14046 shaares
Ceux qui ont connu GNU/Linux durant le courant des années 90 peuvent témoigner du fait que la situation a radicalement changée. À l’époque, il fallait vraiment acheter un modèle bien précis de carte son ou de carte graphique pour espérer obtenir une machine relativement fonctionnelle.
Par la suite, au fil des ans, ce qui nécessitait autrefois de la rétro-ingénierie par des développeurs particulièrement chevronnés, à vue l’arrivée de plus en plus de constructeurs souhaitant contribuer directement au développement de pilotes pour notre plateforme (Intel est par exemple le premier contributeur du noyau Linux, devant Red Hat). Et même si tous ne jouent pas le jeu du libre (on pense tout de suite à nVidia), c’est tout de même agréable de pouvoir profiter pleinement de notre matériel, parfois chèrement acquis.
La situation a donc bien changé, et de nos jours, nous pouvons installer facilement une distribution sur de nombreuses machines différentes sans jamais rencontrer le moindre souci.
Par la suite, au fil des ans, ce qui nécessitait autrefois de la rétro-ingénierie par des développeurs particulièrement chevronnés, à vue l’arrivée de plus en plus de constructeurs souhaitant contribuer directement au développement de pilotes pour notre plateforme (Intel est par exemple le premier contributeur du noyau Linux, devant Red Hat). Et même si tous ne jouent pas le jeu du libre (on pense tout de suite à nVidia), c’est tout de même agréable de pouvoir profiter pleinement de notre matériel, parfois chèrement acquis.
La situation a donc bien changé, et de nos jours, nous pouvons installer facilement une distribution sur de nombreuses machines différentes sans jamais rencontrer le moindre souci.