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Interpellé sur twitter – et oui, parfois le réseau social à l’oiseau bleu est utile – on m’a demandé mon avis éclairé sur la Chapeau Linux.
La Chapeau Linux est pour schématiser, la LinuxMint de Fedora. Sa version 24 est sortie fin septembre 2016.
D’ailleurs on peut lire sur la page « about » de la distribution qu’elle propose les dépots RPM Fusion préinstallés, les codecs pour l’audio et la vidéo, l’intégration de Dropbox. Bref, elle rend complètement utilisable pour l’utilisateur lambda la Fedora qui est obligée de respecter une hérésie juridique, les brevets logiciels.
La Chapeau Linux est pour schématiser, la LinuxMint de Fedora. Sa version 24 est sortie fin septembre 2016.
D’ailleurs on peut lire sur la page « about » de la distribution qu’elle propose les dépots RPM Fusion préinstallés, les codecs pour l’audio et la vidéo, l’intégration de Dropbox. Bref, elle rend complètement utilisable pour l’utilisateur lambda la Fedora qui est obligée de respecter une hérésie juridique, les brevets logiciels.
L'émission Cash Investigation consacrée à l'Open Bar Microsoft/Défense, diffusée le 18 octobre 2016, a mis au jour de nouvelles révélations concernant les relations privilégiées entre Microsoft et l'État français. L'April va s'adresser aux parlementaires pour leur demander la création d'une commission d'enquête. Il est indispensable que toute la lumière soit faite sur les conditions de la signature du contrat « Open Bar » Microsoft/Défense et sur le périmètre exact de l' « accord de sécurité » entre l'entreprise américaine et l'État.
Titre : Marchés publics : pourquoi l'armée italienne a choisi des logiciels libres et pas Microsoft.
Intervenants : Général Claudio Graziano - Général Camillo Sileo - Loïc Tanant
Lieu : Vidéo Bonus - Cash Investigation
Date : Octobre 2016
Durée : 3 min 18
Licence de la transcription : Verbatim
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Transcription
Intervenants : Général Claudio Graziano - Général Camillo Sileo - Loïc Tanant
Lieu : Vidéo Bonus - Cash Investigation
Date : Octobre 2016
Durée : 3 min 18
Licence de la transcription : Verbatim
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Titre : Microsoft et l'Éducation nationale, les liaisons dangereuses
Intervenants : Étienne Gonnu - Camille Gévaudan - Erwan Cario
Lieu : Émission 56Kast - Épisode 83
Date : Octobre 2016
Durée : 33 min 28
Licence de la transcription : Verbatim
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Description
Cette semaine, Étienne Gonnu de l'April décrypte le partenariat qui lie Microsoft à l'Éducation nationale depuis un an : le géant américain de l'informatique fournit un « cloud » dans les écoles, forme les enseignants aux logiciels Microsoft… Est-ce bien normal ?
Transcription
Intervenants : Étienne Gonnu - Camille Gévaudan - Erwan Cario
Lieu : Émission 56Kast - Épisode 83
Date : Octobre 2016
Durée : 33 min 28
Licence de la transcription : Verbatim
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Description
Cette semaine, Étienne Gonnu de l'April décrypte le partenariat qui lie Microsoft à l'Éducation nationale depuis un an : le géant américain de l'informatique fournit un « cloud » dans les écoles, forme les enseignants aux logiciels Microsoft… Est-ce bien normal ?
Transcription
Les autorités russes maintiennent leur plan consistant à remplacer tous les logiciels américains par des solutions locales ou, à défaut, open source pour en contrôler le code.
Microsoft annonce l'arrivée sur le Windows Store des logiciels classiques de bureau « win32 ». Une étape très importante pour l'éditeur qui veut fédérer autour de sa boutique.
iOS 9 est mort, vive iOS 10 ! Apple a dévoilé lors de la WWDC 2016 son nouveau système d'exploitation mobile. Et pour cette dixième itération prévue pour le 13 septembre 2016 à 10h, heure de Cupertino, les changements sont nombreux.
Paris, le 9 septembre 2016, communiqué de presse.
La Cour de justice de l'Union européenne, dans un arrêt publié le 7 septembre 2016, scelle en Europe la vente forcée ordinateur/logiciels au lieu de protéger les consommateurs et renvoie aux juridictions nationales le soin de trancher les litiges au cas par cas.
