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BIENSCOMMUNS
Depuis quelques mois, le Collectif SavoirsCom1 mène un chantier de Bibliographie collaborative des Communs dans le but de créer une « Communauthèque », ou un fonds de référence sur les Communs. Cette bibliographie est accessible en mode collaboratif et vous pouvez d’ores et déjà participer à son enrichissement (voir ce groupe Zotero).
« Pour la connaissance libre 2017 » est une initiative soutenue par un regroupement de collectifs et d’associations œuvrant pour la promotion des Communs informationnels et de la libre diffusion du savoir, notament Savoirs Com1, OpenStreetMap France, Creative Commons France, Framasoft, la Paillasse, Paléo-Energétique, Mozilla Vecam et Wikimédia France.
« Pour la connaissance libre 2017 » est une initiative soutenue par un regroupement de collectifs et d’associations œuvrant pour la promotion des Communs informationnels et de la libre diffusion du savoir. Il regroupe Wikimédia France, OpenStreetMap France, Creative Commons France, Framasoft, la Paillasse, Paléo-Energétique, Vecam et SavoirsCom1 soutient également la démarche.
Celle-ci consiste à interpeller, par le biais d’une plateforme conçue à cet effet, les candidats à l’élection présidentielle en leur posant douze questions, afin qu’ils précisent leur programme sur la liberté de connaissance. Les thématiques abordées recoupent largement les champs d’intervention de SavoirsCom1 : reconnaissance et protection du domaine public et des biens communs, priorité au logiciel libre, développement de l’Open Access et de l’Open Data, liberté de panorama, ouverture et transparence de l’action publique.
Les réponses seront mises en ligne sur le site au fur et à mesure qu’elles seront retournées par les candidats. Les internautes pourront quant à eux « liker » ou « disliker » ces réponses.
Il est également possible de soutenir d’ores et déjà cette campagne sur les réseaux sociaux, en employant le hashtag #ConnaissanceLibre2017 et en suivant le compte Twitter @PCL2017.
Celle-ci consiste à interpeller, par le biais d’une plateforme conçue à cet effet, les candidats à l’élection présidentielle en leur posant douze questions, afin qu’ils précisent leur programme sur la liberté de connaissance. Les thématiques abordées recoupent largement les champs d’intervention de SavoirsCom1 : reconnaissance et protection du domaine public et des biens communs, priorité au logiciel libre, développement de l’Open Access et de l’Open Data, liberté de panorama, ouverture et transparence de l’action publique.
Les réponses seront mises en ligne sur le site au fur et à mesure qu’elles seront retournées par les candidats. Les internautes pourront quant à eux « liker » ou « disliker » ces réponses.
Il est également possible de soutenir d’ores et déjà cette campagne sur les réseaux sociaux, en employant le hashtag #ConnaissanceLibre2017 et en suivant le compte Twitter @PCL2017.
Le gouvernement québécois a lancé un processus de consultation en ligne dans le cadre de la définition de sa stratégie numérique. Afin de contribuer à cette concertation, 19 organisations, collectifs, entreprises et organismes sans but lucratif ont élaboré une « Déclarations des communs numériques » qui a été déposée sur la plateforme « Objectif numérique ».
Faire un film sur la Sécurité sociale, quelle idée ! C’est le pari audacieux du réalisateur Gilles Perret, dont le documentaire La Sociale, sorti en novembre dernier, continue de faire salle comble à chaque projection. Il relate comment les bases de toute la Sécurité sociale ont été posées en moins de dix mois, à la sortie de la seconde guerre mondiale. Avec un formidable apport : la fin de l’insécurité et de la crainte de la pauvreté associée à la maladie. Cette « utopie », dont bénéficient 66 millions de Français, est aujourd’hui la cible des politiques néolibérales. A travers ce documentaire transparait l’urgence de défendre ce qu’il reste de ce bien commun.
Cette semaine, un nouveau site est lancé. Baptisé Les Communs d’abord ! , il a pour ambition de constituer « un média web indépendant ayant pour but de donner une visibilité aux multiples initiatives, publications et débats liés au mouvement des Communs. »
L’idée de cette initiative est née lors d’une réunion organisée par l’association Vecam, en juin 2016 lors de laquelle, constat a été fait que si les Communs sont de plus en plus présent dans l’actualité, il n’existait pas encore de média spécifiquement dédié à cette question.
L’idée de cette initiative est née lors d’une réunion organisée par l’association Vecam, en juin 2016 lors de laquelle, constat a été fait que si les Communs sont de plus en plus présent dans l’actualité, il n’existait pas encore de média spécifiquement dédié à cette question.
