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MUSIQUELIBRE
LA PARISIENNE LIBÉRÉE
chansons sur l’actualité sociale, environnementale et politique
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Nous vous avons déjà parlé de l’exemplaire et pionnier projet Open Goldberg Variations qui consiste, par financement participatif à libérer de la musique classique en plaçant le tout (enregistrements et partitions) directement dans le domaine public :
L’un des plus beaux projets qui soit : libérer la musique tout en aidant les malvoyants
Lettre ouverte d’une musicienne aveugle
Deux campagnes Kickstarter ont été menées avec succès. Nous avions déjà Les Variations Goldberg de Bach, et nous aurons bientôt Le Clavier Bien Tempéré à disposition (avec donc même des partitions en braille).
Le journal The Seattle Star a rencontré Robert Douglass, à l’initiative du projet, dans une interview que nous vous proposons traduite ci-dessous.
L’un des plus beaux projets qui soit : libérer la musique tout en aidant les malvoyants
Lettre ouverte d’une musicienne aveugle
Deux campagnes Kickstarter ont été menées avec succès. Nous avions déjà Les Variations Goldberg de Bach, et nous aurons bientôt Le Clavier Bien Tempéré à disposition (avec donc même des partitions en braille).
Le journal The Seattle Star a rencontré Robert Douglass, à l’initiative du projet, dans une interview que nous vous proposons traduite ci-dessous.
Lors de ma conférence « Mes romans ont choisi d’être libres » au Capitole du Libre de 2013, Jérémie Zimmermann a posé la première question, sous forme de provocation. En gros, il évoque le fait que la culture et l’art sont — fondamentalement — libres depuis toujours, quelles que soient les lois ou les licences.
Tout en croyant qu’il faut sortir de l’omnicopyright (qui a prouvé son inefficacité à nourrir les artistes ou à financer la création à proprement parler), je suis on ne peut plus d’accord avec Jérémy. La plupart des artistes que je connais et aime (comédiens, chanteuses, auteurs, compositrices, etc…) sont libristes sans le savoir.
Hier, j’ai assisté à une expérience d’art libre. De l’art libre sous monopole du copyright, créé sur un Mac, diffusé sur une appli web non open-source (Howl)… ça fait bizarre, hein ? Et pourtant.
Pendant plus de six heures, le chanteur-rappeur Syrano a créé une chanson devant et avec le public qui le suit (sur Facebook). Six heures à expliquer, demander, échanger, chercher, et partager son processus créatif sans la moindre restriction.
On a utilisé un Framapad pour suivre l’évolution des paroles, Wikipédia pour trouver des infos sur les bourreaux au moyen-âge, des banques de sons libres, etc. Et nous avons vu un couplet et un refrain se créer sous nos yeux ébahis et dans nos oreilles ébaubies. La première moitié du travail a été accomplie, et elle s’écoute ici :
Tout en croyant qu’il faut sortir de l’omnicopyright (qui a prouvé son inefficacité à nourrir les artistes ou à financer la création à proprement parler), je suis on ne peut plus d’accord avec Jérémy. La plupart des artistes que je connais et aime (comédiens, chanteuses, auteurs, compositrices, etc…) sont libristes sans le savoir.
Hier, j’ai assisté à une expérience d’art libre. De l’art libre sous monopole du copyright, créé sur un Mac, diffusé sur une appli web non open-source (Howl)… ça fait bizarre, hein ? Et pourtant.
Pendant plus de six heures, le chanteur-rappeur Syrano a créé une chanson devant et avec le public qui le suit (sur Facebook). Six heures à expliquer, demander, échanger, chercher, et partager son processus créatif sans la moindre restriction.
