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CULTURE
Après avoir dévoilé notre sélection des cinq distributions Linux qui nous font de l’œil et que nous recommandons sans sourciller, il est nécessaire de donner quelques éléments techniques pour permettre à chacun d'essayer un de ces système d'exploitation. Suivez le guide : promis, c'est simple.
Numerama aime Linux. Toutefois le dire et l'écrire ne suffit pas : il faut également raconter les histoires du monde du libre et inviter nos lecteurs à découvrir de belles alternatives à Windows ou macOS. Ce guide vous propose 5 solutions prêtes pour l'avenir, belles et libres.
le Mercredi 8 mars 2017 à 16h32 UTC+1, nous avons démarré la 1ère vraie Monnaie Libre !!!
Le chemin ne fait que commencer
Soyez patients, vous ne pourrez pas aller acheter votre pain en Ğ1 avant plusieurs années ! Nous devons en effet recréer tous les circuits économiques, démarcher des producteurs, des fournisseurs, etc…
Mais avant même de commencer un tel ouvrage, nous devons d’abord déployer la toile de confiance afin que la plupart des êtres humains qui souhaitent d’ores et déjà utiliser une monnaie libre puissent rentrer dans la monnaie.
Le chemin ne fait que commencer
Soyez patients, vous ne pourrez pas aller acheter votre pain en Ğ1 avant plusieurs années ! Nous devons en effet recréer tous les circuits économiques, démarcher des producteurs, des fournisseurs, etc…
Mais avant même de commencer un tel ouvrage, nous devons d’abord déployer la toile de confiance afin que la plupart des êtres humains qui souhaitent d’ores et déjà utiliser une monnaie libre puissent rentrer dans la monnaie.
Et d’abord c’est quoi l’Argent ? Un métal classé 47 dans le tableau périodique des éléments…
D’après wikipédia, l’argent désigne la monnaie.
Alors certains économistes vous diront qu’il existe en fait une distinction précise entre argent et monnaie : l’argent serait une « réserve de valeur » là où la monnaie ne le serait pas forcément. Encore faut-il définir ce qui est valeur et ce qui ne l’est pas…
D’après wikipédia, l’argent désigne la monnaie.
Alors certains économistes vous diront qu’il existe en fait une distinction précise entre argent et monnaie : l’argent serait une « réserve de valeur » là où la monnaie ne le serait pas forcément. Encore faut-il définir ce qui est valeur et ce qui ne l’est pas…
De son propre aveu, elle s’est présentée « parce qu’il n’y avait pas assez de femmes ». Sur plus de 800 participants, elle a fini par remporter LaPrimaire.org, processus qui propose une candidature citoyenne à l’élection présidentielle. A deux jours de la date fatidique pour obtenir les 500 parrainages, Charlotte Marchandise entend porter un projet de renouveau bottom up basé sur la co-construction. Un jargon déjà vu ? Pas tout à fait.
À l’occasion du 28e anniversaire du World Wide Web, son inventeur Tim Berners-Lee a publié une lettre ouverte dans laquelle il expose ses inquiétudes concernant l’évolution du Web, notamment la perte de contrôle sur les données personnelles, la désinformation en ligne et les enjeux de la propagande politique.
Aral Balkan, qui n’est plus à présenter sur ce blog, lui répond par cet article en reprenant le concept de Capitalisme de surveillance. Comment pourrions-nous arrêter de nous faire exploiter en coopérant avec des multinationales surpuissantes, alors que cela va à l’encontre de leurs intérêts ? Réponse : c’est impossible. À moins de changer de paradigme…
Aral Balkan, qui n’est plus à présenter sur ce blog, lui répond par cet article en reprenant le concept de Capitalisme de surveillance. Comment pourrions-nous arrêter de nous faire exploiter en coopérant avec des multinationales surpuissantes, alors que cela va à l’encontre de leurs intérêts ? Réponse : c’est impossible. À moins de changer de paradigme…
Voter le 23 avril, pour quoi faire ? Si les élections servaient vraiment à quelque chose, disait Coluche, il y a longtemps qu’on les aurait interdites. Avant d’aborder les enjeux du futur scrutin, il faut sans doute en passer par cette cure de réalisme. Car, on le sait d’expérience, il n’y a pas grand-chose à espérer des élections, elles ont rarement changé le cours des événements, et elles se résument souvent à un rituel où le peuple s’imagine qu’il a le choix. Cette illusion de la démocratie formelle est entretenue par ceux qui en tirent bénéfice, le simulacre électoral ayant pour principal effet de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
La crise du politique institutionnel est évidente, partout dans le monde. La fonction de la révolution numérique dans cette crise est double : le numérique participe aux causes de la crise et il contient les potentiels de sa solution.
Le phénomène des civic tech, les applications de citoyenneté numérique, se situe a priori du côté des solutions (voir une étude de la Knight Foundation). Mais ce n’est pas si simple car les civic tech sont impactées par l’ambivalence des problèmes et des solutions dans les technologies actuelles. Je propose de distinguer les formes « descendantes » (top down) de participation numérique aux institutions et les formes « remontantes » (bottom up) d’activisme numérique disséminé.
