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INTEROPERABILITE
Pourquoi adopter une licence libre ?
Une licence libre vous permet de partager vos créations tout en conservant votre droit d'auteur. Pour cela, vous pouvez utiliser notamment les licences Creative Commons.
La licence Creative Commons BY vous permet de partager votre travail tout en préservant l'exigence parfaitement légitime de citation de l'auteur d'origine.
La clause SA (Share Alike) quant à elle, vous permet d'exiger que les versions dérivées soient publiées à leur tour sous licence libre. On parle alors de Copyleft. Votre travail peut ainsi bénéficier des contributions de chacun, l'inscrivant dans un cycle d'améliorations successives.
Pourquoi autoriser les versions modifiées ?
En autorisant les versions modifiées, vous permettez que votre travail soit adapté à des besoins spécifiques. Il peut s'agir par exemple d'une traduction ou d'une adaptation pour le rendre accessible à des personnes en situation de handicap.
Pourquoi autoriser les utilisations commerciales ?
La liberté est la meilleure protection contre une exploitation commerciale abusive. Il devient en effet impossible de bâtir un monopole sur la diffusion de la ressource dès lors que le public peut y accéder librement.
De plus, il est souvent difficile de déterminer avec certitude si une activité est ou n’est pas commerciale. En autorisant les utilisations commerciales, vous élargissez significativement l'écosystème dans lequel votre création pourra être diffusée, réutilisée et améliorée.
Une licence libre vous permet de partager vos créations tout en conservant votre droit d'auteur. Pour cela, vous pouvez utiliser notamment les licences Creative Commons.
La licence Creative Commons BY vous permet de partager votre travail tout en préservant l'exigence parfaitement légitime de citation de l'auteur d'origine.
La clause SA (Share Alike) quant à elle, vous permet d'exiger que les versions dérivées soient publiées à leur tour sous licence libre. On parle alors de Copyleft. Votre travail peut ainsi bénéficier des contributions de chacun, l'inscrivant dans un cycle d'améliorations successives.
Pourquoi autoriser les versions modifiées ?
En autorisant les versions modifiées, vous permettez que votre travail soit adapté à des besoins spécifiques. Il peut s'agir par exemple d'une traduction ou d'une adaptation pour le rendre accessible à des personnes en situation de handicap.
Pourquoi autoriser les utilisations commerciales ?
La liberté est la meilleure protection contre une exploitation commerciale abusive. Il devient en effet impossible de bâtir un monopole sur la diffusion de la ressource dès lors que le public peut y accéder librement.
De plus, il est souvent difficile de déterminer avec certitude si une activité est ou n’est pas commerciale. En autorisant les utilisations commerciales, vous élargissez significativement l'écosystème dans lequel votre création pourra être diffusée, réutilisée et améliorée.
On désigne par interopérabilité la possibilité d'échanger des fichiers, avec d'autres utilisateurs équipés de matériels ou de logiciels différents. Pour garantir l'interopérabilité il faut veiller à utiliser des formats de fichiers ouverts, c'est à dire dont les spécifications sont connues et accessibles à tous.
Qu’on les aime ou qu’on les déteste, les suites bureautiques se sont imposées ces derniers lustres comme indispensables dans le paysage logiciel. La suite numéro un, Microsoft Office, est devenue une référence et un incontournable. En langage courant, on ne parle plus de présentations ou de transparents, on dit tout simplement « un PowerPoint ».
Microsoft Office n’étant pas disponible sur les systèmes libres comme Linux, il est évident qu’une alternative viable se devait d’exister. Vous la connaissez certainement, il s’agit d’OpenOffice. Et, depuis quelques mois, on entend parler de LibreOffice. Mais n’est-ce pas juste un changement de nom ? Tout cela est un peu confus.
J’avais déjà tenté de faire une courte clarification. Essayons de voir en détail ce qu’il en est.
Microsoft Office n’étant pas disponible sur les systèmes libres comme Linux, il est évident qu’une alternative viable se devait d’exister. Vous la connaissez certainement, il s’agit d’OpenOffice. Et, depuis quelques mois, on entend parler de LibreOffice. Mais n’est-ce pas juste un changement de nom ? Tout cela est un peu confus.
J’avais déjà tenté de faire une courte clarification. Essayons de voir en détail ce qu’il en est.
Le rapport Biens Communs - La Prospérité par le Partage porte un regard résolument pluridisciplinaire sur la question des Biens Communs dont le logiciel libre est un éminent représentant. Véritable invitation au partage dans des domaines aussi variés que l'environnement, l'agriculture, l'urbanisme, la culture, la recherche scientifique, l'informatique, ce document de Silke Helfrich, Rainer Kuhlen, Wolfgang Sachs et Christian Siefkes est publié par la Fondation Heinrich Böll sous licence Creative Commons BY-SA et traduit de l'allemand avec le soutien de RITIMO.