On a utilisé un Framapad pour suivre l’évolution des paroles, Wikipédia pour trouver des infos sur les bourreaux au moyen-âge, des banques de sons libres, etc. Et nous avons vu un couplet et un refrain se créer sous nos yeux ébahis et dans nos oreilles ébaubies. La première moitié du travail a été accomplie, et elle s’écoute ici :
L’année dernière, nous avions pris de bonnes résolutions. La sortie de la V3, des projets comme s’il en pleuvait… Cette année, les projets sont toujours là, mais compte tenue de la difficulté que nous avons eu à sortir la V3, beaucoup de choses sont restées en suspens. Le site évolue et nous écoutons les personnes qui souhaitent bien investir un peu de leur temps et de leurs dons pour soutenir le site. Ainsi en cette année 2014 qui commence vous avez accès d’ors et déjà à une nouvelle interface, plus graphique, plus claire, prémices de nombreux autres changements. Le forum va aussi être remanié.
Et cerise sur le gâteau, toutes les archives du site ancien (V2.5) sont de nouveau disponibles !
http://www.musique-libre.org/dogma/
Avec un classement par pays, nom, et date d’inscription, des filtres à droite afin de mieux trouver ce que vous cherchez… nous espérons que cette partie du site, une photographie d’archive de toute l’activité musicale de Dogmazic de 2004 à 2012, vous permettra de retrouver les groupes que vous souhaitiez retrouver. NB : le player n’est pas fonctionnel avec cette partie du site, mais tous les morceaux sont téléchargeables.
Bonne année, bonne santé et faisons progresser les cultures libres ensemble !
Et cerise sur le gâteau, toutes les archives du site ancien (V2.5) sont de nouveau disponibles !
http://www.musique-libre.org/dogma/
Avec un classement par pays, nom, et date d’inscription, des filtres à droite afin de mieux trouver ce que vous cherchez… nous espérons que cette partie du site, une photographie d’archive de toute l’activité musicale de Dogmazic de 2004 à 2012, vous permettra de retrouver les groupes que vous souhaitiez retrouver. NB : le player n’est pas fonctionnel avec cette partie du site, mais tous les morceaux sont téléchargeables.
Bonne année, bonne santé et faisons progresser les cultures libres ensemble !
Devenu officiellement un standard libre et open-source en septembre 2012, le trop méconnu codec audio Opus bénéficie d'une mise à jour en version 1.1, publiée jeudi. Selon la liste très détaillée des modifications apportées, Opus 1.1 apporte une qualité audio encore renforcée pour les bit-rate variables, une détection automatique du type de contenu audio pour optimiser l'encodage (voix ou musique), une meilleure gestion du son surround, et diverses optimisations de vitesse d'encodage et décodage, en particulier pour les processeurs ARM.
Robert Douglas et sa femme pianiste Kimiko Ishizaka sont à l’initiative d’un magnifique projet : libérer la musique classique pour la mettre directement dans le domaine public (enregistrements et partitions).
En effet, même si les auteurs sont généralement depuis longtemps dans le domaine public, les enregistrements eux ne le sont pas et sont soumis au strict copyright (idem pour les partitions qui appartiennent à leurs éditeurs).
Je vous invite à parcourir l’article Wikipédia Open Goldberg Variations pour en savoir plus. Une première campagne a été menée avec succès en 2012 pour y enregistrer les Variations Goldberg de Johann Sebastian Bach. Et le résultat est là : des enregistrement (en haute qualité et pas seulement en mp3) et des partitions mis à la disposition de tous.
On notera que cette campagne a été financée par crowdfunding (financement participatif). Nous sommes de plus en plus nombreux à adhérer à cette idée : payer une fois pour que ce soit directement mis dans le pot des biens communs.
Si vous voulez écouter Kimiko Ishizaka jouer du Bach, je vous invite à voir cette vidéo YouTube réalisée cet été lors du festival OHM. Détente garantie…
Or une seconde campagne vient de démarrer, toujours sur le même modèle et toujours Bach : l’enregistrement du Clavier bien tempéré. Cette campagne s’appelle subtilement Ba©h to Bach
Cette campagne est elle aussi déjà couronnée de succès puisque la somme (non négligeable) à atteindre vient d’être dépassée. Mais le projet veut aller plus loin. en direction de l’accessibilité et des malvoyants, et ce grâce aux logiciels libres. Il nous explique cela ci-dessous et vous invite à continuer à participer financièrement à la campagne si vous jugez que cela le mérite.
