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Google News Lab et FirstDraft réunissent sous un seul drapeau une trentaine de médias français et internationaux pour lutter contre la désinformation. Cette alliance entre les rédactions vise à vérifier les sources d'articles signalés par les internautes et à démonter les rumeurs présentes sur le web.
A l’heure de la post vérité, des fake news, de l’élection de Trump, du décodex et d’autres initiatives prises pour réguler ces phénomènes, il nous a semblé nécessaire de réaliser cette vidéo afin de vous donner une autre analyse de ces phénomènes. Car les dérives potentielles de ces initiatives sont inquiétantes et nécessitent donc que les citoyens s’emparent pleinement de ce sujet.
Pour cette fois-ci, il n’y aura pas de longue démonstration écrite, tout est expliqué dans cette vidéo.
Bon visionnage
Pour cette fois-ci, il n’y aura pas de longue démonstration écrite, tout est expliqué dans cette vidéo.
Bon visionnage
Savoir de quoi l’on parle… Lorsqu’on évoque la possibilité d’un humain augmenté, on se réfère généralement à une addition de performances humaines et machiniques (dans le prolongement de la figure du cyborg popularisée par la science-fiction). Mais augmenté par rapport à quoi ? À quelles valeurs de références et selon quels critères ? Comment mesure-t-on, par exemple, le bonheur ? La bonne vie ? les sensations, comme les odeurs, le toucher, qui nous relient au monde ? Le plaisir qu’on éprouve à travailler ? Toutes ces dimensions qui font que la vie vaut la peine d’être vécue. Attention ici de ne pas céder à la magie du chiffre. Le plus peut cacher un moins ; un gain dissimuler des pertes, difficilement identifiables car non mesurables et non quantifiables.
Un nouvel « Entretien autour de l’informatique ». Serge Abiteboul et Claire Mathieu interviewent Hélène Dessales, Maître de conférences en archéologie à l’École Normale Supérieure, Paris. Hélène Dessales est notamment spécialiste de la distribution de l’eau dans l’architecture domestique de l’Occident romain. Elle nous explique comment l’informatique est en train de révolutionner l’archéologie. Cet article est publié en collaboration avec le blog Binaire.
Dans ses vœux pour 2017, la Confédération générale des SCOP vise les 70 000 emplois. Avec l’engouement actuel pour les nouvelles formes d’économie collaborative, le secteur coopératif paraît avoir le vent en poupe. En 2015, 2 855 SCOP employaient 51 500 salariés. L’ampleur du phénomène ne peut donc être ignorée. Mais qu’en est-il des forces et faiblesses de ce domaine d’activité si particulier ?
Intervenant dans un débat en ligne du New York Times autour des enjeux de l’IA, Joi Ito (@joi), le directeur du Media Lab du MIT, expliquait que même très bien intentionné, l’usage des technologies peut mal tourner. « La majeure partie de la recherche en IA se concentre sur l’apprentissage profond : des ingénieurs « entraînent » des machines pour augmenter l’intelligence collective de nos gouvernements, de nos marchés et de nos sociétés ». Pour lui, plus que d’intelligence artificielle (IA), on devrait parler d’intelligence étendue (IE) pour évoquer cette forme appelée à devenir dominante de l’IA. Les algorithmes qui façonnent l’IE sont entraînés par des humains et peuvent de ce fait propager les mêmes biais qui ruinent la société, les perpétuant sous couvert de « machines intelligentes », à l’image des biais qui affectent les systèmes de police prédictive.
La radicalisation peut commencer très tôt chez les jeunes. Pour éviter cette fermeture des esprits et la fin du dialogue, l’éducation aux médias est un levier pour la fraternité et l’intelligence. Face à la submersion des informations produites par la numérisation et la connexion des réseaux humains et digitaux, nous sommes aujourd’hui face à un enjeu révolutionnaire « Comment identifier et dire la vérité ».
De Trump à Soral, de Daech à Dieudonné, la réalité est aujourd’hui contestée, outragée, modifiée par des théories complotistes et alternatives que nous devons d’abord combattre à l’école par une éducation aux médias offensive. Il est donc essentiel de repenser l’éducation aux médias et de construire les nouvelles formes d’info-apprendre de demain.
La fin de l’information ?
