14046 shaares
Vendredi après-midi, à l’heure où blanchissent les timelines, le Guardian publiait tranquillou un article pas alarmiste pour deux sous : « une backdoor de WhatsApp permet d’espionner les messages chiffrés ». Comme de bien entendu, étant donné la chaleur de la révélation, les réseaux sociaux ont atteint le point d’ébullition en quelques minutes, et la nouvelle a été largement reprise et amplement commentée.
Une backdoor ? Oui, vous avez raison, commençons par le commencement.
Une backdoor ? Oui, vous avez raison, commençons par le commencement.