14046 shaares
La campagne présidentielle bat son plein et c’est la foire d’empoigne entre les principaux candidats. Tout le monde y est de sa mesure phare et de ses promesses électorales. Les uns s’engagent à une réduction du chômage de 4 points en moins d’un quinquennat, les autres prédisent une croissance décuplée et une réduction de la dette sans précédent. C’est à celui qui fera la meilleure proposition.
Seulement, le fonctionnement des institutions républicaines françaises ne s’arrête pas à la présidentielle. Depuis 1958, on vote effectivement pour un homme (ou une femme), chef de l’exécutif, mais il a ensuite besoin d’une majorité à l’Assemblée. Sans cela, son programme de campagne ne pourra jamais être appliqué et il s’arrêtera aux seules grandes lignes.
Seulement, le fonctionnement des institutions républicaines françaises ne s’arrête pas à la présidentielle. Depuis 1958, on vote effectivement pour un homme (ou une femme), chef de l’exécutif, mais il a ensuite besoin d’une majorité à l’Assemblée. Sans cela, son programme de campagne ne pourra jamais être appliqué et il s’arrêtera aux seules grandes lignes.