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Propagande électorale, publication des résultats, silence imposé. Un certain nombre de règles sont prévues par le code électoral pour ce week-end du premier tour de l'élection présidentielle. Et elles concernent aussi Internet. On fait le point.
Soutenu par dix associations (1) œuvrant à la promotion des communs informationnels et à la libre diffusion du savoir, le collectif « Pour La Connaissance Libre » a adressé à chacun des candidats aux présidentielles, début mars 2017, une série de douze questions.
Les réponses devraient permettre d’offrir une grille de lecture aux électeurs sur la position des candidats sur le sujet de la libre diffusion de la connaissance.
Seules deux équipes de campagne ont pris le temps d’expliciter leur conception d’une « connaissance libre » dans une société informatisée
Les réponses devraient permettre d’offrir une grille de lecture aux électeurs sur la position des candidats sur le sujet de la libre diffusion de la connaissance.
Seules deux équipes de campagne ont pris le temps d’expliciter leur conception d’une « connaissance libre » dans une société informatisée
Soutenu par dix associations oeuvrant à la promotion des communs informationnels et à la libre diffusion du savoir, le collectif « Pour La Connaissance Libre » a adressé à chacun des candidats à l'élection présidentielle, début mars 2017, une série de douze questions. Les réponses devaient permettre d'offrir une grille de lecture aux électeurs sur la position des candidats sur le sujet de la libre diffusion de la connaissance. Seules deux équipes de campagne ont pris le temps de répondre.
Vous avez peut-être entendu parler de Mastodon, ce nouveau réseau social qui fait de la concurrence à Twitter. Ses avantages ? Une limite par post qui passe de 140 à 500 caractères et une approche orientée communauté et respect de l’autre là où Twitter a trop souvent été le terrain de cyber-harcèlements.
Mais une des particularités majeures de Mastodon est la décentralisation : ce n’est pas un seul et unique service appartenant à une entreprise mais bien un réseau, comme le mail.
Mais une des particularités majeures de Mastodon est la décentralisation : ce n’est pas un seul et unique service appartenant à une entreprise mais bien un réseau, comme le mail.
Nous vous avons récemment présenté la refonte de notre projet historique, l’annuaire de Framasoft. Comme tous nos outils, celui-ci n’aura de sens que si vous vous en emparez.
Voici le troisième et dernier tutoriel de cette série vous aider à découvrir, utiliser et participer à ce grand projet collaboratif. Cette semaine, on vous incite à participer à cet annuaire du Libre. En effet, comme une belle auberge espagnole (ou comme le 6e site web le plus visité au monde) : vous n’y trouverez que ce que vous y apporterez.
Voici le troisième et dernier tutoriel de cette série vous aider à découvrir, utiliser et participer à ce grand projet collaboratif. Cette semaine, on vous incite à participer à cet annuaire du Libre. En effet, comme une belle auberge espagnole (ou comme le 6e site web le plus visité au monde) : vous n’y trouverez que ce que vous y apporterez.
La mission Etalab a lancé en début de semaine un appel public à commentaires à propos de la nouvelle version de la Licence Ouverte / Open Licence (LO). Le collectif SavoirsCom1 salue cette démarche et incite tous les acteurs intéressés par le développement de l’Open Data en France à y contribuer.
Nous vous avons récemment présenté la refonte de notre projet historique, l’annuaire de Framasoft. Comme tous nos outils, celui-ci n’aura de sens que si vous vous en emparez.
Voici le deuxième tutoriel d’une série de trois pour vous aider à découvrir, utiliser et participer à ce grand projet collaboratif. Cette semaine, voyons comment pourquoi se créer un compte sur cet annuaire du Libre. Car si vous voulez tirer amplement parti de cet annuaire, nous vous recommandons fortement de vous créer un compte…
Voici le deuxième tutoriel d’une série de trois pour vous aider à découvrir, utiliser et participer à ce grand projet collaboratif. Cette semaine, voyons comment pourquoi se créer un compte sur cet annuaire du Libre. Car si vous voulez tirer amplement parti de cet annuaire, nous vous recommandons fortement de vous créer un compte…
Depuis toujours, la musique et les artistes sont liés à Internet... Internet est une immense salle de concert où chacun peut découvrir de nouveaux talents, et échanger avec ses artistes préférés, voire avec d'autres fans. Et pour les artistes, c'est pareil... Chacun peut se faire connaitre, faire découvrir sa musique, échanger avec son public, trouver d'autres musiciens, d'autres passionnés...etc.
