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GNOME
Actuellement sur mon laptop j’utilise le couple Debian (Sid) / Gnome. Avant Gnome j’ai utilisé Kde et puis comme tout le monde j’ai testé pas mal d’autres environnements graphiques. Je me rend compte que j’ai du mal à rester sur un bureau en particulier. Ou disons que pour le moment parmi tous ceux que j’ai utilisé aucun n’était pleinement satisfaisant.
En étant sur Debian, pour Gnome par exemple je trouve le gestionnaire de fichiers trop pauvre. Sur Kde la gestion des périphériques externe et en particulier les téléphones Android n’est pas encore au point (mais ça devrait changer avec l’amélioration de KDE-connect) sur Xfce je n’arrive pas à trouver l’aspect visuel qui me plaît…Bref, c’est pas évident…
Vous l’avez compris, je change régulièrement mon environnement de travail. Le souci dans ce bal des saveurs c’est qu’à un moment donné on se retrouve avec un système encombré par du code non utilisé. C’est en naviguant sur le wiki de Debian que je suis tombé sur du code qui fait mon bonheur. Il s’agit de lignes de commandes à utiliser avec Aptitude.
En étant sur Debian, pour Gnome par exemple je trouve le gestionnaire de fichiers trop pauvre. Sur Kde la gestion des périphériques externe et en particulier les téléphones Android n’est pas encore au point (mais ça devrait changer avec l’amélioration de KDE-connect) sur Xfce je n’arrive pas à trouver l’aspect visuel qui me plaît…Bref, c’est pas évident…
Vous l’avez compris, je change régulièrement mon environnement de travail. Le souci dans ce bal des saveurs c’est qu’à un moment donné on se retrouve avec un système encombré par du code non utilisé. C’est en naviguant sur le wiki de Debian que je suis tombé sur du code qui fait mon bonheur. Il s’agit de lignes de commandes à utiliser avec Aptitude.
Avec l’arrivée prévue d’Unity 8 dans Ubuntu pour postes de travail d’ici un an, les développeurs d’Ubuntu souhaitent homogénéiser les applications principales autour d’un même gabarit, basé sur Qt. Même si rien n’est encore officiellement accompli, la disparition de Nautilus des applications par défaut dans Ubuntu semble probable, ainsi que plus largement une partie des applications liées à GNOME.
En effet, Unity 8 ne se contentera pas d’être une simple interface, mais deviendra plutôt un véritable environnement de bureau à part entière, avec sa propre suite d’applications conçues et pensées autour du SDK d’Ubuntu, construit avec Qt.
En effet, Unity 8 ne se contentera pas d’être une simple interface, mais deviendra plutôt un véritable environnement de bureau à part entière, avec sa propre suite d’applications conçues et pensées autour du SDK d’Ubuntu, construit avec Qt.
Canonical avait d’abord annoncé qu’ils resteront avec la version GNOME 3.8 pour Ubuntu 14.04 LTS, mais il semble que les utilisateurs pourraient obtenir GNOME 3.10, ou au moins certaines parties de celui-ci. Adopter GNOME 3.10 dans Ubuntu 14.04 LTS aurait posé quelques problèmes qui étaient plus grands que les avantages potentiels, mais les problèmes ont été résolus et les paquets GNOME Shell 3.10 ont débarqué dans les dépôts test de Ubuntu 14.04. Il s’agit en fait de bonnes nouvelles pour les développeurs d’Ubuntu GNOME 14.04 qui seront en mesure de mettre en œuvre les nouveaux paquets pour leur distribution. Canonical fait beaucoup d’efforts dans le développement d’Ubuntu 14.04 (Trusty Tahr), qui sera une version LTS. Cela signifie que l’entreprise fournira un soutien pour les cinq prochaines années. La mise en œuvre de GNOME 3.8 aurait été perçue comme une mauvaise décision par certains utilisateurs, indépendamment des raisons techniques valables.
