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LANCEURSD'ALERTE
Jacob Appelbaum est entre autres le fondateur du projet Tor, un réseau permettant de naviguer sur Internet de manière anonyme. Il en fait mention dans cette conférence inaugurale prononcée l’an dernier au congrès du Chaos Communication Congress, mais aussi des sérieux ennuis qu’il a eus avec les autorités américaines depuis un moment en particulier à cause de ses liens avec Julian Assange et Wikileaks. Pour en savoir plus à ce sujet, parcourez l’excellent livre d’entretiens auquel il participe : Cypherpunks (pour la version française, cherchez chez Jérémie Zimmermann, autre participant).
Il nous parle ici surtout de l’évolution de l’état de surveillance, ainsi que du dernier projet de la NSA à Bluffdale, et ce que nous pouvons faire, et pourquoi cela nous regarde, d’où le titre original «Not my Department» qui peut se traduire par « pas mes oignons ». C’est tout le contraire dont il veut nous convaincre, tant l’urgence d’une action contre la surveillance généralisée lui semble s’imposer. Que Jacob Appelbaum ait été choisi pour inaugurer le Chaos Communication Congress ne doit certainement rien au hasard.
Il nous parle ici surtout de l’évolution de l’état de surveillance, ainsi que du dernier projet de la NSA à Bluffdale, et ce que nous pouvons faire, et pourquoi cela nous regarde, d’où le titre original «Not my Department» qui peut se traduire par « pas mes oignons ». C’est tout le contraire dont il veut nous convaincre, tant l’urgence d’une action contre la surveillance généralisée lui semble s’imposer. Que Jacob Appelbaum ait été choisi pour inaugurer le Chaos Communication Congress ne doit certainement rien au hasard.
Wikileaks est toujours dans la course, malgré les déboires de son porte-parole. Réfugié dans l'ambassade d'Équateur à Londres, Julian Assange assure que le site lanceur d'alerte a encore beaucoup de choses à révéler. Pour l'an prochain, l'Australien annonce en effet la publication d'un million de documents.
Silicon Maniacs et l’Atelier des Médias RFI vous invitent ce lundi 20 décembre à La Cantine à une soirée consacrée à l’avalanche Wikileaks et à la notion de transparence. A partir de 19H.
Le monde a-t-il changé depuis la publication des Statelogs ? Au delà de la tempête médiatique, des condamnations politiques, des censures, de l’arrestation de Julian Assange ou des attaques de hackers, la publication de ces centaines de milliers de documents interroge nos organisations sociales.
Les nouvelles technologies ont-elles modifié notre rapport à l’information, au secret, à la transparence? Pour tenter d’en savoir plus et commencer à réfléchir à l’après, Silicon Maniacs et l’Atelier des Médias RFI vous convient à une soirée de débats et d’idées.
L’évènement se tiendra donc Lundi 20 Décembre 2010 à partir de 19h
Le monde a-t-il changé depuis la publication des Statelogs ? Au delà de la tempête médiatique, des condamnations politiques, des censures, de l’arrestation de Julian Assange ou des attaques de hackers, la publication de ces centaines de milliers de documents interroge nos organisations sociales.
Les nouvelles technologies ont-elles modifié notre rapport à l’information, au secret, à la transparence? Pour tenter d’en savoir plus et commencer à réfléchir à l’après, Silicon Maniacs et l’Atelier des Médias RFI vous convient à une soirée de débats et d’idées.
L’évènement se tiendra donc Lundi 20 Décembre 2010 à partir de 19h
L’excellent quotidien d’information britannique The Guardian (que nous traduisons souvent ici) a récemment proposé une liste restreinte et subjective de vingt « fighters for Internet freedom ».
Stallman, Torvalds, Wales, Lessig, Assange, Sunde, Berners-Lee, Anonymous… Il y en a que nous connaissons bien ici. D’autres moins, mais c’est l’occasion de les découvrir.
Certains lecteurs regrettent ainsi par exemple l’absence de Cory Doctorow, Eben Moglen ou Mitchell Baker.
Qu’en pensez-vous ? Qui rajouteriez-vous ? Et pourquoi aucun français ni francophone ?
D’ailleurs s’il fallait faire une liste nationale vous choisiriez qui ?
(Petite liste alphabétique qui s’édite en fonction des commentaires : Philippe Aigrain, Jean-Pierre Archambault, Benjamin Bayart, Stéphane Bortzmeyer, Guillaume Champeau, Frédéric Couchet, Laurent Chemla, Loïc Dachary, Florence Dévouart, François Elie, Fabrice Epelboin, Roberto Di Cosmo, Christophe Espern, Sam Hocevar, Antoine Moreau, Tristan Nitot, Valentin Lacambre, Bernard Lang, Olivier Laurelli, Jean-Marc Manach, Jean Peyratout, Bernard Stiegler, Thierry Stoehr, Jérémie Zimmermann…)
Un billet à rapprocher de celui qui rendait hommage à quelques figures marquantes du monde du Libre : Sur la place des grands hommes du logiciel libre.
Top 20 du Guardian : ceux qui se battent pour un Internet libre
Stallman, Torvalds, Wales, Lessig, Assange, Sunde, Berners-Lee, Anonymous… Il y en a que nous connaissons bien ici. D’autres moins, mais c’est l’occasion de les découvrir.
Certains lecteurs regrettent ainsi par exemple l’absence de Cory Doctorow, Eben Moglen ou Mitchell Baker.
Qu’en pensez-vous ? Qui rajouteriez-vous ? Et pourquoi aucun français ni francophone ?
D’ailleurs s’il fallait faire une liste nationale vous choisiriez qui ?
(Petite liste alphabétique qui s’édite en fonction des commentaires : Philippe Aigrain, Jean-Pierre Archambault, Benjamin Bayart, Stéphane Bortzmeyer, Guillaume Champeau, Frédéric Couchet, Laurent Chemla, Loïc Dachary, Florence Dévouart, François Elie, Fabrice Epelboin, Roberto Di Cosmo, Christophe Espern, Sam Hocevar, Antoine Moreau, Tristan Nitot, Valentin Lacambre, Bernard Lang, Olivier Laurelli, Jean-Marc Manach, Jean Peyratout, Bernard Stiegler, Thierry Stoehr, Jérémie Zimmermann…)
Un billet à rapprocher de celui qui rendait hommage à quelques figures marquantes du monde du Libre : Sur la place des grands hommes du logiciel libre.
Top 20 du Guardian : ceux qui se battent pour un Internet libre