14046 shaares
Depuis la sortie « forcée » d’unity il y a un an et le démarrage de gnome3, j’ai énormément pesté, vociféré, éructé toute ma haine. J’en faisais même des cauchemars dans lesquels je me voyais étrangler Mark Shuttleworth pour cette trahison tant redoutée, et frapper les développeurs de gnome3 atteints comme l’a si bien dit Linus Torvalds de « problèmes mentaux ». Maintenant je vais tenter de faire preuve de bonne volonté et comme disent certains de voir le bon côté des choses de façon constructive.
Donc la solution, à mon sens, c’est XFCE. Pour ceux qui aimaient la sobriété et l’efficacité de gnome2, et pensent qu’un système Linux doit pouvoir tourner sans accélération graphique et en utilisant peu de ressources. Je l’utilise sur Debian Squeeze et sur Ubuntu 11.10.
La dernière version d’XFCE, la 4.8, me paraît stable et me donne une impression globale de maturité que je n’avais pas avec les versions précédentes.
Retrouver avec XFCE ce qu’on avait avec GNOME2
Faisons le point sur les éléments rencontrés dans ma tentative de faire ressembler XFCE à gnome2 (oui, je le reconnais, je n’ai pas envie ni besoin d’un changement « révolutionnaire » dans mon environnement de bureau).
Donc la solution, à mon sens, c’est XFCE. Pour ceux qui aimaient la sobriété et l’efficacité de gnome2, et pensent qu’un système Linux doit pouvoir tourner sans accélération graphique et en utilisant peu de ressources. Je l’utilise sur Debian Squeeze et sur Ubuntu 11.10.
La dernière version d’XFCE, la 4.8, me paraît stable et me donne une impression globale de maturité que je n’avais pas avec les versions précédentes.
Retrouver avec XFCE ce qu’on avait avec GNOME2
Faisons le point sur les éléments rencontrés dans ma tentative de faire ressembler XFCE à gnome2 (oui, je le reconnais, je n’ai pas envie ni besoin d’un changement « révolutionnaire » dans mon environnement de bureau).