Je ne pense pas qu'il existe sur la toile, un seul artiste qui n'ait pas, aussi petite soit-elle, une petite fanbase et des soutiens. Et depuis toujours, le rapport entre les artistes et le net a été très compliqué... Passé les premiers émois MySpace s'en est suivie une période très clivante à base de P2P. Certains artistes déjà bien installés étaient farouchement opposés à ces échanges libres et d'autres artistes plus modestes estimaient que la musique devait être gratuite et que cela contribuait indirectement à leur richesse en leur apportant de nouveaux fans, et en aidant à remplir les salles de concert.
Je ne pense pas qu'il existe sur la toile, un seul artiste qui n'ait pas, aussi petite soit-elle, une petite fanbase et des soutiens. Et depuis toujours, le rapport entre les artistes et le net a été très compliqué... Passé les premiers émois MySpace s'en est suivie une période très clivante à base de P2P. Certains artistes déjà bien installés étaient farouchement opposés à ces échanges libres et d'autres artistes plus modestes estimaient que la musique devait être gratuite et que cela contribuait indirectement à leur richesse en leur apportant de nouveaux fans, et en aidant à remplir les salles de concert.
Ariane Vitalis est une de ces jeunes qui se donne aujourd’hui les moyens de changer le monde. Elle véhicule à travers ses nombreux projets, de nombreux espoirs propres à une génération qui ignore encore beaucoup trop l’impact qu’elle aura sur le monde. Retour sur cette vision qui, dans un monde où il vaut mieux avoir le sens de l’humour et de la patience, fait un bien fou.
Mastodon est un nouveau réseau social qui reprend les codes et usages de Twitter et qui a connu un vif engouement ces derniers jours, sa particularité étant qu’il ne dépend pas d’une entreprise privée mais qu’il est dit décentralisé.
Quand j’ai vu le clone libre et décentralisé de Twitter débarquer, je me suis dit « Non, pas ça encore une fois. » Eh oui, parce qu’en 2012 j’avais déjà décidé de quitter Twitter et Facebook pour Tent, aussi décentralisé et aussi libre, et que tout le monde a vite oublié (comme identi.ca d’ailleurs).
Alors, pourquoi recommencer ? Par mimétisme sans doute (cette fois, une vague de fond se porte sur Mastodon), aussi parce que l’envie d’un autre web social reste forte chez chacun de nous.
Alors, pourquoi recommencer ? Par mimétisme sans doute (cette fois, une vague de fond se porte sur Mastodon), aussi parce que l’envie d’un autre web social reste forte chez chacun de nous.
Mastodon, le clone libre et décentralisé de Twitter, accueille des dizaines de milliers de nouveaux membres chaque jour. Notre réponse se devait d’être collective.
Un vent de liberté qui fait du bien !
Résumons les épisodes précédents : Twitter est un réseau social centralisé, les données que vous lui confiez appartiennent à (et vont sur les serveurs de) l’entreprise du même nom. On y « tweete » publiquement de courts messages de 140 caractères (avec photos, liens, etc.) pour partager de brèves nouvelles, impressions, etc. C’est souvent le lieu de l’info rapide, des échanges évanescents et des actualités brûlantes.
Or depuis plusieurs mois, Twitter se « Facebookise » de plus en plus : la plate-forme change unilatéralement ses règles du jeu, filtre et choisit l’ordre de ce qui apparaît dans votre fil, se gonfle de pubs, répond très mal aux demandes de modération et de lutte contre le cyber-harcèlement…
Un vent de liberté qui fait du bien !
Résumons les épisodes précédents : Twitter est un réseau social centralisé, les données que vous lui confiez appartiennent à (et vont sur les serveurs de) l’entreprise du même nom. On y « tweete » publiquement de courts messages de 140 caractères (avec photos, liens, etc.) pour partager de brèves nouvelles, impressions, etc. C’est souvent le lieu de l’info rapide, des échanges évanescents et des actualités brûlantes.
Or depuis plusieurs mois, Twitter se « Facebookise » de plus en plus : la plate-forme change unilatéralement ses règles du jeu, filtre et choisit l’ordre de ce qui apparaît dans votre fil, se gonfle de pubs, répond très mal aux demandes de modération et de lutte contre le cyber-harcèlement…
Un énorme buzz a vu le jour récemment, autour d’un potentiel « concurrent » sérieux au service Twitter : Mastodon. Ayant vu beaucoup de papiers et surtout d’énormes erreurs, voire d’abjectes conneries, j’ai décidé d’en parler ici pour vous expliquer, en détail, ce que c’est.