La Cour de justice de l'Union européenne, dans un arrêt publié le 7 septembre 2016, scelle en Europe la vente forcée ordinateur/logiciels au lieu de protéger les consommateurs et renvoie aux juridictions nationales le soin de trancher les litiges au cas par cas.
Oui, le Libre, ça use. Il faut aimer se compliquer la vie parfois… On perd du temps, on s’agace, on cherche des solutions libres qui fonctionnent. Un exemple ? Je viens d’acheter un ordinateur d’une grande marque. Avec un système propriétaire pré-installé dessus. Et le Secure Boot ainsi que le système UEFI. C’est une vraie galère lorsque l’on souhaite installer un système libre à côté !
Le Secure Boot et l’UEFI complique énormément les choses pour installer un autre système à côté de celui installé par défaut. Linux ? C’est pas prévu par ces systèmes de « sécurisation »… Il faut chercher, bidouiller, essayer. Rien de simple. Mais les constructeurs sont plus ou moins « aux ordres » de grandes multinationales aux moyens gigantesques.
Il faudrait peut-être trouver des solutions fiables à ce genre de soucis ? Le projet LibraBoot a essayé de proposer des solutions… Il y a 5 ans ! Leur idée ? Une pré-installation comme maintenant, mais de 2 systèmes ! Dont 1 système libre. Pas uniquement un système propriétaire dont la société a d’énorme moyens de pression comme c’est le cas actuellement.
C’est plutôt une bonne solution je trouve. Comme cela, l’utilisateur prend connaissance qu’une autre solution à Windows est possible, qu’il peut essayer et qu’il peut choisir !
Qu’en pensez-vous ? Avez-vous des idées ? La proposition de LibraBoot vous semble-t-elle bonne ?
Le Secure Boot et l’UEFI complique énormément les choses pour installer un autre système à côté de celui installé par défaut. Linux ? C’est pas prévu par ces systèmes de « sécurisation »… Il faut chercher, bidouiller, essayer. Rien de simple. Mais les constructeurs sont plus ou moins « aux ordres » de grandes multinationales aux moyens gigantesques.
Il faudrait peut-être trouver des solutions fiables à ce genre de soucis ? Le projet LibraBoot a essayé de proposer des solutions… Il y a 5 ans ! Leur idée ? Une pré-installation comme maintenant, mais de 2 systèmes ! Dont 1 système libre. Pas uniquement un système propriétaire dont la société a d’énorme moyens de pression comme c’est le cas actuellement.
C’est plutôt une bonne solution je trouve. Comme cela, l’utilisateur prend connaissance qu’une autre solution à Windows est possible, qu’il peut essayer et qu’il peut choisir !
Qu’en pensez-vous ? Avez-vous des idées ? La proposition de LibraBoot vous semble-t-elle bonne ?
La Cour de justice de l'Union européenne, dans un arrêt publié le 7 septembre 2016, scelle en Europe la vente forcée ordinateur/logiciels au lieu de protéger les consommateurs et renvoie aux juridictions nationales le soin de trancher les litiges au cas par cas.
Dès lors que le client est prévenu et qu'il sait qu'il a la possibilité d'acheter un autre produit équivalent d'une autre marque sans logiciels préinstallés, le fait d'imposer une licence Windows à l'achat d'un ordinateur ne constitue pas une pratique commerciale déloyale qu'il faudrait interdire. Ainsi en a jugé la CJUE.
Alors qu'il avait annoncé la fin du support de Flash sous Linux pour 2017, Adobe est revenu sur sa politique. Il recommence à mettre à jour la version NPAPI de son format, utilisable sur tous les navigateurs.
Six ans après que Steve Jobs a plaidé pour la mort de Flash, la bête vit encore, maintenue en vie par Adobe et les quelques uns qui tiennent encore à préférer une solution lourdingue et propriétaire au bon vieux HTML5 qui permet, grosso modo, de faire la même chose en mieux. Il est aussi toujours utilisé pour voir ou revoir les contenus malheureusement réalisés en Flash quand le format faisait encore la joie des webmasters en manque d’animations.
Adobe avait tout de même lâché du lest, en abandonnant il y a quatre ans le support de Flash sous Linux, où les fans du format ne doivent pas être légion. Néanmoins, l’appel populaire a fini par convaincre l’éditeur qu’il fallait y revenir.