L’équipe de Ubuntu GNOME est à la recherche de plus de contributeurs pour que la version 14.04 LTS de leur projet soit une réalité. À l’heure actuelle, les développeurs d’Ubuntu GNOME passent par une période très difficile, car il n’y a pas assez de personnes pour assurer la sortie d’une bonne version 14.04 LTS. L’équipe de GNOME Ubuntu a lancé un appel à l’aide il y a quelques mois, exhortant tout le monde ayant les compétences et du temps à entrer en contact et aider avec les travaux nécessaires. » Même si je ne peux pas nier que je redoutais, mais j’avais tellement espéré et souhaité voir tant de monde intéressé. S’il vous plaît nous avons vraiment besoin de plus d’aide, de support et de contribution. Sinon, et laissez-moi être très honnête, avoir une version LTS pourrait être vraiment difficile, voire impossible « . » Je ne veux pas être pessimiste mais plutôt honnête et réaliste. Nous sommes tous des bénévoles ici. Nous vous remercions de vos intentions, mais nous avons besoin de véritables contributions de votre part », a déclaré Ali Linx sur la liste de diffusion Ubuntu . Donc, si vous avez de l’expérience et du temps nécessaire, entrez en contact avec l’équipe de Ubuntu GNOME, sinon nous ne pourrions pas obtenir une version d’Ubuntu GNOME. Ce qui serait vraiment dommage ! Alors SOS !
On peut lire ici que le projet Debian à decidé de choisir un nouvel environnement de base pour sa version 8 qui devrait sortir fin 2015.
Dans le genre annonce qui devrait faire couler de l'encre, on pourrait imaginer qu'il serait difficile de trouver mieux, mais non.
Si je me souviens bien, ça fait un moment que Debian tourne autour de Xfce pour remplacer son image par défaut. Ce n'est pas nouveau, mais là, on rentre dans une période d'évaluation.
La version testing de Debian embarque maintenant Xfce de base, si on veut. Cela veut dire qu'a l'installation d'un système de base avec environnement graphique, c'est Xfce qui prend maintenant le pas dans les images ISO générées en testing.
C'est temporaire et le dévelopeur à l'origne de l'annonce précise bien que GNOME reviendra en environnement graphique par défaut s'il est toujours majoritairement installé.
Dans le genre annonce qui devrait faire couler de l'encre, on pourrait imaginer qu'il serait difficile de trouver mieux, mais non.
Si je me souviens bien, ça fait un moment que Debian tourne autour de Xfce pour remplacer son image par défaut. Ce n'est pas nouveau, mais là, on rentre dans une période d'évaluation.
La version testing de Debian embarque maintenant Xfce de base, si on veut. Cela veut dire qu'a l'installation d'un système de base avec environnement graphique, c'est Xfce qui prend maintenant le pas dans les images ISO générées en testing.
C'est temporaire et le dévelopeur à l'origne de l'annonce précise bien que GNOME reviendra en environnement graphique par défaut s'il est toujours majoritairement installé.
Les développeurs de la team Ubuntu Gnome lancent un appel à l’aide pour qu’ils puissent sortir la prochaine release Ubuntu Gnome 14.04 en version LTS.
En effet le manque de main-d’œuvre pourrait empêcher d’avoir une LTS. Ils lancent donc un appel pour trouver des personnes avec des profils spécifiques :
En effet le manque de main-d’œuvre pourrait empêcher d’avoir une LTS. Ils lancent donc un appel pour trouver des personnes avec des profils spécifiques :
Maintenant que GNOME 3.10 est arrivé sur nos écrans, voici l’annonce du calendrier de la prochaine release 3.12 qui sera terminé normalement fin mars 2014.
Nous vous avons parlé de Cinnamon 2.0 dans ce billet et certains d’entre-vous ont remarqué qu’il y avait quelques soucis avec Unity. En gros et pour faire simple, il semblerait que cela soit dû à un paquet Gnome utilisé par les deux environnements, mais dans des versions différentes. En conséquence soyez prudents et si vous voulez tester sur Ubuntu + Unity 13.10 ou Gnome 3.10, je vous conseille d’attendre la mise à jour de Cinnamon avant de vous lancer.
Gnome Flashback est un nouvel environnement de travail sous Gnome 3 initialement appelé Gnome Fallback. On retrouve ainsi l’environnement de la série 2.x de Gnome avec metacity, gnome-panel et Gnome Applets.
