14046 shaares
Nous avons choisi aujourd’hui de donner un écho à l’article publié sur son blog par Thierry Crouzet (en savoir plus sur ce geek polygraphe né avant le Minitel). Comme d’autres, avec moins d’acrimonie toutefois, il pointe les limites de nos protestations. Mais il a le mérite de proposer quelques actions concrètes que nous pouvons entreprendre demain matin.
Certains, très remontés contre l’étranglement en cours des libertés numériques, trouveront peut-être ses suggestions trop timorées ou idéalistes… mais la nécessaire réactivité n’empêche pas d’opérer un examen critique de nos propres habitudes sur le Net : défendons-nous la liberté d’expression par notre écoute complaisante des voix dominantes, la somnolence de notre esprit de discernement, la maigreur de notre créativité en ligne au regard de notre consommation démesurée de contenus, notre fréquente incuriosité et notre si rapide lassitude ? — autant de critiques en creux dans la liste des recommandations que vous allez lire.
Lorsqu’il nous enjoint de modifier nos comportements pour réaliser la liberté d’expression, Thierry Crouzet n’est pas loin d’écrire en moraliste.
Comment défendre la liberté d’expression sur le Net et ailleurs
Certains, très remontés contre l’étranglement en cours des libertés numériques, trouveront peut-être ses suggestions trop timorées ou idéalistes… mais la nécessaire réactivité n’empêche pas d’opérer un examen critique de nos propres habitudes sur le Net : défendons-nous la liberté d’expression par notre écoute complaisante des voix dominantes, la somnolence de notre esprit de discernement, la maigreur de notre créativité en ligne au regard de notre consommation démesurée de contenus, notre fréquente incuriosité et notre si rapide lassitude ? — autant de critiques en creux dans la liste des recommandations que vous allez lire.
Lorsqu’il nous enjoint de modifier nos comportements pour réaliser la liberté d’expression, Thierry Crouzet n’est pas loin d’écrire en moraliste.
Comment défendre la liberté d’expression sur le Net et ailleurs