14046 shaares
Il suffit de deux exemples pour comprendre que l’extension de l’état d’urgence est une arme politique :
des agriculteurs bio en Dordogne ont vu leur ferme fouillée et leurs propriétaires interrogés. Des terroristes ? Non, pas du tout. Ce sont des citoyens militants syndiqués ayant participés à deux, trois manifestations dans le passé.
un membre de l’équipe juridique de la Coalition Climat a été assigné à résidence et doit pointer 3 fois par jour au commissariat. Un terroriste ? Non, pas du tout. C’est un militant associatif contre le chantier de Notre Dame Des Landes et la masquarade Cop21.
L’état d’urgence est donc une arme de repression, figeant la vie de gens, leur faisant perdre leur travail en les assignant à résidence, censurant la liberté de paroles.
L’état ne s’occupait pas du terrorisme avant, il ne s’en occupe pas plus maintenant : il s’occupe de ses ennemis sociaux et intellectuels, ils tentent de briser les gens en les agressant sous couvert de l’état d’urgence.
"Quand ils sont venus pour les autres, je n’ai rien dit. Quand ils sont venus pour moi, il n’y avait plus personne pour me défendre."
des agriculteurs bio en Dordogne ont vu leur ferme fouillée et leurs propriétaires interrogés. Des terroristes ? Non, pas du tout. Ce sont des citoyens militants syndiqués ayant participés à deux, trois manifestations dans le passé.
un membre de l’équipe juridique de la Coalition Climat a été assigné à résidence et doit pointer 3 fois par jour au commissariat. Un terroriste ? Non, pas du tout. C’est un militant associatif contre le chantier de Notre Dame Des Landes et la masquarade Cop21.
L’état d’urgence est donc une arme de repression, figeant la vie de gens, leur faisant perdre leur travail en les assignant à résidence, censurant la liberté de paroles.
L’état ne s’occupait pas du terrorisme avant, il ne s’en occupe pas plus maintenant : il s’occupe de ses ennemis sociaux et intellectuels, ils tentent de briser les gens en les agressant sous couvert de l’état d’urgence.
"Quand ils sont venus pour les autres, je n’ai rien dit. Quand ils sont venus pour moi, il n’y avait plus personne pour me défendre."