Parmi les nombreux projets en cours de développement ou de restructuration, Gnome figure en bonne place et s’est lancé dans une foule de projets visant à repenser complètement leur environnement de bureau et un grand nombre des applications de base. Parmi les chantiers en cours on citera par exemple GNOME Software, qui vise à fournir un nouveau centre de logiciels moderne et similaire à d’autres projets du même type, comme l’Ubuntu Software Center par exemple.
GNOME Software (aidé en cela par Gnome-PackageKit) a pour but de vous permettre de gérer vos différentes applications de manière intuitive, grâce à une interface graphique disposant de plusieurs catégories vous fournissant diverses informations. Vous avez ainsi accès à des captures d’écran, à des descriptifs détaillés et vous avez enfin la possibilité d’attribuer des notes, permettant ainsi aux utilisateurs de juger immédiatement de la qualité de l’application qui les intéresse.
GNOME Software (aidé en cela par Gnome-PackageKit) a pour but de vous permettre de gérer vos différentes applications de manière intuitive, grâce à une interface graphique disposant de plusieurs catégories vous fournissant diverses informations. Vous avez ainsi accès à des captures d’écran, à des descriptifs détaillés et vous avez enfin la possibilité d’attribuer des notes, permettant ainsi aux utilisateurs de juger immédiatement de la qualité de l’application qui les intéresse.
La version 7 de Red Hat Enterprise Linux (RHEL en abrégé) sera habillée par GNOME 3 dans son mode Classique, c'est-à-dire le mode apparu avec la version 3.8 de GNOME, qui tente de reproduire l’ergonomie de GNOME 2 à l'aide d'extensions pour GNOME Shell (rien à voir avec le mode Restreint alias Fallback qui était livré avec les précédentes versions de GNOME 3 et qui utilisait des technologies spécifiques).
Je viens d'avoir un nouvel ordinateur professionnel. Il s'agit d'un PC portable Dell Precision M4700. Il est composé d'une carte graphique AMD FirePro M4000, de 8Go de RAM, d'un disque dur 750Go Sata et surtout d'un disque dur 250Go SSD. Bref, une petite foudre. Du coup, je me suis décidé à installer la toute dernière version d'Ubuntu (13.04) avec non pas Unity mais Gnome Shell. Depuis plus de 6 ans, j'utilisais Gnome 2. Le changement a donc été plutôt radical. Dans cet article, je vais parler de ma découverte de ce nouvel environnement et des modifications que j'y ai apporté afin qu'il me convienne.
Depuis depuis deux ans maintenant, les développeurs du projet Gnome n’ont cessé de s’illustrer avec un tas de décisions et de choix incompréhenisbles, et qui ont fait grincer les dents de plus d’un utilisateur. L’exemple le plus flagrant en est cette guerre contre les fonctionnalités de base, à laquelle s’est livré les développeurs. Boutons pour arrêter/redémarrer l’ordinateur supprimés, idem pour la vue en arborescence, menu des bookmarks pour nautilus… la liste est longue.
Cependant, j’avais un peu d’espoir que les dévs vont finir par se rendre compte -avant qu’il soit trop tard-, de la nécessité de se réconcilier avec les utilisateurs, en écoutant et prenant en compte leurs feedback et critiques. Et bien cet espoir vient de s’évaporer.
En effet, en consultant mes flux d’infos ce matin, je tombe sur cette URL vers un bug report ouvert sur le bugzilla du projet Gnome. Un utilisateur s’étonnait de la suppression d’une nouvelle fonctionnalité, cette fois ça concerne Gnome Terminal, et demandait de la ré-implémenter. La réponse du développeur ne s’est pas tardé : “no.“. Pas d’arguments ni explication pour justifier ce choix, un simple non, un wontfix et une fermeture du rapport de bug.
Cependant, j’avais un peu d’espoir que les dévs vont finir par se rendre compte -avant qu’il soit trop tard-, de la nécessité de se réconcilier avec les utilisateurs, en écoutant et prenant en compte leurs feedback et critiques. Et bien cet espoir vient de s’évaporer.
En effet, en consultant mes flux d’infos ce matin, je tombe sur cette URL vers un bug report ouvert sur le bugzilla du projet Gnome. Un utilisateur s’étonnait de la suppression d’une nouvelle fonctionnalité, cette fois ça concerne Gnome Terminal, et demandait de la ré-implémenter. La réponse du développeur ne s’est pas tardé : “no.“. Pas d’arguments ni explication pour justifier ce choix, un simple non, un wontfix et une fermeture du rapport de bug.