Benoît Hamon a donc terminé en tête du premier tour de la primaire de la Belle Alliance Populaire. Dans son programme, ce sont surtout des propositions comme l’instauration d’un revenu universel d’existence ou une taxe sur les robots qui ont retenu l’attention. Mais il comporte une autre mesure qui mérite à mon sens que l’on s’y attarde : celle de « constitutionnaliser les biens communs ».
Parler de paix n’est pas toujours facile. Parler de paix économique demande encore plus d’engagement, tant le monde des affaires s’est construit sur un idéal qui résiste à l’idée d’une économie pacifiée. Pacifiée ne veut pas dire inconsciente des difficultés, mais qui les affronte avec ouverture et discernement afin d’en en faire une porte d’entrée vers le débat et la création de solutions adaptées.
La paix économique, plus qu’un concept, est un contrepoint à la notion de guerre économique. Elle représente un mot d’ordre, une forme d’indignation dont l’objet serait de mettre en mouvement les énergies citoyennes vers le bien commun.
La paix économique, plus qu’un concept, est un contrepoint à la notion de guerre économique. Elle représente un mot d’ordre, une forme d’indignation dont l’objet serait de mettre en mouvement les énergies citoyennes vers le bien commun.
Les Communs d’abord est un média web indépendant ayant pour but de donner une visibilité aux multiples initiatives, publications et débats liés au mouvement des Communs.
Cette semaine, un nouveau site est lancé. Baptisé Les Communs d’abord ! , il a pour ambition de constituer « un média web indépendant ayant pour but de donner une visibilité aux multiples initiatives, publications et débats liés au mouvement des Communs. »
L’idée de cette initiative est née lors d’une réunion organisée par l’association Vecam, en juin 2016 lors de laquelle, constat a été fait que si les Communs sont de plus en plus présent dans l’actualité, il n’existait pas encore de média spécifiquement dédié à cette question.
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Les initiatives autour des Communs foisonnent pourtant en France. De plus en plus d’acteurs, qu’il s’agisse de militants, de chercheurs ou d’institutions s’emparent de l’imaginaire des Communs pour se l’approprier et le faire vivre à travers des projets stimulants. Alors que la recherche d’alternatives semblent bloquées à de nombreux niveaux, une évolution avance sur le terrain, sous l’égide des Communs. La thématique des Communs s’invite de plus en plus fréquemment dans le débat public et politique et une structuration se met peu à peu en place sur les territoires, à travers les Assemblées et les Chambres des Communs.
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Il existe déjà en France un écosystème informationnel autour de la question des Communs : portail des Communs, wiki des communs, plateforme Remix The Commons, blog francophone de la P2P Foundation, liste de discussion du mouvement francophone autour des Communs, ainsi que nombreux espaces de veille partagée consacrés à ce sujet, tenus par des individus ou des associations. Un blog (Chronique des Communs) a même été ouvert sur la plateforme du journal Le Monde en décembre dernier et un projet de Radio des Communs sur les ondes hertziennes est actuellement examiné par le CSA.
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Mais les Communs sont, par définition, extrêmement multiformes et les informations à leur sujet restent encore très éclatées, ce qui brouille leur visibilité. Les Communs d’abord ! a pour ambition de devenir un point de convergence vers lequel les lecteurs pourront se tourner pour trouver de l’information actualisée sur les Communs dans toutes leurs dimensions : Communs naturels, Communs matériels, Communs urbains, Communs de la Connaissance, etc.
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L’idée de cette initiative est née lors d’une réunion organisée par l’association Vecam, en juin 2016 lors de laquelle, constat a été fait que si les Communs sont de plus en plus présent dans l’actualité, il n’existait pas encore de média spécifiquement dédié à cette question.
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Les initiatives autour des Communs foisonnent pourtant en France. De plus en plus d’acteurs, qu’il s’agisse de militants, de chercheurs ou d’institutions s’emparent de l’imaginaire des Communs pour se l’approprier et le faire vivre à travers des projets stimulants. Alors que la recherche d’alternatives semblent bloquées à de nombreux niveaux, une évolution avance sur le terrain, sous l’égide des Communs. La thématique des Communs s’invite de plus en plus fréquemment dans le débat public et politique et une structuration se met peu à peu en place sur les territoires, à travers les Assemblées et les Chambres des Communs.
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Il existe déjà en France un écosystème informationnel autour de la question des Communs : portail des Communs, wiki des communs, plateforme Remix The Commons, blog francophone de la P2P Foundation, liste de discussion du mouvement francophone autour des Communs, ainsi que nombreux espaces de veille partagée consacrés à ce sujet, tenus par des individus ou des associations. Un blog (Chronique des Communs) a même été ouvert sur la plateforme du journal Le Monde en décembre dernier et un projet de Radio des Communs sur les ondes hertziennes est actuellement examiné par le CSA.
