14046 shaares
Après avoir supprimé mes comptes chez Twitter et Instagram, c’est décidé, je quitte aussi Facebook pour de bon. J’y avais jusqu’ici gardé un profil privé, histoire de rester en contact avec mes « vrais » amis, mais non, le besoin de cohérence est plus fort. C’est officiel : dès ce soir, je ne serai plus présent sur les réseaux sociaux.
Ce qui est quand même fou — et en partie la cause de mon départ —, c’est que Facebook a réussi à modifier durablement la manière dont nous entretenons des relations avec nos proches. Nous avons laissé une entreprise américaine aux visées douteuses s’insinuer dans nos têtes, jusqu’à devenir une part de nous de laquelle nous sommes désormais dépendants, au même titre d’un organe. Au point, accrochez-vous, qu’on en viendrait presque à faire ses adieux à un ami de longue date parce qu’il n’est plus sur Facebook. Oui, les réseaux sociaux, c’est la facilité.
Ce qui est quand même fou — et en partie la cause de mon départ —, c’est que Facebook a réussi à modifier durablement la manière dont nous entretenons des relations avec nos proches. Nous avons laissé une entreprise américaine aux visées douteuses s’insinuer dans nos têtes, jusqu’à devenir une part de nous de laquelle nous sommes désormais dépendants, au même titre d’un organe. Au point, accrochez-vous, qu’on en viendrait presque à faire ses adieux à un ami de longue date parce qu’il n’est plus sur Facebook. Oui, les réseaux sociaux, c’est la facilité.