L’arrivée de Gnome 3 et plus particulièrement de GNOME-Shell, a apporté un changement radical dans l’expérience utilisateur, ainsi que la suppression de nombreuses fonctionnalités, suscitant pas mal de critiques envers les développeurs de la team Gnome.
Certains choix de GNOME ont fait couler beaucoup d’encre et non sans raisons.
Certains choix de GNOME ont fait couler beaucoup d’encre et non sans raisons.
Cinnarch « était » une distribution Linux passionnante qui combine Arch Linux avec cinnamon (un fork de GNOME Shell développé par Linux Mint) comme interface utilisateur de bureau. Malheureusement, Cinnamon apparemment (au moment de l’écriture) n’est plus compatible avec la dernière version de GNOME. Cela a abouti à un dilemme avec les développeurs de Cinnarch qui ont décidé d’abandonner Cinnamon et peut-être renommer la distribution: «Bien que Cinnamon soit une excellente interface utilisateur et nous avons eu beaucoup de plaisir à l’utiliser, elle est devenue désormais trop difficile à maintenir/mettre à jour. Nous souhaitons rester fidèle et compatible à notre distro mère, Arch Linux, et le maintien de cinnamon serait source d’incompatibilités/hacks dans l’ensemble des paquets GNOME. C’est presque impossible de maintenir un logiciel développé par Linux Mint dans une distribution à developpement constant comme le nôtre. Ils ont un an de retard avec le code en amont. Arch Linux va avoir GNOME 3.8 et cinnamon bientôt incompatible. L’équipe de cinnamon a toujours migré une partie de leur outils pour travailler pleinement avec Gnome 3.6. Cela dit, nous avons décidé que pour offrir une expérience utilisateur la plus stable, la meilleure possible, nous allons maintenant utiliser GNOME comme notre environnement de bureau par défaut pour aller de l’avant. »
Le projet GNOME vient de mettre en place sa propre installation de ownCloud. Pour le moment, l'accès est réservé aux membres du projet, et la qualité de service n'est pas garantie.
À l'instar de iCloud (né Mobile me) d'Apple et d'Ubuntu One de Canonical, GNOME propose lui aussi un service dit « dans les nuages » qui va de pair avec son produit. L'avantage de la solution du projet GNOME est qu'elle repose sur un logiciel libre.
À l'instar de iCloud (né Mobile me) d'Apple et d'Ubuntu One de Canonical, GNOME propose lui aussi un service dit « dans les nuages » qui va de pair avec son produit. L'avantage de la solution du projet GNOME est qu'elle repose sur un logiciel libre.
Alors que je vous l'annonçait pour Cinnarch, c'est bien au tour de Manjaro d'abandonner le support de l'environnement Cinnamon. Comme cadeau de départ, la communauté autour de Manjaro propose donc la toute dernière et finale version 0.8.5 de Manjaro avec cet environnement, basé sur le fork de Gnome 3.6 par Linux Mint.
C'est désormais officiel, le projet Cinnarch est mort. Cinnarch, une distribution qui voulait mixer l'environnement Cinnamon de Linux Mint avec Arch Linux change de ton, et va arrêter son support pour cet environnement. Les développeurs devraient même renommer tout simplement ce projet, puisque rien que le nom de cette distribution ne voudra plus rien dire.
Une petite news pour les curieux qui veulent voir à quoi ressemble le gameplay de la prochaine version 3.8 de Gnome Shell. Concoctée par Alex Diavatis, sur base Fedora 19 qui, pour rappel, aura cette version à sa sortie, contrairement à Ubuntu 13.04 qui sortira avec la 3.6, on peut y voir de nombreuses nouvelles fonctionnalités qui commencent enfin à donner cette impression que cet environnement devient plus mature.
Canonical, dans sa logique, ne devrait plus trop s'attarder sur X11. Ils n'y auront plus intérêt et sans doute pas les moyens. Va-t-on voir apparaitre des saveurs d'Ubuntu non plus basées sur des environnements graphiques mais sur les serveurs graphiques ? Ça me paraitrait un peu dingue.