14046 shaares
En octobre 2016 j’ai suivi une formation d’écoute active : « L’écoute active est un concept développé à partir des travaux du psychologue américain Carl Rogers. Elle est également nommée écoute bienveillante. Initialement conçue pour l’accompagnement de l’expression des émotions, elle est opérationnelle dans les situations de face-à-face où le professionnel écoute activement l’autre. Elle consiste à mettre en mots les émotions et sentiments exprimés de manière tacite ou implicite par l’interlocuteur. L’écoute active est plus fine que la reformulation en ce qu’elle ne se limite pas à dire autrement ce qu’une personne vient d’exprimer, mais de décoder la dimension affective généralement non verbalisée ».
C’est probablement cette formation qui m’a fait terminer mon précédent billet par : « Internet aurait pu nous rassembler, il nous divise. Il n’a pas aidé à mieux nous comprendre, à mieux communiquer. Il nous a renvoyé à notre propre ego, à notre arrogance de penser qu’on peut confier à un outil le soin de faire l’effort de se rapprocher de l’autre ». Sur Internet les gens s’expriment. Ils ne s’écoutent pas.
Je ne vais pas vous parler d’écoute active, je vais vous parler d’écoute. Je vais parler de choses que je ne trouve plus sur Internet.
C’est probablement cette formation qui m’a fait terminer mon précédent billet par : « Internet aurait pu nous rassembler, il nous divise. Il n’a pas aidé à mieux nous comprendre, à mieux communiquer. Il nous a renvoyé à notre propre ego, à notre arrogance de penser qu’on peut confier à un outil le soin de faire l’effort de se rapprocher de l’autre ». Sur Internet les gens s’expriment. Ils ne s’écoutent pas.
Je ne vais pas vous parler d’écoute active, je vais vous parler d’écoute. Je vais parler de choses que je ne trouve plus sur Internet.