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Mais les Communs sont, par définition, extrêmement multiformes et les informations à leur sujet restent encore très éclatées, ce qui brouille leur visibilité. Les Communs d’abord ! a pour ambition de devenir un point de convergence vers lequel les lecteurs pourront se tourner pour trouver de l’information actualisée sur les Communs dans toutes leurs dimensions : Communs naturels, Communs matériels, Communs urbains, Communs de la Connaissance, etc.
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Les communs sont-ils une alternative à la société du tout marché, une réponse à l’offensive néolibérale, une voie pour le dépassement du capitalisme et de l’étatisme, la révolution du XXIe siècle ?
Ce livre montre qu’il s’agit de tout cela. Le concept de commun demande la coexistence d’une ressource défi nie, d’une communauté déterminée et d’un mode de gouvernance collectif. Il ouvre de nouveaux champs à la démocratie et souligne les limites d’une régulation par le marché ou par le public.
Cette renaissance des communs, à laquelle nous assistons un peu partout dans le monde, a été dynamisée par l’apparition des communs informationnels (logiciels libres, Wikipédia, licences Creative Commons…) luttant contre les abus de la propriété intellectuelle.
Ce livre montre qu’il s’agit de tout cela. Le concept de commun demande la coexistence d’une ressource défi nie, d’une communauté déterminée et d’un mode de gouvernance collectif. Il ouvre de nouveaux champs à la démocratie et souligne les limites d’une régulation par le marché ou par le public.
Cette renaissance des communs, à laquelle nous assistons un peu partout dans le monde, a été dynamisée par l’apparition des communs informationnels (logiciels libres, Wikipédia, licences Creative Commons…) luttant contre les abus de la propriété intellectuelle.
En sa qualité de co-présidente du Partenariat pour un gouvernement ouvert, la France accueillera le 4e Sommet mondial de l’Open Government Partnership (OGP) à Paris du 7 au 9 décembre prochain. Ce Partenariat regroupe aujourd’hui 70 États et des centaines d’organisations de la société civile qui agissent promouvant la transparence, la participation citoyenne et l’innovation démocratique à travers le monde.
Le week-end dernier a eu lieu la 22ème université d’Automne de la Ligue des Droits de l’Homme, consacrée cette année à la thématique : « Les Communs, un nouvel universalisme ?« .
Au début du mois de septembre dernier, j’ai été invité à intervenir lors du colloque « Vers une République des Communs ? » organisé par la Coop des Communs à Cerisy. Rassemblant de nombreux chercheurs et militants, ces journées furent l’occasion d’échanges d’une grande richesse, qui marquent à mes yeux la maturité que cette question commence à atteindre en France.
On m’avait demandé d’intervenir dans une session sur la « Politisation des Communs » pour faire un retour d’expérience à propos de Nuit Debout et de ses rapports avec les Communs. L’intervention a été enregistrée et elle vient d’être mise en ligne sur le site de la Coop des Communs.
Pour écouter cet enregistrement d’une vingtaine de minutes, cliquez-ici.
On m’avait demandé d’intervenir dans une session sur la « Politisation des Communs » pour faire un retour d’expérience à propos de Nuit Debout et de ses rapports avec les Communs. L’intervention a été enregistrée et elle vient d’être mise en ligne sur le site de la Coop des Communs.
Pour écouter cet enregistrement d’une vingtaine de minutes, cliquez-ici.
En sa qualité de co-présidente du Partenariat pour un gouvernement ouvert, la France accueillera le 4e Sommet mondial de l’Open Government Partnership (OGP) à Paris du 7 au 9 décembre prochain. Ce Partenariat regroupe aujourd’hui 70 États et des centaines d’organisations de la société civile qui agissent promouvant la transparence, la participation citoyenne et l’innovation démocratique à travers le monde.
Cet événement est concomitant à la publication d’un décret par le gouvernement visant à créer le fichier TES qui rassemblera les données biométriques de 60 millions de français. Ce décret a été pris sans la moindre concertation préalable ni débat démocratique au Parlement.
Le Conseil National du Numérique (CNNum) s’est auto-saisi de cette question et a rendu un avis sur ce fichier, dans lequel il condamne fermement l’initiative autant sur le fond que sur la forme en déclarant :
Cet événement est concomitant à la publication d’un décret par le gouvernement visant à créer le fichier TES qui rassemblera les données biométriques de 60 millions de français. Ce décret a été pris sans la moindre concertation préalable ni débat démocratique au Parlement.
Le Conseil National du Numérique (CNNum) s’est auto-saisi de cette question et a rendu un avis sur ce fichier, dans lequel il condamne fermement l’initiative autant sur le fond que sur la forme en déclarant :
Depuis peu, les « Little Free Libraries », ces petites bibliothèques de rue où chacun est libre d’apporter ou de prendre les livres de son choix (en France, plusieurs villes s’en sont déjà dotées et les initiatives personnelles se multiplient), connaissent un problème : elles sont régulièrement pillées.
