14046 shaares
Celui qui en parle le mieux et qui a démocratisé l'expression, l'effet Flamby, c'est Benjamin Bayart. Il l'a popularisé dans la communauté des hackers lors de sa conférence à Pas Sages En Seine en 2011, sur l'affaire Wikileaks. De nombreux gouvernements (enfin surtout celui des États-Unis) avaient essayé de faire censurer sur Internet le phénomène Wikileaks propulsé par Julian Assange. Très attendus, et à peine partagés sur la Toile, les câbles diplomatiques de Wikileaks se retrouvaient dupliqués sur des centaines de serveurs à travers le monde.
Ainsi, l'effet Flamby, c'est en quelques sorte un proche cousin de l'effet Streisand dont le point commun débute par une tentative de censure ratée d'une information sur Internet qui finit par éclabousser partout.
La différence entre les deux effets réside en fait, dans la popularité de l'information de départ.
Ainsi, l'effet Flamby, c'est en quelques sorte un proche cousin de l'effet Streisand dont le point commun débute par une tentative de censure ratée d'une information sur Internet qui finit par éclabousser partout.
La différence entre les deux effets réside en fait, dans la popularité de l'information de départ.