14046 shaares
Alors qu'il avait annoncé la fin du support de Flash sous Linux pour 2017, Adobe est revenu sur sa politique. Il recommence à mettre à jour la version NPAPI de son format, utilisable sur tous les navigateurs.
Six ans après que Steve Jobs a plaidé pour la mort de Flash, la bête vit encore, maintenue en vie par Adobe et les quelques uns qui tiennent encore à préférer une solution lourdingue et propriétaire au bon vieux HTML5 qui permet, grosso modo, de faire la même chose en mieux. Il est aussi toujours utilisé pour voir ou revoir les contenus malheureusement réalisés en Flash quand le format faisait encore la joie des webmasters en manque d’animations.
Adobe avait tout de même lâché du lest, en abandonnant il y a quatre ans le support de Flash sous Linux, où les fans du format ne doivent pas être légion. Néanmoins, l’appel populaire a fini par convaincre l’éditeur qu’il fallait y revenir.
Six ans après que Steve Jobs a plaidé pour la mort de Flash, la bête vit encore, maintenue en vie par Adobe et les quelques uns qui tiennent encore à préférer une solution lourdingue et propriétaire au bon vieux HTML5 qui permet, grosso modo, de faire la même chose en mieux. Il est aussi toujours utilisé pour voir ou revoir les contenus malheureusement réalisés en Flash quand le format faisait encore la joie des webmasters en manque d’animations.
Adobe avait tout de même lâché du lest, en abandonnant il y a quatre ans le support de Flash sous Linux, où les fans du format ne doivent pas être légion. Néanmoins, l’appel populaire a fini par convaincre l’éditeur qu’il fallait y revenir.