cet accord entre Microsoft et l'armée française.
Ce contrat baptisé Open Bar permet à nos forces armées de mettre à jour tout leur parc machines avec tous les logiciels Microsoft sans aucune limite. Ils peuvent même en installer de nouveaux s'ils le souhaitent. Le tarif est de 100 € par poste.
Ce n'est pas vraiment de l'achat de licences, mais plutôt de la location puisqu'au bout des 4 ans, l'État pourra soit partir avec une option d'achat de tous ces logiciels, soit reconduire le contrat (ce qui est en train de se passer).
Malheureusement, il y a plusieurs choses qui sentent très mauvais dans cet accord entre Microsoft et l'armée française.
Matériels incompatibles, absence d’interopérabilité, formats fermés, logiciels propriétaires… des motifs de colère et de combats familiers de la communauté libriste. Ces problématiques sont cependant un peu désincarnées aux yeux de la majeure partie de nos concitoyens du Net tant qu’ils n’ont pas été personnellement confrontés à des blocages fort irritants.
Une situation concrète est le point de départ du coup de gueule de Terence Eden. Quant à la véhémence de ses propos, elle est à la mesure de l’urgence. Car dans la guerre en cours, celle de notre liberté de choix, Apple, Amazon, Google et quelques autres ont plusieurs longueurs d’avance : des millions d’utilisateurs sont déjà entrés de leur plein gré dans des prisons numériques dorées.
Dans cet environnement, nous ne sommes plus propriétaires des fichiers médias que nous avons pourtant achetés, nous n’en sommes que les usagers à titre révocable et temporaire ! Autant dire que nous perdons la possibilité de réutiliser nos biens dès lors que nous changeons de support matériel. Du disque vinyle au CD-ROM et du DVD au fichier numérique, nous avons déjà vu comment un saut technologique nous contraint à acheter de nouveau. Eh bien cette farce au goût amer se joue maintenant sur la scène des médias numériques.
Parviendrons-nous à libérer nos médias captifs du matériel ? Il faudra certes bien plus qu’un coup de gueule comme celui qui suit, mais il n’est pas mauvais qu’un cri de colère agite un peu nos esprits de consommateurs endormis.
Je ne veux pas faire partie de votre putain d’écosystème
Une situation concrète est le point de départ du coup de gueule de Terence Eden. Quant à la véhémence de ses propos, elle est à la mesure de l’urgence. Car dans la guerre en cours, celle de notre liberté de choix, Apple, Amazon, Google et quelques autres ont plusieurs longueurs d’avance : des millions d’utilisateurs sont déjà entrés de leur plein gré dans des prisons numériques dorées.
Dans cet environnement, nous ne sommes plus propriétaires des fichiers médias que nous avons pourtant achetés, nous n’en sommes que les usagers à titre révocable et temporaire ! Autant dire que nous perdons la possibilité de réutiliser nos biens dès lors que nous changeons de support matériel. Du disque vinyle au CD-ROM et du DVD au fichier numérique, nous avons déjà vu comment un saut technologique nous contraint à acheter de nouveau. Eh bien cette farce au goût amer se joue maintenant sur la scène des médias numériques.
Parviendrons-nous à libérer nos médias captifs du matériel ? Il faudra certes bien plus qu’un coup de gueule comme celui qui suit, mais il n’est pas mauvais qu’un cri de colère agite un peu nos esprits de consommateurs endormis.
Je ne veux pas faire partie de votre putain d’écosystème
Nous apprenons la fermeture du service en ligne TioLive qui était une solution SaaS (software as a service - logiciel en tant que service) proposant un service complet d'ERP, de CRM et de courrier électronique.
TioLive était un rare exemple commercial de service en ligne libre et loyal, au sens des statuts de l'AFUL.
