14046 shaares
Dans son combat contre les DRM, l'April soutient la Journée internationale contre les DRM le 6 mai 2014.
Cette journée est l'occasion de rappeler à quel point ces menottes numériques sont dangereuses pour les utilisateurs comme pour les développeurs de logiciels libres, et empêchent des usages légitimes sur les contenus numériques.
Le 6 mai 2014, la Fondation pour le Logiciel Libre1 organise la Journée internationale contre les DRM, une journée d'information sur les dangers des DRM, des systèmes de gestion de contrôle d'usage des fichiers numériques. Ces DRM sont présents sur de nombreux fichiers comme une partie de la musique en ligne, certains livres numériques mais aussi sur les supports physiques comme les DVD et les BlueRays pour la vidéo. Ils encodent le contenu de manière à le rendre illisible pour qui n'a pas la clé numérique pour le décoder. Les DRM ont pour principal objectif d'établir un contrôle de l’usage dans le cercle privé, jusqu’ici impossible à mettre en œuvre.
***
« Si les gens savaient qu’il y a un DRM, ce que c’est et comment ça fonctionne, nous aurions déjà échoué »
(“If consumers even know there’s a DRM, what it is, and how it works, we’ve already failed”)
Disney, dans The Economist, septembre 2005
Cette journée est l'occasion de rappeler à quel point ces menottes numériques sont dangereuses pour les utilisateurs comme pour les développeurs de logiciels libres, et empêchent des usages légitimes sur les contenus numériques.
Le 6 mai 2014, la Fondation pour le Logiciel Libre1 organise la Journée internationale contre les DRM, une journée d'information sur les dangers des DRM, des systèmes de gestion de contrôle d'usage des fichiers numériques. Ces DRM sont présents sur de nombreux fichiers comme une partie de la musique en ligne, certains livres numériques mais aussi sur les supports physiques comme les DVD et les BlueRays pour la vidéo. Ils encodent le contenu de manière à le rendre illisible pour qui n'a pas la clé numérique pour le décoder. Les DRM ont pour principal objectif d'établir un contrôle de l’usage dans le cercle privé, jusqu’ici impossible à mettre en œuvre.
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« Si les gens savaient qu’il y a un DRM, ce que c’est et comment ça fonctionne, nous aurions déjà échoué »
(“If consumers even know there’s a DRM, what it is, and how it works, we’ve already failed”)
Disney, dans The Economist, septembre 2005