Si vous lisez le Standblog, je vous encourage vivement à soutenir le projet de Radio associative Libre @ Toi, qui vise à obtenir une fréquence sur la bande FM pour faire une radio des Communs (logiciels libres / numérique / culture libre / science / environnement / associatif / éducation / économie sociale et solidaire). Je connais bien l’équipe, ils font du super boulot sur leur Webradio et leurs podcasts, il ne leur manque plus que la fréquence pour toucher un plus large public. Pour ça, prends 5mn, cher lecteur, pour dire pourquoi tu soutiens leur démarche dans le formulaire. Merci pour eux !
Chaque année, notre collectif met en ligne le calendrier de l’Avent du domaine public. A la fois acte militant et plongée dans notre patrimoine, l’élaboration du calendrier est l’occasion de découvrir le domaine public et d’appendre les règles qui l’organise. Venez nous aider à sélectionner des personnalités, à faire des recherches dans une ambiance conviviale !
Titre : Ce que copier veut dire (1/3) - Copy Party, Communs, Domaine public, Culture libre
Intervenant : Lionel Maurel
Lieu : Conférence [lire+écrire] numérique - Médiathèque de Rezé
Date : Mars 2013
Durée : 28 min 51
Licence : Verbatim
Pour visionner la vidéo
Description
Un cycle de rencontres et de formation à la culture numérique conçu et animé par Guénäel Boutouillet et Catherine Lenoble.
Intervenant : Lionel Maurel
Lieu : Conférence [lire+écrire] numérique - Médiathèque de Rezé
Date : Mars 2013
Durée : 28 min 51
Licence : Verbatim
Pour visionner la vidéo
Description
Un cycle de rencontres et de formation à la culture numérique conçu et animé par Guénäel Boutouillet et Catherine Lenoble.
SavoirsCom1 soutient le projet de création d’une « Radio des Communs » sur la bande FM – SavoirsCom1
L’association Libre@Toi se lance dans une candidature auprès du CSA pour l’obtention d’une fréquence en région parisienne dans le but de créer une « Radio des Communs ». Le collectif SavoirsCom1 soutient cette initiative et appelle les acteurs des Communs en France à aider ce projet à devenir réalité.
Libre@Toi est actuellement un projet qui associe une webradio, un site internet et un tier-lieu à Paris, visant à donner la parole aux acteurs du logiciel libre et de la culture libre en général. Avec cette idée d’une « Radio des Communs », Libre@Toi entend aller plus loin, en traitant la thématique des Communs au-delà des champs du numérique et de la connaissance, pour aborder aussi la question des Communs naturels et sociaux.
La libération d’une fréquence en région parisienne étant un événement rarissime, nul doute que de nombreuses demandes seront adressées au CSA pour se la faire attribuer. C’est la raison pour laquelle Libre@Toi a besoin d’un maximum de manifestations de soutien, qui pourront être jointes au dossier de candidature.
Vous pouvez pour cela utiliser le formulaire de soutien qui se trouve au pied de cette page web. Laissez un mot pour expliquer en quoi vous soutenez la création d’une Radio des Communs sur la bande FM parisienne. Et faites tourner l’information autour de vous pour inciter vos contacts à le faire.
La cause des Communs nécessite la diffusion d’une Culture des Communs, à même de fédérer les différentes composantes de la grande famille des commoners et de donner une plus grande visibilité à leurs idées. Un media libre, comme Libre@Toi propose d’en créer un, constituera une aide précieuse pour avancer dans cette direction.
Libre@Toi est actuellement un projet qui associe une webradio, un site internet et un tier-lieu à Paris, visant à donner la parole aux acteurs du logiciel libre et de la culture libre en général. Avec cette idée d’une « Radio des Communs », Libre@Toi entend aller plus loin, en traitant la thématique des Communs au-delà des champs du numérique et de la connaissance, pour aborder aussi la question des Communs naturels et sociaux.
La libération d’une fréquence en région parisienne étant un événement rarissime, nul doute que de nombreuses demandes seront adressées au CSA pour se la faire attribuer. C’est la raison pour laquelle Libre@Toi a besoin d’un maximum de manifestations de soutien, qui pourront être jointes au dossier de candidature.
Vous pouvez pour cela utiliser le formulaire de soutien qui se trouve au pied de cette page web. Laissez un mot pour expliquer en quoi vous soutenez la création d’une Radio des Communs sur la bande FM parisienne. Et faites tourner l’information autour de vous pour inciter vos contacts à le faire.
La cause des Communs nécessite la diffusion d’une Culture des Communs, à même de fédérer les différentes composantes de la grande famille des commoners et de donner une plus grande visibilité à leurs idées. Un media libre, comme Libre@Toi propose d’en créer un, constituera une aide précieuse pour avancer dans cette direction.