Le phénomène des civic tech, les applications de citoyenneté numérique, se situe a priori du côté des solutions (voir une étude de la Knight Foundation). Mais ce n’est pas si simple car les civic tech sont impactées par l’ambivalence des problèmes et des solutions dans les technologies actuelles. Je propose de distinguer les formes « descendantes » (top down) de participation numérique aux institutions et les formes « remontantes » (bottom up) d’activisme numérique disséminé.
Le père du web, Tim Berners-Lee, a signé le dimanche 12 mars une tribune à l'occasion des vingt-huit ans du world wide web. À cette occasion, il liste les trois enjeux qui sont, selon lui, les plus préoccupants pour l'avenir du web!
Si vous deviez déterminer les trois principaux défis auxquels le web face aujourd’hui, quelles problématiques choisiriez-vous ? La surveillance électronique de masse ? La persistance des formats propriétaires ? L’insuffisance compatibilité des sites avec les règles de l’accessibilité pour les personnes handicapées ? Tous ces challenges sont importants, mais ce ne sont pas les enjeux les plus urgents du moment, selon Tim Berners-Lee, le père du world wide web.
Si vous deviez déterminer les trois principaux défis auxquels le web face aujourd’hui, quelles problématiques choisiriez-vous ? La surveillance électronique de masse ? La persistance des formats propriétaires ? L’insuffisance compatibilité des sites avec les règles de l’accessibilité pour les personnes handicapées ? Tous ces challenges sont importants, mais ce ne sont pas les enjeux les plus urgents du moment, selon Tim Berners-Lee, le père du world wide web.
C’est la nouvelle lubie de l’internet : Combattre les « fakenews », ces informations mensongères qui pourissent la vie des réseaux sociaux, des campagnes électorales et pervertiraient les cerveaux.
Vous adorez Harry Potter, Hunger Games, Twilight, Le Seigneur des Anneaux, Percy Jackson, Divergent et tant d’autres, jusqu’ici rien d’anormal. Sur votre temps libre, vous passez des heures à imaginer et à écrire de nouvelles aventures de vos personnages préférés, à inventer des relations amoureuses jamais évoquées par les auteurs originaux (quelquefois au grand dam des fans), à réécrire un évènement canonique de l’univers du point de vue d’un autre protagoniste… bref, vous écrivez de la fanfiction et vous adorez ça (comme je vous comprends). Nous sommes nombreux à regretter la fin d’une série, à déplorer le traitement de tel ou tel personnage ou simplement à vouloir prolonger le plaisir d’une immersion en terres fictionnelles qui a changé notre vie à tout jamais.
Malheureusement, j’ai une mauvaise nouvelle pour vous : votre passion est illégale. Vous avez bien lu. Selon le Code de la Propriété Intellectuelle, qui régit le cadre de l’application du droit d’auteur, publier une fanfiction n’est pas une pratique autorisée par la loi. C’est votre passion ? Je comprends votre désarroi. Sachez cependant que dans l’absolu, votre passe-temps favori pourrait vous coûter cher.
Malheureusement, j’ai une mauvaise nouvelle pour vous : votre passion est illégale. Vous avez bien lu. Selon le Code de la Propriété Intellectuelle, qui régit le cadre de l’application du droit d’auteur, publier une fanfiction n’est pas une pratique autorisée par la loi. C’est votre passion ? Je comprends votre désarroi. Sachez cependant que dans l’absolu, votre passe-temps favori pourrait vous coûter cher.
L’adaptation cinématographique de bandes dessinées est un phénomène ancien qui existe quasiment depuis l’invention du cinéma. Comment interpréter ce phénomène ? Quels sont les enjeux côté éditeurs et producteurs ? Quels sont les critères d’une adaptation réussie ?
Quelques mois avant la sortie du très attendu Valerian et la Cité des milles planètes de Luc Besson, film le plus cher de l’histoire du cinéma français, nous proposons quelques éléments de réponse à ces interrogations.
Quelques mois avant la sortie du très attendu Valerian et la Cité des milles planètes de Luc Besson, film le plus cher de l’histoire du cinéma français, nous proposons quelques éléments de réponse à ces interrogations.
En quelques années à peine s’est élevée dans une grande partie de la population la conscience diffuse des menaces que font peser la surveillance et le pistage sur la vie privée.
Mais une fois identifiée avec toujours plus de précision la nature de ces menaces, nous sommes bien en peine le plus souvent pour y échapper. Nous avons tendance surtout à chercher qui accuser… Certes les coupables sont clairement identifiables : les GAFAM et leur hégémonie bien sûr, mais aussi les gouvernements qui abdiquent leur pouvoir politique et se gardent bien de réguler ce qui satisfait leur pulsion sécuritaire. Trop souvent aussi, nous avons tendance à culpabiliser les Dupuis-Morizeau en les accusant d’imprudence et de manque d’hygiène numérique. C’est sur les utilisateurs finaux que l’on fait porter la responsabilité : « problème entre la chaise et le clavier », « si au moins ils utilisaient de mots de passe compliqués ! », « ils ont qu’à chiffrer leur mails », etc. et d’enchaîner sur les 12 mesures qu’ils doivent prendre pour assurer leur sécurité, etc.
