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13 juillet 2015. – Le lundi 13 juillet, la Conférence internationale sur le financement du développement s'ouvre à Addis Abeba. Elle va durer jusqu'au 16 juillet. L'absence de François Hollande est regrettée.
Cette conférence regroupe 93 Etats membres des Nations unies (ONU). Une vingtaine de chefs d’Etat ou de gouvernement y seront présents.
Cette conférence vise à discuter de l'extrême pauvreté. D'après Le Monde « Un milliard d’êtres humains vivent avec moins de 1,25 dollar (1,10 euro) par jour . »
Le point de désaccord premier porte sur la création d’un organisme fiscal sous l’égide de l’ONU.
Certaines associations craignent une « privatisation de l’aide publique ».
La France est le quatrième bailleur international. Elle n'attribue que 0,36 % de son produit national brut (PNB) à l’aide publique au développement (APD). Ce niveau est la moitié des 0,7% auxquels les Etats se sont engagés au Consensus de Monterrey.
Left pointing double angle quotation mark sh3.svg les flux financiers privés doivent faire l’objet d’une vigilance particulière Right pointing double angle quotation mark sh3.svg
— des associations non gouvernementales
.
Left pointing double angle quotation mark sh3.svg Il y aura une querelle entre les Anciens et les Modernes, (...) Les Anciens défendent l’APD. Les Modernes plaident pour les financements innovants, le “blending” (mélange prêt-don), etc. Right pointing double angle quotation mark sh3.svg
— Tancrède Voituriez, le 18 juin à Paris, pour l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri).
D'après Tancrède Voituriez Paris soutient les financements innovants « pour ne pas prendre d’engagements sur l’APD ».
Cette conférence regroupe 93 Etats membres des Nations unies (ONU). Une vingtaine de chefs d’Etat ou de gouvernement y seront présents.
Cette conférence vise à discuter de l'extrême pauvreté. D'après Le Monde « Un milliard d’êtres humains vivent avec moins de 1,25 dollar (1,10 euro) par jour . »
Le point de désaccord premier porte sur la création d’un organisme fiscal sous l’égide de l’ONU.
Certaines associations craignent une « privatisation de l’aide publique ».
La France est le quatrième bailleur international. Elle n'attribue que 0,36 % de son produit national brut (PNB) à l’aide publique au développement (APD). Ce niveau est la moitié des 0,7% auxquels les Etats se sont engagés au Consensus de Monterrey.
Left pointing double angle quotation mark sh3.svg les flux financiers privés doivent faire l’objet d’une vigilance particulière Right pointing double angle quotation mark sh3.svg
— des associations non gouvernementales
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Left pointing double angle quotation mark sh3.svg Il y aura une querelle entre les Anciens et les Modernes, (...) Les Anciens défendent l’APD. Les Modernes plaident pour les financements innovants, le “blending” (mélange prêt-don), etc. Right pointing double angle quotation mark sh3.svg
— Tancrède Voituriez, le 18 juin à Paris, pour l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri).
D'après Tancrède Voituriez Paris soutient les financements innovants « pour ne pas prendre d’engagements sur l’APD ».