Six ans après que Steve Jobs a plaidé pour la mort de Flash, la bête vit encore, maintenue en vie par Adobe et les quelques uns qui tiennent encore à préférer une solution lourdingue et propriétaire au bon vieux HTML5 qui permet, grosso modo, de faire la même chose en mieux. Il est aussi toujours utilisé pour voir ou revoir les contenus malheureusement réalisés en Flash quand le format faisait encore la joie des webmasters en manque d’animations.
Adobe avait tout de même lâché du lest, en abandonnant il y a quatre ans le support de Flash sous Linux, où les fans du format ne doivent pas être légion. Néanmoins, l’appel populaire a fini par convaincre l’éditeur qu’il fallait y revenir.
Même si à notre époque, il est maintenant parfaitement possible de vivre sans le plugin Flash d'Adobe, sachez que si vous faites partie des derniers dinosaures à en avoir encore besoin et qu'en plus, vous êtes sous Linux, et bien Adobe vient de sortir une nouvelle version de celui-ci.
Woohooooo, c'est pas une news de ouf ça ? Non ? Bon tant pis.
Woohooooo, c'est pas une news de ouf ça ? Non ? Bon tant pis.
Ce jeudi 8 septembre 2016 à 9h30 le Tribunal de grande instance de Paris se prononcera sur une demande du collectif Edunathon de mesures provisoires en suspension d'exécution de la convention signée entre l'Éducation nationale et Microsoft en novembre 2015.
Pour rappel des faits, en novembre 2015, le Ministère de l’Éducation nationale a décidé de laisser la société Microsoft lui fournir « gratuitement » des produits et des services pour une valeur de 13 millions d’euros. Un « partenariat » décrié et indigne des valeurs affichées par l'Éducation nationale. Le collectif Edunathon s'est alors formé pour condamner ce partenariat et a saisi la justice considérant qu'il s'agissait d'un marché public dissimulé.
Les juges ne devront pas ici trancher sur le fond, c'est-à-dire adresser la question de la nullité ou de la validité de la convention. Ils décideront seulement si, au vu des circonstances particulières et des risques potentiels, il convient de suspendre l'acte litigieux le temps de la procédure judiciaire.
L'audience de ce jeudi sera ainsi la première étape du parcours juridictionnel du collectif Edunathon. Un communiqué détaillant sa position est disponible sur son site.
Cette audience sera publique, quiconque peut y assister. La seule obligation est de se présenter avec une pièce d'identité. Elle se déroulera au 10 boulevard du palais, 75004, Paris - à l’audience des référés du Tribunal.
La salle étant petite il est recommandé d'arriver suffisamment tôt pour y assister.
Pour rappel des faits, en novembre 2015, le Ministère de l’Éducation nationale a décidé de laisser la société Microsoft lui fournir « gratuitement » des produits et des services pour une valeur de 13 millions d’euros. Un « partenariat » décrié et indigne des valeurs affichées par l'Éducation nationale. Le collectif Edunathon s'est alors formé pour condamner ce partenariat et a saisi la justice considérant qu'il s'agissait d'un marché public dissimulé.
Les juges ne devront pas ici trancher sur le fond, c'est-à-dire adresser la question de la nullité ou de la validité de la convention. Ils décideront seulement si, au vu des circonstances particulières et des risques potentiels, il convient de suspendre l'acte litigieux le temps de la procédure judiciaire.
L'audience de ce jeudi sera ainsi la première étape du parcours juridictionnel du collectif Edunathon. Un communiqué détaillant sa position est disponible sur son site.
Cette audience sera publique, quiconque peut y assister. La seule obligation est de se présenter avec une pièce d'identité. Elle se déroulera au 10 boulevard du palais, 75004, Paris - à l’audience des référés du Tribunal.
La salle étant petite il est recommandé d'arriver suffisamment tôt pour y assister.
L’apprentissage de l’informatique et des outils numériques fait progressivement son entrée au sein des écoles. À l’enjeu éducatif – apprendre aux élèves à utiliser et comprendre les nouvelles technologies dont ils se servent – s’ajoute un enjeu commercial pour de grandes firmes, comme Microsoft, qui cherchent à faire connaître leurs produits auprès des 12,7 millions d’élèves. Plusieurs établissements scolaires leur préfèrent les logiciels « libres », des outils gratuits, plus adaptés pour éveiller l’esprit critique et qui permettent à leurs utilisateurs de s’approprier plus facilement les secrets de l’informatique. L’Éducation nationale se libèrera-t-elle de l’influence des grands groupes ?