Ce projet exemplaire a tout notre soutien et démontre une fois de plus qu’ensemble nous pouvons déplacer des montagnes et agir pour un monde meilleur…
En effet, même si les auteurs sont généralement depuis longtemps dans le domaine public, les enregistrements eux ne le sont pas et sont soumis au strict copyright (idem pour les partitions qui appartiennent à leurs éditeurs).
Je vous invite à parcourir l’article Wikipédia Open Goldberg Variations pour en savoir plus. Une première campagne a été menée avec succès en 2012 pour y enregistrer les Variations Goldberg de Johann Sebastian Bach. Et le résultat est là : des enregistrement (en haute qualité et pas seulement en mp3) et des partitions mis à la disposition de tous.
On notera que cette campagne a été financée par crowdfunding (financement participatif). Nous sommes de plus en plus nombreux à adhérer à cette idée : payer une fois pour que ce soit directement mis dans le pot des biens communs.
Si vous voulez écouter Kimiko Ishizaka jouer du Bach, je vous invite à voir cette vidéo YouTube réalisée cet été lors du festival OHM. Détente garantie…
Or une seconde campagne vient de démarrer, toujours sur le même modèle et toujours Bach : l’enregistrement du Clavier bien tempéré. Cette campagne s’appelle subtilement Ba©h to Bach
Cette campagne est elle aussi déjà couronnée de succès puisque la somme (non négligeable) à atteindre vient d’être dépassée. Mais le projet veut aller plus loin. en direction de l’accessibilité et des malvoyants, et ce grâce aux logiciels libres. Il nous explique cela ci-dessous et vous invite à continuer à participer financièrement à la campagne si vous jugez que cela le mérite.
Ce projet exemplaire a tout notre soutien et démontre une fois de plus qu’ensemble nous pouvons déplacer des montagnes et agir pour un monde meilleur…
Sur YouTube, de nombreuses vidéos font appel aux chansons des maisons de disques. Bien souvent, cette utilisation n'est pas autorisée et les majors demandent à la plateforme américaine de couper la bande son. Afin de fournir alternative aux internautes et éviter de laisser une vidéo sans piste musicale, YouTube lance une bibliothèque regroupant des morceaux de musique.
MusOpen est, comme écrit sur leur site web, une association à but non lucratif qui œuvre à rendre accessible la musique en créant des ressources libres et du matériel pédagogique, fournir des enregistrements, partitions et manuels scolaires, sans restriction de droit d'auteur.
En quelques mots, leur mission est de libérer la musique.
Là où MusOpen s'illustre particulièrement, c'est dans l'enregistrement et la publication d'interprétation libre d'œuvre musicale, en prenant les moyens nécessaires à une qualité exigeante.
Et le nouveau projet de MusOpen, c'est d'enregistrer l'œuvre de Frédéric Chopin, tout Frédéric Chopin !
En quelques mots, leur mission est de libérer la musique.
Là où MusOpen s'illustre particulièrement, c'est dans l'enregistrement et la publication d'interprétation libre d'œuvre musicale, en prenant les moyens nécessaires à une qualité exigeante.
Et le nouveau projet de MusOpen, c'est d'enregistrer l'œuvre de Frédéric Chopin, tout Frédéric Chopin !
La Sacem a choisi de prolonger son expérience-pilote sur les licences Creative Commons. Cependant, Jamendo s'interroge sur les motivations réelles de la société de gestion des droits d'auteur. Car ce pas en direction de ces licences est en réalité très limité.
La Sacem annonce qu'elle prolonge jusqu'en juin 2015 l'expérience-pilote par laquelle elle autorise ses membres à diffuser leurs musiques sous licence Creative Commons, dans des conditions toutefois très restrictives.
Le professeur Lawrence Lessig, connu pour avoir inventé les licences Creative Commons et être l'un des experts les plus reconnus du droit d'auteur sur Internet, a porté plainte contre le label Liberation Music. Celui-ci avait demandé à YouTube de supprimer une conférence de Lessig, au motif qu'il y montrait quelques clips amateurs réalisés avec la chanson Listzomania du groupe versaillais Phoenix.