Sa disparition, pour cause de non viabilité financière, est forte d'enseignements pour les militants du logiciel libre que nous sommes. En effet, le fait que ce service disparaisse, alors qu'il comptait plusieurs milliers d'utilisateurs, nous démontre que les utilisateurs de services en ligne se moquent totalement de la protection de leur vie privée, du secret commercial, et de la possibilité de se « libérer » facilement du service en ligne qu'ils utilisent. La seule chose qui prime à leur yeux n'est finalement que la gratuité du service et, pour avoir du gratuit, ces utilisateurs sont prêts à fermer les yeux sur ce qui doit être (est ?) vraiment important.
Si, dans le monde des ordinateurs personnels (PC, tablette, smartphone), le logiciel libre s'est fait sa place et dispose de tout un panel de modèles économiques pour assurer sa viabilité, ce n'est pas encore le cas dans l'informatique en tant que service. En effet, s'y opposent la distribution d'un logiciel à l'exploitation d'une solution en ligne. S'il est facile d'avoir des coûts de distribution marginaux, voire nuls, pour un logiciel classique, c'est beaucoup plus compliqué pour l'exploitation d'un service en ligne...
TioLive était un rare exemple commercial de service en ligne libre et loyal, au sens des statuts de l'AFUL.
Sa disparition, pour cause de non viabilité financière, est forte d'enseignements pour les militants du logiciel libre que nous sommes. En effet, le fait que ce service disparaisse, alors qu'il comptait plusieurs milliers d'utilisateurs, nous démontre que les utilisateurs de services en ligne se moquent totalement de la protection de leur vie privée, du secret commercial, et de la possibilité de se « libérer » facilement du service en ligne qu'ils utilisent. La seule chose qui prime à leur yeux n'est finalement que la gratuité du service et, pour avoir du gratuit, ces utilisateurs sont prêts à fermer les yeux sur ce qui doit être (est ?) vraiment important.
Si, dans le monde des ordinateurs personnels (PC, tablette, smartphone), le logiciel libre s'est fait sa place et dispose de tout un panel de modèles économiques pour assurer sa viabilité, ce n'est pas encore le cas dans l'informatique en tant que service. En effet, s'y opposent la distribution d'un logiciel à l'exploitation d'une solution en ligne. S'il est facile d'avoir des coûts de distribution marginaux, voire nuls, pour un logiciel classique, c'est beaucoup plus compliqué pour l'exploitation d'un service en ligne...
Le format PDF ou Portable Document Format a été créé par Adobe en 1993 et normalisé par l'ISO en 2008 sous la référence ISO 32000-1:2008.
Trois sous-ensembles du format PDF ont également été normalisés par l’ISO :
PDF/A-1 (PDF for Archive, référencé par la norme ISO 19005-1:2005)
PDF/X (PDF for eXchange par ISO 15930-1 à -8)
PDF/E-1 (PDF for Engineering par ISO 24517-1:2008).
La gratuité du lecteur Acrobat Reader a grandement facilité la diffusion de ce format et Adobe a pu vendre ses logiciels de création de PDF en situation de monopole et conserver la stabilité du format jusqu'à la normalisation du format.
Ainsi, beaucoup de gens pensent qu'il n'y a qu'un lecteur, plus grave, certains indiquent comment le télécharger sur le site d'Adobe et pire encore d'autres l'imposent, ce qui est contraire à la notion de format ouvert qui promeut l'interopérabilité et non la simple compatibilité.
Ce qui est anormal, c'est qu'une administration fasse de la publicité (gratuite de surcroît) pour une entreprise et laisse croire qu'il n'existe aucune autre solution que Adobe pour lire (et créer) des documents au format PDF.
C'est pourquoi la FSFE a ouvert le site pdfreaders.org et lancé une pétition pour que les administrations mettent un pointeur sur le site PDFreaders qui propose des lecteurs pour tous les systèmes d'exploitation.
Trois sous-ensembles du format PDF ont également été normalisés par l’ISO :
PDF/A-1 (PDF for Archive, référencé par la norme ISO 19005-1:2005)
PDF/X (PDF for eXchange par ISO 15930-1 à -8)
PDF/E-1 (PDF for Engineering par ISO 24517-1:2008).