Le monde du logiciel libre m’étonnera toujours et certains archaismes en sont la preuve.
J’ai dans la tête de convaincre une windowsienne invétérée de passer à Ubuntu/Mint voir Debian dans une prochaine machine. Mais pour cela, il faudrait qu’à minima, elle puisse survivre sans moi dans ce monde hostile et …libre. Et là, je suis tombé sur un truc que je n’avais pas fait depuis longtemps et qui m’a posé problème sur ma Debian XFCE préférée :
J’ai dans la tête de convaincre une windowsienne invétérée de passer à Ubuntu/Mint voir Debian dans une prochaine machine. Mais pour cela, il faudrait qu’à minima, elle puisse survivre sans moi dans ce monde hostile et …libre. Et là, je suis tombé sur un truc que je n’avais pas fait depuis longtemps et qui m’a posé problème sur ma Debian XFCE préférée :
Microsoft annonce le rachat de Genee, une startup qui a mis au point un assistant virtuel intelligent spécialisé dans la prise de rendez-vous.
Le marché professionnel. C’est depuis quelques années l’une des préoccupations de Microsoft. En l’espace de deux ans, l’entreprise américaine a acheté des applications spécialisées dans ce secteur. Citons pêle-mêle Acompli (un gestionnaire de mails), Sunrise (appli de calendrier) et Wunderlist (liste de tâches). Autant d’acquisitions qui permettent à Microsoft de gagner du temps sur ses objectifs.
En effet, pourquoi diable s’embêter à développer soi-même une application alors qu’il suffit d’en acheter une qui existe déjà ? Idem pour le réseautage social. Lorsque l’on a des moyens comme ceux de Microsoft, il n’y a pas beaucoup de sociétés qui sont hors de portée. C’est ainsi que la firme de Redmond a bouclé le rachat de LinkedIn pour la modique somme de… 26 milliards de dollars.
Le marché professionnel. C’est depuis quelques années l’une des préoccupations de Microsoft. En l’espace de deux ans, l’entreprise américaine a acheté des applications spécialisées dans ce secteur. Citons pêle-mêle Acompli (un gestionnaire de mails), Sunrise (appli de calendrier) et Wunderlist (liste de tâches). Autant d’acquisitions qui permettent à Microsoft de gagner du temps sur ses objectifs.
En effet, pourquoi diable s’embêter à développer soi-même une application alors qu’il suffit d’en acheter une qui existe déjà ? Idem pour le réseautage social. Lorsque l’on a des moyens comme ceux de Microsoft, il n’y a pas beaucoup de sociétés qui sont hors de portée. C’est ainsi que la firme de Redmond a bouclé le rachat de LinkedIn pour la modique somme de… 26 milliards de dollars.
À l'été 2016, un an après la sortie de Windows 10, Microsoft a déployé une mise à jour majeure de son système. Voici un tour d'horizon des nouveautés pour tout savoir sur la fameuse Windows 10 Anniversary Update.
Disponible sur GitHub, le script PowerShell « Set-Privacy » permet de configurer les paramètres de Windows 10 liés à votre vie privée.
Il intègre le trois modes :
Default : Rétablir les paramètres par défaut de Windows 10
Balanced : Un mode équilibré où l’on ne désactive pas tous les paramètres
Strong : Un mode où l’on muscle la protection et désactive l’ensemble des paramètres référencés dans le script
Pour effectuer la modification, il faut invoquer le script depuis une console PowerShell
Il intègre le trois modes :
Default : Rétablir les paramètres par défaut de Windows 10
Balanced : Un mode équilibré où l’on ne désactive pas tous les paramètres
Strong : Un mode où l’on muscle la protection et désactive l’ensemble des paramètres référencés dans le script
Pour effectuer la modification, il faut invoquer le script depuis une console PowerShell
La désactivation de Flash dans Chrome se fera en deux temps, avec une première mesure en septembre et une seconde en décembre. Comme d'autres éditeurs, Google adapte son navigateur web pour privilégier la technologie HTML5.