14046 shaares
Le groupe Daimler, qui possède Mercedes-Benz, a apporté quelques nuances à sa position mal comprise sur l'éthique que devraient avoir les voitures autonomes de ces prochaines années, lorsqu'un accident est inévitable. Il ne refuse pas d'avoir à choisir de risquer de tuer le passager de la voiture plutôt que des passants, mais souhaite que les règles soient déterminées par consensus au niveau international.