Michael Tiemann est vice-président de Red Hat mais il est aussi impliqué dans un ambitieux projet autour de la musique, The Miraverse qui propose notamment un studio d’enregistrement (fonctionnant, en toute logique, à l’aide de logiciels libres).
Il nous livre ici le fruit de ses réflexion en s’appuyant sur des citations de Glenn Gould et un projet dont nous vous reparlerons à la rentrée car Framasoft en sera le partenaire francophone : The Open Goldberg Variations.
La première édition du projet avait donné lieu à l’enregistrement directement dans le domaine public des Variations Goldberg de Bach. Il s’agira cette fois-ci d’enregistrer ensemble Le Clavier bien tempéré.
Il nous livre ici le fruit de ses réflexion en s’appuyant sur des citations de Glenn Gould et un projet dont nous vous reparlerons à la rentrée car Framasoft en sera le partenaire francophone : The Open Goldberg Variations.
La première édition du projet avait donné lieu à l’enregistrement directement dans le domaine public des Variations Goldberg de Bach. Il s’agira cette fois-ci d’enregistrer ensemble Le Clavier bien tempéré.
Parce que notre site est en pleine effervescence, et que, souvent, dans ces moments là, tout se passe en sous-terrain, voici quelques lectures estivales à méditer. La documentation de Dogmazic est en pleine migration vers le nouveau site, et on trouve par-ci par-là, quelques pépites, en voici quelques unes…
Ce sont des témoignages d’artistes qui ont fait le choix de venir sur Dogmazic pour y déposer leurs œuvres, mais surtout qui ont fait le choix de ne pas ou plus être à la Sacem afin de pouvoir publier eux même sous licences libres et ouvertes.
Bonne lectures !
On peut aussi rajouter à ces témoignages l’essai de Dana Hilliot, « De la dissémination de la musique » qui reprend quelques autres témoignages en fin de partie.
Ce sont des témoignages d’artistes qui ont fait le choix de venir sur Dogmazic pour y déposer leurs œuvres, mais surtout qui ont fait le choix de ne pas ou plus être à la Sacem afin de pouvoir publier eux même sous licences libres et ouvertes.
Bonne lectures !
On peut aussi rajouter à ces témoignages l’essai de Dana Hilliot, « De la dissémination de la musique » qui reprend quelques autres témoignages en fin de partie.
L’association Musique Libre ! nous a proposé de reproduire un article de son blog, histoire d’élargir le cercle des lecteurs potentiels. Nous le faisons avec d’autant plus de plaisir que le sujet abordé est d’importance : la création (et le soutien) d’une société collective de gestion des droits où ceux qui font de la « musique non SACEM sous licence libre ou ouverte » se retrouveraient enfin. D’abord en Allemagne mais peut-être ensuite dans toute l’Europe.
L’occasion également pour nous de prendre des nouvelles de cette association qui a pour priorité première de mettre à jour le site Dogmazic, comme expliqué dans la vidéo ci-dessous (disponible également au format Ogg) :
Bon vent à l’un comme à l’autre…
L’occasion également pour nous de prendre des nouvelles de cette association qui a pour priorité première de mettre à jour le site Dogmazic, comme expliqué dans la vidéo ci-dessous (disponible également au format Ogg) :
Bon vent à l’un comme à l’autre…
On vous en avait déjà parlé, le voici lancé : la « Cultural Commons Collecting Society » sera officiellement créée le 30 septembre sous la forme d’une société coopérative européenne ! Pour bien mesurer la portée de la nouvelle, il s’agit créer un concurrent à la GEMA (équivalent de la SACEM en Allemagne), brisant ainsi un monopole de près de 80 ans !
Non content d’entreprendre ce projet pharaonique, le C3S envisage à terme d’être pan-européen, et de de venir la société de gestion de droits de l’ère numérique ; la société de gestion des musiques libres.
Non content d’entreprendre ce projet pharaonique, le C3S envisage à terme d’être pan-européen, et de de venir la société de gestion de droits de l’ère numérique ; la société de gestion des musiques libres.