La gratuité du lecteur Acrobat Reader a grandement facilité la diffusion de ce format et Adobe a pu vendre ses logiciels de création de PDF en situation de monopole et conserver la stabilité du format jusqu'à la normalisation du format.
Ainsi, beaucoup de gens pensent qu'il n'y a qu'un lecteur, plus grave, certains indiquent comment le télécharger sur le site d'Adobe et pire encore d'autres l'imposent, ce qui est contraire à la notion de format ouvert qui promeut l'interopérabilité et non la simple compatibilité.
Ce qui est anormal, c'est qu'une administration fasse de la publicité (gratuite de surcroît) pour une entreprise et laisse croire qu'il n'existe aucune autre solution que Adobe pour lire (et créer) des documents au format PDF.
C'est pourquoi la FSFE a ouvert le site pdfreaders.org et lancé une pétition pour que les administrations mettent un pointeur sur le site PDFreaders qui propose des lecteurs pour tous les systèmes d'exploitation.
L'OPEN DATA EN FRANCE / RAPPORT OPEN GLAM : RECOMMANDATIONS POUR L’OUVERTURE DES DONNÉES ET DES CONTENUS CULTURELS
Rapport du groupe de travail « open GLAM »
Open Glam est un réseau informel de personnes et d’organisations cherchant à favoriser l’ouverture des contenus conservés ou produits par les institutions culturelles (GLAM : Galleries, Libraries, Archives, Museums – Bibliothèques, archives et musées).
Souhaitant contribuer au mouvement d’ouverture des données et contenus culturels, notre groupe de travail a étudié les enjeux relatifs aux démarches à l’œuvre dans les institutions culturelles françaises, s’est intéressé aux principaux points de blocage freinant cette diffusion et a formulé quelques préconisations et pistes d’évolution pour l’administration et le législateur, dans un esprit constructif de corésolution des problèmes.
TÉLÉCHARGEZ LE RAPPORT
Rapport du groupe de travail « open GLAM »
Open Glam est un réseau informel de personnes et d’organisations cherchant à favoriser l’ouverture des contenus conservés ou produits par les institutions culturelles (GLAM : Galleries, Libraries, Archives, Museums – Bibliothèques, archives et musées).
Souhaitant contribuer au mouvement d’ouverture des données et contenus culturels, notre groupe de travail a étudié les enjeux relatifs aux démarches à l’œuvre dans les institutions culturelles françaises, s’est intéressé aux principaux points de blocage freinant cette diffusion et a formulé quelques préconisations et pistes d’évolution pour l’administration et le législateur, dans un esprit constructif de corésolution des problèmes.
TÉLÉCHARGEZ LE RAPPORT
Open Glam est un réseau international informel de personnes et d’organisations cherchant à favoriser l’ouverture des contenus conservés ou produits par les institutions culturelles (Glam etant l’acronyme anglais de Galleries, Libraries, Archives, Museums).
Adrienne Charmet-Alix (Wikimédia France), Primavera De Filippi (Open Knowledge Foundation), Benjamin Jean (inno³, Veni Vidi Libri, Framasoft) et Lionel Maurel (BDIC, auteur du blog S.I.Lex), tous quatre membres d’Open Glam (parité respectée[1]), viennent de mettre en ligne un document important en direction du Ministère français de la Culture : Recommandations pour l’ouverture des données et des contenus culturels.
C’est solide, sérieux et technique mais n’allez pas penser que c’est rébarbatif à lire pour le non juriste. Bien au contraire, Open Data, mutualisation, numérisation, interopérabilité, domaine public (où il y a tant à faire), cession de droits des fonctionnaires, licences copyleft… c’est très instructif et cela dessine en plein et en creux les contours d’une situation qui doit d’autant plus évoluer qu’il s’agit de nos deniers publics et que l’époque est certes à leur parcimonieux usage mais également à la culture du partage.