De Trump à Soral, de Daech à Dieudonné, la réalité est aujourd’hui contestée, outragée, modifiée par des théories complotistes et alternatives que nous devons d’abord combattre à l’école par une éducation aux médias offensive. Il est donc essentiel de repenser l’éducation aux médias et de construire les nouvelles formes d’info-apprendre de demain.
La fin de l’information ?
Il y a du nouveau sur le front du seul ordinateur quantique commercialement disponible, le très controversé D-Wave. Tout d’abord, la société a sorti un nouveau modèle, le 2000Q qui contient pas moins de 2000 qubits… Et annonce déjà la mise au point d’un prochain système possédant 4000 qubits. Autre nouveauté, D-Wave met en open source un outil pour développer des applications quantiques, Qbsolv. Faut-il croire que l’informatique quantique est en train d’atteindre la maturité ? Les controverses autour de D-Wave, qui durent maintenant depuis des années, sont-elles closes ?
En 2008, un inconnu du nom de Satoshi Nakamoto publie un livre blanc intitulé « Bitcoin : A Peer-to-peer Electronic Cash System ». Personne ne sait aujourd’hui qui est Satoshi Nakamoto, ni quelle organisation se cache derrière ce pseudonyme, mais peu importe : le système de paiement électronique dont il est question est remarquable à plus d’un titre. Il fonctionne très bien, et ce de manière tout à fait autonome, sans surveillance ni contrôle de qui que ce soit.
Nos systèmes démocratiques sont entrés dans un âge de totale imprévisibilité. Tout semble possible. Le Brexit l’a emporté, Trump l’a emporté, Le Pen pourrait l’emporter, ou bien Macron, ou même Fillon malgré ses casseroles. Cette imprévisibilité devrait me réjouir. Elle indique que la complexité de nos sociétés augmente, notamment sous l’effet des réseaux sociaux, et du Net en général. Et davantage de complexité, c’est mécaniquement moins de coercition, donc davantage de liberté. Mais, bien sûr, la réaction se fait immédiatement sentir, d’où le Brexit, Trump, peut-être Le Pen.
La complexité et l’imprévisibilité n’ont pas pour vertu d’être rassurantes. Plus rien n’est écrit, l’avenir se brouille, c’est le prix à payer quand des citoyens libres cohabitent, avec le risque qu’ils se saisissent de leur liberté pour réagir comme un seul homme, ce qui démontrerait qu’ils n’étaient pas libres, car la liberté implique la pluralité des opinions.
La complexité et l’imprévisibilité n’ont pas pour vertu d’être rassurantes. Plus rien n’est écrit, l’avenir se brouille, c’est le prix à payer quand des citoyens libres cohabitent, avec le risque qu’ils se saisissent de leur liberté pour réagir comme un seul homme, ce qui démontrerait qu’ils n’étaient pas libres, car la liberté implique la pluralité des opinions.
L’actualité récente regorge de fausses informations, de rumeurs, de « faits alternatifs » ou de désinformation pure et simple. Le défi est double : d’une part arriver à suivre le rythme de l’information diffusée par de plus en plus de canaux et d’intermédiaires, les médias ; d’autre part, réussir à vérifier l’information diffusée pour s’assurer de son exactitude ou objectivité. La nature même des médias, eux-mêmes confrontés aux défis ci-dessus, est d’assurer un droit du public à une information de qualité, complète, libre, indépendante et pluraliste.
Les innovations et les expérimentations éducatives sont sans doute aussi anciennes que l’école. Des nombreux collectifs réfléchissent actuellement en France autour de ces sujets, souvent, sans avoir de contact entre eux. Récemment, la ministre de l’Éducation nationale a sollicité le directeur du Centre de Recherches Interdisciplinaires, le biologiste François Taddei, pour conduire une consultation sur l’innovation dans l’apprentissage tout au long de la vie, de la petite enfance jusqu’à la formation continue. Cette consultation est ouverte au public sur la plateforme apprendredemain.fr.
Le Grand Soir, toujours à l’écoute de ses lecteurs (réguliers, occasionnels ou accidentels) vous offre le DECODEX ALTERNATIF, un vrai DECODEX rédigé par de vrais gens dotés d’une véritable expérience. Ces analyses ne sont basées ni sur une vague impression après un survol rapide, ni sur un coup de fil à « Conspiracywatch », mais sur l’expérience de militants/bénévoles chevronnés de « l’information alternative ».
