14046 shaares
Est-ce acceptable qu’un député ou un sénateur mène en même temps que son travail de parlementaire une activité de conseil aux entreprises ? Qu’une grande part des inspecteurs généraux des finances, l’élite administrative française, rejoigne les directions des banques privées ? Est-ce sain pour la démocratie que d’autres parlementaires siègent dans les conseils d’administration de multinationales ?