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OPENSOURCE
Nadia Eghbal a déjà évoqué plusieurs fois les liens entre l’argent et l’open source (si vous avez manqué des épisodes). Elle y revient dans ce chapitre, en insistant sur les questions fondamentales que pose l’argent aux communautés open source ainsi qu’à leurs membres.
Question de nature quasi-philosophique : l’open source peut-il perdre son âme à cause de l’argent ? Question de gouvernance : qui va décider de l’utilisation des fonds ? Et pour finir question éthique et politique : jusqu’à où peut-on, doit-on accepter les requêtes des financeurs ?
Question de nature quasi-philosophique : l’open source peut-il perdre son âme à cause de l’argent ? Question de gouvernance : qui va décider de l’utilisation des fonds ? Et pour finir question éthique et politique : jusqu’à où peut-on, doit-on accepter les requêtes des financeurs ?
Parce que le partage et l’ouverture font partie de l’ADN du Libre et qu’on ne va pas se laisser enfermer derrière des murs réels ou virtuels que certains voudraient ériger, nous vous donnons rendez‐vous à la nouvelle édition du Paris Open Source Summit (POSS, pour les intimes) qui se tient cette semaine, mercredi 16 et jeudi 17 novembre 2016 aux Docks Pullman. Pour rappel, le POSS est issu de la fusion de l’Open World Forum et de Solutions Linux.
La Nasa met à disposition les modèles 3D d'un certain nombre d'engins. Les plans sont publiés sur GitHub.
Participer à l’open source est souvent une activité bénévole donc non rémunérée mais qui peut parfois devenir chronophage et difficilement compatible avec une autre activité ou un emploi. Nadia Eghbal, dans ce nouveau chapitre nous donne à voir aujourd’hui les trois motivations principales des contributeurs de l’open source.
Le prochain Paris Open Source Summit (issu de la fusion entre l'Open World Forum et Solutions Linux) se tiendra sur deux jours comme l'année passée : les 16 et 17 novembre prochains, toujours à Eurosites Les Docks. Et cette année, LinuxFr.org sera toujours présent au sein du village associatif, stand B5. Comme les autres années, nous essayons de vous réserver quelques surprises à gagner directement sur le stand.
Une éolienne en kit à moins de vingt euros, une douche qui recycle l’eau en boucle, un tracteur à pédales, un filtre antibactérien qui rend l’eau potable… Le point commun entre ces projets sociaux et écologiques ? L’open source. Des outils sans brevet, donc librement diffusables et appropriables par tous, à moindre coûts. Dans les Yvelines, des jeunes ont passé cinq semaines à développer des projets innovants, qui pourraient révolutionner nos manières de travailler, produire ou consommer. Rencontre avec ces makers qui veulent changer le monde.
Voici un nouveau chapitre de l’ouvrage de Nadia Eghbal Des routes et des ponts que le groupe Framalang vous traduit semaine après semaine (si vous avez raté les épisodes précédents). Elle brosse un rapide historique qui permet de distinguer Libre et open source puis établit une liste d’avantages du code dont les sources sont ouvertes et librement modifiables.
Une rapide histoire des logiciels publiquement disponibles et de leurs créateurs
Une rapide histoire des logiciels publiquement disponibles et de leurs créateurs
tofu
Vous connaissez sans doute ce symbole : ⯐
Il est le signe que votre navigateur ne peut pas afficher ce caractère parce qu'il est écrit dans une langue un peu trop exotique pour votre appareil. Ce ⯐ s'appelle dans le jargon "Tofu", en référence au fromage de soja insipide.
Depuis 5 années, Google s'est attaqué à ce problème de tofu et vient de sortir son arme secrète pour en finir avec les pages web remplies de ⯐⯐⯐⯐⯐⯐⯐⯐⯐⯐ : Noto.
Noto, ça veut dire "No more Tofu" ("Plus jamais de Tofu") et il s'agit d'une famille de polices de caractères capable d'afficher l'intégralité de tous les symboles prévus par le standard Unicode, soit plus de 110 000 caractères dans 800 langues.
Vous connaissez sans doute ce symbole : ⯐
Il est le signe que votre navigateur ne peut pas afficher ce caractère parce qu'il est écrit dans une langue un peu trop exotique pour votre appareil. Ce ⯐ s'appelle dans le jargon "Tofu", en référence au fromage de soja insipide.
Depuis 5 années, Google s'est attaqué à ce problème de tofu et vient de sortir son arme secrète pour en finir avec les pages web remplies de ⯐⯐⯐⯐⯐⯐⯐⯐⯐⯐ : Noto.
Noto, ça veut dire "No more Tofu" ("Plus jamais de Tofu") et il s'agit d'une famille de polices de caractères capable d'afficher l'intégralité de tous les symboles prévus par le standard Unicode, soit plus de 110 000 caractères dans 800 langues.
Google a publié la première police d'écriture qui réunit les quelques 110 000 caractères standardisés par Unicode, couvrant 800 langues actuelles ou anciennes. Le résultat est publié sous licence libre, avec les designs de référence.