Framasoft soutient l’initiative de l’intérieur, puisque Benjamin Jean a participé de près à sa rédaction, mais également vers l’extérieur en contribuant à sa diffusion. Et plus nous seront nombreux à en faire de même, plus nous aurons de chances d’être écoutés en haut lieu.
Le document est sous double licence Art Libre et Creative Commons By-Sa. Nous en avons reproduit ci-dessous les proposition ainsi que l’introduction.
Propositions du rapport
Adrienne Charmet-Alix (Wikimédia France), Primavera De Filippi (Open Knowledge Foundation), Benjamin Jean (inno³, Veni Vidi Libri, Framasoft) et Lionel Maurel (BDIC, auteur du blog S.I.Lex), tous quatre membres d’Open Glam (parité respectée[1]), viennent de mettre en ligne un document important en direction du Ministère français de la Culture : Recommandations pour l’ouverture des données et des contenus culturels.
C’est solide, sérieux et technique mais n’allez pas penser que c’est rébarbatif à lire pour le non juriste. Bien au contraire, Open Data, mutualisation, numérisation, interopérabilité, domaine public (où il y a tant à faire), cession de droits des fonctionnaires, licences copyleft… c’est très instructif et cela dessine en plein et en creux les contours d’une situation qui doit d’autant plus évoluer qu’il s’agit de nos deniers publics et que l’époque est certes à leur parcimonieux usage mais également à la culture du partage.
Framasoft soutient l’initiative de l’intérieur, puisque Benjamin Jean a participé de près à sa rédaction, mais également vers l’extérieur en contribuant à sa diffusion. Et plus nous seront nombreux à en faire de même, plus nous aurons de chances d’être écoutés en haut lieu.
Le document est sous double licence Art Libre et Creative Commons By-Sa. Nous en avons reproduit ci-dessous les proposition ainsi que l’introduction.
Propositions du rapport
Paris, 9 décembre 2011 - La mission de concertation sur la télévision connectée1 vient de rendre son rapport2 au gouvernement. La Quadrature du Net avait été auditionnée cet été, et avait envoyé une contribution écrite, dans laquelle l'accent était mis sur l'importance de respecter la neutralité du Net et de favoriser l'interopérabilité...
Open Data – Comprendre l’ouverture des données publiques
MediaWiki efficace
Utilisez Thunderbird 2.0 !
La coopération, nouvelles approches
L’abeille et l’économiste
Culture Libre
Le zen des CSS
Passer à Open Office
CSS par Eric Meyer
Design web : utiliser les standards - CSS et XHTML
Debian - Administration et configuration avancée
L'avenir des idées
...
MediaWiki efficace
Utilisez Thunderbird 2.0 !
La coopération, nouvelles approches
L’abeille et l’économiste
Culture Libre
Le zen des CSS
Passer à Open Office
CSS par Eric Meyer
Design web : utiliser les standards - CSS et XHTML
Debian - Administration et configuration avancée
L'avenir des idées
...
Un très bon article d'Etienne Lavannant publié sous licence Art Libre, ce qui m'autorise à le reproduire ici.
J'ai supprimé les liens morts et ajouté quelques références à d'autres articles d'Apitux.org qui apparaîssent [entre crochets avec une légère emphase]. La version originale publiée le 14 janvier 2004 sur Minet n'est plus disponible.
Cet article présente le logiciel libre en faisant abstraction des considérations techniques et en se concentrant sur les enjeux humains et sociaux.
J'ai supprimé les liens morts et ajouté quelques références à d'autres articles d'Apitux.org qui apparaîssent [entre crochets avec une légère emphase]. La version originale publiée le 14 janvier 2004 sur Minet n'est plus disponible.
Cet article présente le logiciel libre en faisant abstraction des considérations techniques et en se concentrant sur les enjeux humains et sociaux.