Sur son blog, le graphiste et directeur artistique Julien Dubedout, liste les raisons qui expliquent pourquoi le design et l’open source font rarement bon ménage, c’est-à-dire, pour le faire simple, pourquoi les projets open source sont moches et peu ergonomiques en terme d’interfaces utilisateurs.
Nul n’est prophète en son pays. On peut décrire l’avenir du travail et être décrié pour avoir dépeint un nouvel éloge de la paresse. On peut parler du futur et être réduit à la ringardise. Enfin, on peut développer une vision de ce que sera le travail et être condamné à venir se fracasser sur le mur du réel et du marché. Bref, tout projet relatif au travail dont le centre de gravité ne serait pas l’emploi au sens classique fleurerait bon l’utopie. Les Français ont besoin de travail, pas de promesses, pas d’un idéal démagogique. Peut-être. Sûrement même. Et alors ?
On raconte que, dissimulée dans les profondeurs abyssales d’Internet, se trouverait une légendaire cité, un lieu hors l’Espace et le Temps et donc accessible uniquement aux pratiquants de la magie noire heureux possesseurs d’un ordinateur quantique. Il s’agirait d’un obscur territoire, contrôlé par un gouvernement et théâtre de ses noires machinations (sinon c’est pas drôle) : le Marianas Web.
Bien évidemment c’est du flan, mais blagounette ou conspirationnite aigüe, on voit de temps en temps resurgir cette « information » qui provoque à coup sûr l’hilarité sur les réseaux sociaux. Ce Marianas Web est l’excroissance la plus caricaturale d’une théorie malheureusement fort populaire, celle d’un Web (ou d’un Internet, tout ça est assez confus) scindé en différentes zones.
Bien évidemment c’est du flan, mais blagounette ou conspirationnite aigüe, on voit de temps en temps resurgir cette « information » qui provoque à coup sûr l’hilarité sur les réseaux sociaux. Ce Marianas Web est l’excroissance la plus caricaturale d’une théorie malheureusement fort populaire, celle d’un Web (ou d’un Internet, tout ça est assez confus) scindé en différentes zones.
L’affaire Fillon soulève, au-delà de l’indignation ou de la colère qu’elle peut légitimement susciter y compris au sein même des Républicains, une question de fond relative à la relation de confiance que les Français entretiennent avec leur personnel politique. Elle s’inscrit en effet sur le registre d’une dénonciation commune de la « malhonnêteté » voire de la « corruption » du personnel politique en France.
Depuis que le journal « Le Monde » a sorti, via les décodeurs, son outil de vérification des sources, appelé Décodex, une petite crise a démarré sur le rôle que joue Le Monde dans la validation de l’information. Alors, journal ? Organe de validation de l’information ? Censeur ? Je vous donne mon avis sur la question.
Le décodex, qu’est-ce que c’est ?
Le décodex, qu’est-ce que c’est ?
C’est dans une indifférence médiatique presque totale que le Ministère de la culture a publié en septembre dernier une enquête sur les représentations de la culture. Pour la première fois, la question de la perception de la culture était soumise aux destinataires des politiques publiques de la culture. On peut bien sûr y déceler le signe d’un trouble dans le rapport du ministère à sa mission ainsi que celui d’un affaiblissement de la verticalité de l’action publique en matière de culture.
Autour de moi, nombreux sont ceux qui s’indignent sur les différentes injustices, sur la malhonnêteté flagrante et indiscutable des politiciens qui nous gouvernent. Et de s’interroger : « Comment se fait-il qu’on tolère ça ? Pourquoi n’y a-t-il pas de révolutions ? »
La réponse est simple : car nous avons trop à perdre.
Depuis la corruption à peine voilée et bien connue de nos dirigeants aux injustices inhumaines de notre système, nous dénonçons mais n’agissons pas.
Nous avons peur de perdre…
La réponse est simple : car nous avons trop à perdre.
Depuis la corruption à peine voilée et bien connue de nos dirigeants aux injustices inhumaines de notre système, nous dénonçons mais n’agissons pas.
Nous avons peur de perdre…