14046 shaares
Résumé : faire en sorte que le monde matériel soit aussi agréable que le monde du logiciel libre
Logiciel Libre
Depuis près de 10 ans, ma culture est fortement influencée par le Logiciel Libre. Il s'en est suivi l'auto-hébergement. L'apport est immense :
Indépendance. Liberté d'usage, c'est la liberté 0.
Connaissance. Compréhension profonde du fonctionnement des logiciels. Elle n'est pas totale car un OS est devenu un système complexe mais j'ai le sentiment d'avoir une vision globale du système et locale lorsque je désire comprendre le fonctionnement précis d'un algorithme.
Sureté. Elle découle du point précédent. Rien n'est 100% sûr, mais le modèle du libre m'assure une sureté maximale en terme de vie privée et de fiabilité.
Evolutivité. Je peux modifier un morceau pour l'adapter à mes usages. Je peux écrire des codes pour automatiser des tâches. Avant d'être un outil de communication, ce fût le premier intérêt de l'informatique, avant que l'usage majoritaire comme une télévision ne s'impose.
Pérennité. Je réduis au maximum ma dépendance au bon vouloir d'un éditeur privé qui pourrait m'imposer des limitations (DRM), cesser le développement, perdre en rétrocompatibilité.
Résilience. Eviter les silos, les solutions uniques. Le logiciel Libre, avec sa part communautaire, renforce la coopération, l'acentralisation et la résilience.
Prix. Faible coût de l'ensemble. Il pourrait être nul, mais j'apporte ma petite contribution financière lorsque temps et/ou connaissances me manquent.
Mais tout ceci concerne les biens non-rivaux. Qu'en est-il des biens rivaux (ie matériels) ?
Logiciel Libre
Depuis près de 10 ans, ma culture est fortement influencée par le Logiciel Libre. Il s'en est suivi l'auto-hébergement. L'apport est immense :
Indépendance. Liberté d'usage, c'est la liberté 0.
Connaissance. Compréhension profonde du fonctionnement des logiciels. Elle n'est pas totale car un OS est devenu un système complexe mais j'ai le sentiment d'avoir une vision globale du système et locale lorsque je désire comprendre le fonctionnement précis d'un algorithme.
Sureté. Elle découle du point précédent. Rien n'est 100% sûr, mais le modèle du libre m'assure une sureté maximale en terme de vie privée et de fiabilité.
Evolutivité. Je peux modifier un morceau pour l'adapter à mes usages. Je peux écrire des codes pour automatiser des tâches. Avant d'être un outil de communication, ce fût le premier intérêt de l'informatique, avant que l'usage majoritaire comme une télévision ne s'impose.
Pérennité. Je réduis au maximum ma dépendance au bon vouloir d'un éditeur privé qui pourrait m'imposer des limitations (DRM), cesser le développement, perdre en rétrocompatibilité.
Résilience. Eviter les silos, les solutions uniques. Le logiciel Libre, avec sa part communautaire, renforce la coopération, l'acentralisation et la résilience.
Prix. Faible coût de l'ensemble. Il pourrait être nul, mais j'apporte ma petite contribution financière lorsque temps et/ou connaissances me manquent.
Mais tout ceci concerne les biens non-rivaux. Qu'en est-il des biens rivaux (ie matériels) ?