Les géants du BTP ont-ils du souci à se faire ? Après les logiciels libres et la fabrication de machines ou d’objets, la communauté mondiale des fab labs se tourne désormais vers la construction de véritables maisons en « open source ». Mise à disposition de plans et de techniques accessibles à tous, construction et assemblage collaboratif des éléments... Des États-Unis à la France en passant par la Grande-Bretagne, c’est une véritable communauté de la « maison libre » qui émerge et se structure, pour révolutionner la construction, son financement et permettre l’accès de tous à un logement plus décent.
Lancé en 2013, le projet Fairphone a toujours misé sur Android pour son OS. Mais les choses bougent un peu avec Uhuru.
Github Audio propose aux internautes d'écouter une symphonie créée en temps réel d'après les contributions des développeurs à la plateforme la plus populaire d'hébergement de projets open-source.
L’Open Source School, qui a ouvert à la dernière rentrée, met maintenant en ligne un second site dédié à son offre de formation continue, Open Source School « Executive Education« . Le premier ne concernait que la formation initiale.
José Antonio Rey, membre depuis plusieurs années de la communauté Ubuntu, témoigne de la richesse des échanges dans les communautés open source. Des communautés réunissant des gens que tout pourrait séparer : langue, culture, distance mais qui au contraire se rejoignent autour d’un but commun.
Google a donné des nouvelles d'un outil qui ajoute automatiquement des légendes en analysant le contenu d'une photo. Basé sur une technologie d'intelligence artificielle, le dispositif atteint un très haut degré de précision. Il devient aussi open source.
La Commission d'accès aux documents administratifs (CADA) a demandé au ministère de l'Éducation nationale de communiquer aux lycéens le code source de la plateforme Admission Post-Bac (APB), par laquelle les choix prioritaires des candidats aux formations d'études supérieures sont validés ou rejetés. Le ministère a assuré qu'il s'y conformerait après sécurisation des données personnelles.
Elon Musk a confié lors d'une récente interview qu'il passait une demie journée par semaine à travailler dans les bureaux d'Open AI, une association à but non lucratif qu'il a fondée pour développer une intelligence artificielle qui ne soit pas centralisée et aux mains de quelques conglomérats, mais sur laquelle les utilisateurs gardent le contrôle.
Si vous avez toujours rêvé de cultiver vos légumes mais ne connaissez rien à l’agriculture ou au jardin, Farmbot Genesis pourrait être pour vous. Ce système automatisé, fera – presque – tout à votre place. Le robot plante les graines, les arrose avec précision, et est même en mesure d’ôter les mauvaises herbes. Seul défaut, remarque Singularity Hub : il ne gère pas (encore) les insectes nuisibles et autres bestioles.
Le matériel comme le logiciel est open source, donc modifiable à volonté ; on peut même fabriquer son propre Farmbot. Il faudra cependant attendre pour se livrer à cette forme robotique de jardinage, car Farmbot Genesis ne devrait être disponible que vers le printemps 2017.
Le matériel comme le logiciel est open source, donc modifiable à volonté ; on peut même fabriquer son propre Farmbot. Il faudra cependant attendre pour se livrer à cette forme robotique de jardinage, car Farmbot Genesis ne devrait être disponible que vers le printemps 2017.
Comment participer à des projets open source et s’y sentir légitime ? La réponse habituelle un peu désinvolte consiste à dire : « il suffit de commencer à proposer ne serait-ce qu’un signalement de bug ou une correction mineure dans la documentation et hop ». En commençant par une contribution minime, on peut donc trouver sa place dans une équipe. Théoriquement, c’est exact.
Mais quand on est une jeune femme à peine sortie de ses études d’informatique et qu’on éprouve un peu d’appréhension au contact des contributeurs supposés expérimentés, rien n’est tout à fait simple.
Comme on le lira dans le témoignage de Shubheksha, il faut non seulement parvenir à surmonter son manque de confiance en soi, mais aussi avoir la chance de rencontrer sur son chemin des mentors qui vous accueillent avec bienveillance, vous guident et vous invitent à contribuer davantage encore.
Mais quand on est une jeune femme à peine sortie de ses études d’informatique et qu’on éprouve un peu d’appréhension au contact des contributeurs supposés expérimentés, rien n’est tout à fait simple.
Comme on le lira dans le témoignage de Shubheksha, il faut non seulement parvenir à surmonter son manque de confiance en soi, mais aussi avoir la chance de rencontrer sur son chemin des mentors qui vous accueillent avec bienveillance, vous guident et vous invitent à contribuer davantage encore.
Rendez-vous ce week-end pour la quatrième étape du cycle de hackathons Open Democracy Now!
Initiée en janvier, l’initiative Open Democracy Now rassemble une communauté d’acteurs aux profils complémentaires désireux d’apporter des solutions concrètes aux enjeux d’une démocratie plus participative et collaborative.
Découvrez l'ensemble des projets ainsi que les comptes-rendus des précédents hackathons (organisés au Numa et à la Fondation Mozilla) sur : http://opendemocracynow.net/hackathons/.
Initiée en janvier, l’initiative Open Democracy Now rassemble une communauté d’acteurs aux profils complémentaires désireux d’apporter des solutions concrètes aux enjeux d’une démocratie plus participative et collaborative.
Découvrez l'ensemble des projets ainsi que les comptes-rendus des précédents hackathons (organisés au Numa et à la Fondation Mozilla) sur : http://opendemocracynow.net/hackathons/.