Avant d’être un outil, le logiciel est une création de l’esprit. Et pour les programmeurs les plus inspirés, le code peut s’apparenter à une création artistique. Il est donc logique que la défense et la promotion du logiciel libre soient assez vite allées de pair avec la volonté de rendre libres d’autres créations de l’esprit, d’autres domaines artistiques.
La culture, bien vite, a exploré cette nouvelle façon d’aborder l’échange des créations de l’esprit… La musique a été un des premiers domaines où des expériences libres ont eu lieu à grande échelle. Martin, un tout jeune étudiant qui a conçu le site Framazic, nous parle du tournant culturel pris par l’association Framasoft.
— Pouhiou
La culture, bien vite, a exploré cette nouvelle façon d’aborder l’échange des créations de l’esprit… La musique a été un des premiers domaines où des expériences libres ont eu lieu à grande échelle. Martin, un tout jeune étudiant qui a conçu le site Framazic, nous parle du tournant culturel pris par l’association Framasoft.
— Pouhiou
Repérée grâce à l’excellent blog de la P2P Foundation de Michel Bauwens, je vous recommande vivement l’audition de la chanson The Commons, que le chanteur folk américain David Rovics a dédiée aux biens communs.
Les paroles, que vous pouvez consulter ici, sont intéressantes dans la mesure où elles font le lien entre les différentes catégories de biens communs, en commençant par les biens communs de la Nature que sont la terre, l’air ou l’eau, pour finir avec les biens communs de la Culture.
Les derniers couplets illustrent cette continuité en évoquant à la fois la question de l’appropriation du vivant, à travers le problème des droits de propriété réclamés sur les semences ou sur les gènes, et celle de la guerre au partage de la musique.
Les paroles, que vous pouvez consulter ici, sont intéressantes dans la mesure où elles font le lien entre les différentes catégories de biens communs, en commençant par les biens communs de la Nature que sont la terre, l’air ou l’eau, pour finir avec les biens communs de la Culture.
Les derniers couplets illustrent cette continuité en évoquant à la fois la question de l’appropriation du vivant, à travers le problème des droits de propriété réclamés sur les semences ou sur les gènes, et celle de la guerre au partage de la musique.
Sources :
Framazic, l’entrée musique libre du réseau Framasoft par Martin Gubri
Framazic, le site
Crédit : Simon Gee Giraudot (Creative Commons By-Sa)
Framazic, l’entrée musique libre du réseau Framasoft par Martin Gubri
Framazic, le site
Crédit : Simon Gee Giraudot (Creative Commons By-Sa)
Il pleut des nouveaux projets actuellement chez Framasoft !
Framazic, c’est l’impressionnant résultat du stage universitaire que notre plus jeune recrue Martin Gubri a réalisé chez nous l’été dernier. Et le mieux c’est encore de lui céder la parole pour vous le présenter.
PS : Il pleut des nouveaux projets mais un peu moins de dons, alors si votre CB a envie de prendre un peu l’air…
Entretien avec Martin Gubri
Framazic ? Qu’est-ce que tu me chantes là ?
Framazic, c’est l’impressionnant résultat du stage universitaire que notre plus jeune recrue Martin Gubri a réalisé chez nous l’été dernier. Et le mieux c’est encore de lui céder la parole pour vous le présenter.
PS : Il pleut des nouveaux projets mais un peu moins de dons, alors si votre CB a envie de prendre un peu l’air…
Entretien avec Martin Gubri
Framazic ? Qu’est-ce que tu me chantes là ?
Si vous cherchez des musiques sympas pour mettre un fond sonore sur vos créations et que vous ne voulez pas aller en prison, optez pour les musiques libres de droit ou sous licence Creative Commons. Voici une petite sélection de sites où vous pourrez trouver ce genre de morceaux. La plupart sont gratuits (y a aussi des morceaux payants pas chers), mais attention, car en fonction de l’aspect commercial ou non de votre projet, vous pourrez ou pas utiliser tel ou tel morceau. Faites donc bien attention aux licences.
Bonne création à tous !!
Bonne création à tous !!