Une alternative à Twitter, libre et décentralisée, est en train de connaître un succès aussi spontané que jubilatoire…
Depuis que Twitter a changé la manière dont les réponses et conversations s’affichent, des utilisatrices et utilisateurs abondent par milliers sur cet autre réseau. Chacun·e cherche un endroit (une « instance ») où s’inscrire, surtout depuis que l’instance originelle, celle du développeur Eugen Rochko, n’accepte plus les inscriptions car le serveur est surchargé.
Alors avant que de vous annoncer des solutions dans les semaines (jours ?) qui arrivent, parce qu’elles prennent le temps de se mettre en place (mais disons qu’une bande de CHATONS est sur le coup), nous avions envie de vous présenter ce phénomène, ce réseau social et ce logiciel qu’est Mastodon.
Depuis que Twitter a changé la manière dont les réponses et conversations s’affichent, des utilisatrices et utilisateurs abondent par milliers sur cet autre réseau. Chacun·e cherche un endroit (une « instance ») où s’inscrire, surtout depuis que l’instance originelle, celle du développeur Eugen Rochko, n’accepte plus les inscriptions car le serveur est surchargé.
Alors avant que de vous annoncer des solutions dans les semaines (jours ?) qui arrivent, parce qu’elles prennent le temps de se mettre en place (mais disons qu’une bande de CHATONS est sur le coup), nous avions envie de vous présenter ce phénomène, ce réseau social et ce logiciel qu’est Mastodon.
Vous n'avez pas bien saisi le principe de Mastodon ? Pas de problème : voici un guide sous la forme d'une FAQ qui devrait vous permettre d'y voir plus clair avant de nous rejoindre.
Depuis quelques mois, le Collectif SavoirsCom1 mène un chantier de Bibliographie collaborative des Communs dans le but de créer une « Communauthèque », ou un fonds de référence sur les Communs. Cette bibliographie est accessible en mode collaboratif et vous pouvez d’ores et déjà participer à son enrichissement (voir ce groupe Zotero).
Depuis quelques jours, je reçois des tas de messages de gens qui me demandent d'aller jeter un oeil à Mastodon, un nouveau clone de Twitter...
Mastodon.social ressemble tant à Twitter que l'on pourrait se croire en train de naviguer sur le réseau social au petit oiseau bleu. Pourtant, des éléments de taille séparent ce nouveau réseau de son concurrent : il est totalement libre, open source et décentralisé.
De simples citoyens ont-ils un rôle à jouer dans les sciences, où ils sont pour l’instant contingentés au mieux à des fonctions subalternes ?
On voit d’ici se lever d’inquiets sourcils à l’énoncé du simple terme de science citoyenne, tant la communauté scientifique se vit comme distincte de l’ensemble du corps social par ses missions, ses méthodes et son éthique. Pourtant un certain nombre d’expériences, de projets et même de réalisations montrent que la recherche scientifique universitaire peut tirer un profit important de sa collaboration avec les citoyens motivés, lesquels en retour élèveront leur niveau de connaissances tout en ayant un droit de regard sur la recherche.
Réconcilier citoyens et universitaires scientifiques, longtemps une utopie, est rendu aujourd’hui possible par des objets technologiques désormais beaucoup plus accessibles à chacun.
On voit d’ici se lever d’inquiets sourcils à l’énoncé du simple terme de science citoyenne, tant la communauté scientifique se vit comme distincte de l’ensemble du corps social par ses missions, ses méthodes et son éthique. Pourtant un certain nombre d’expériences, de projets et même de réalisations montrent que la recherche scientifique universitaire peut tirer un profit important de sa collaboration avec les citoyens motivés, lesquels en retour élèveront leur niveau de connaissances tout en ayant un droit de regard sur la recherche.
Réconcilier citoyens et universitaires scientifiques, longtemps une utopie, est rendu aujourd’hui possible par des objets technologiques désormais beaucoup plus accessibles à chacun.
Pendant que vous cherchez la contrepèterie dans ce titre purement factuel, on vous explique : Sympa, c’est le logiciel qui nous permet de gérer Framalistes, un des services de notre modeste plan de libération du monde© !
Marc Chantreux a lancé une invitation à tous les fans de Sympa (eh oui, ils sont sympas, on va se débarrasser de ça tout de suite) pour le rejoindre dans un grand hackathon à Strasbourg le week-end du premier avril 2017.
C’est super, mais… c’est quoi ?
Marc Chantreux a lancé une invitation à tous les fans de Sympa (eh oui, ils sont sympas, on va se débarrasser de ça tout de suite) pour le rejoindre dans un grand hackathon à Strasbourg le week-end du premier avril 2017.
C’est super, mais… c’est quoi ?