L’originalité du billet qui suit consiste à impliquer une autre cible : les développeurs. Par leurs compétences et leur position privilégiée dans le grand bain numérique, ils sont à même selon l’auteur de changer le cours de choses et doivent y œuvrer.
Les pistes qu’expose Mo Bitar, lui-même développeur (il travaille sur StandardNotes, une application open source de notes qui met l’accent sur la longévité et la vie privée) paraîtront peut-être un peu vagues et idéalistes. Il n’en pointe pas moins une question intéressante : la communauté des codeurs est-elle consciente de ses responsabilités ?
Qu’en pensent les spécialistes de la cybersécurité, les adminsys, la communauté du développement ?
Mais une fois identifiée avec toujours plus de précision la nature de ces menaces, nous sommes bien en peine le plus souvent pour y échapper. Nous avons tendance surtout à chercher qui accuser… Certes les coupables sont clairement identifiables : les GAFAM et leur hégémonie bien sûr, mais aussi les gouvernements qui abdiquent leur pouvoir politique et se gardent bien de réguler ce qui satisfait leur pulsion sécuritaire. Trop souvent aussi, nous avons tendance à culpabiliser les Dupuis-Morizeau en les accusant d’imprudence et de manque d’hygiène numérique. C’est sur les utilisateurs finaux que l’on fait porter la responsabilité : « problème entre la chaise et le clavier », « si au moins ils utilisaient de mots de passe compliqués ! », « ils ont qu’à chiffrer leur mails », etc. et d’enchaîner sur les 12 mesures qu’ils doivent prendre pour assurer leur sécurité, etc.
L’originalité du billet qui suit consiste à impliquer une autre cible : les développeurs. Par leurs compétences et leur position privilégiée dans le grand bain numérique, ils sont à même selon l’auteur de changer le cours de choses et doivent y œuvrer.
Les pistes qu’expose Mo Bitar, lui-même développeur (il travaille sur StandardNotes, une application open source de notes qui met l’accent sur la longévité et la vie privée) paraîtront peut-être un peu vagues et idéalistes. Il n’en pointe pas moins une question intéressante : la communauté des codeurs est-elle consciente de ses responsabilités ?
Qu’en pensent les spécialistes de la cybersécurité, les adminsys, la communauté du développement ?
S’inspirant des « Jours Heureux », le programme du Conseil national de la Résistance adopté en 1944, un collectif d’organisations de la société civile a élaboré une liste de vingt-cinq mesures prioritaires, destinées à engager immédiatement « une transition écologique, sociale et démocratique ». Ils invitent citoyens et candidats à en prendre connaissance et à prendre position : « Nous sommes dans une démarche d’influence la plus grande possible, et nous encourageons le rassemblement des candidatures qui partagent ces mesures prioritaires. »
Un taux de chômage qui stagne à plus de 10%, avec 2,5 millions de chômeurs de longue durée. Face à l’inefficacité des politiques, l’association ATD Quart Monde propose une autre voie : partir réellement des compétences des demandeurs d’emplois, pour créer des activités d’intérêt général, et non des listes de postes à pourvoir affichées par Pôle emploi. Le tout, sans coût supplémentaire pour la collectivité. Comment cette belle idée se met-elle concrètement en place ? Quelles sont ses limites ?
Apparu dans les années 2000 et remis au goût du jour dans les suites du Brexit puis de l’élection de Donald Trump, le concept a fini par s’imposer : nous vivrions actuellement dans l’ère de la « post-vérité », dans laquelle la vérité a perdu sa valeur de référence dans le débat public, au profit des croyances et des émotions suscitées ou encouragées par les fausses nouvelles devenues virales grâce aux réseaux sociaux. Sans doute la diffusion de fausses nouvelles est-elle une réalité, mais la façon dont certains journalistes des grands médias, et en particulier les cadres des rédactions, posent le problème, ne nous en apprend pas tant sur l’idée bancale de « post-vérité » que sur les croyances de ces mêmes journalistes et les points aveugles de la conception du rôle qu’ils jouent dans les événements politiques en général, et dans la situation actuelle en particulier.
Au sortir d’une « Période sombre » de leur histoire, les Animaux convinrent de reconstruire leur Ferme sur de nouvelles bases solides et généreuses.
Ils avaient en mémoire ces « Jours Heureux », écrits en commun par des Sages-Résistants. Avant que de commencer, ils gravèrent, dans le marbre et pour l’éternité, les Trois Commandements suivants :
Ils avaient en mémoire ces « Jours Heureux », écrits en commun par des Sages-Résistants. Avant que de commencer, ils gravèrent, dans le marbre et pour l’éternité, les Trois Commandements suivants :
Qui n’a jamais été bloqué dans son élan par un individu, les yeux rivés sur l’écran de son smartphone, tentant de trouver l’angle du selfie parfait ? Qui n’a pas été stupéfait de constater à quel point l’extrême concentration sur ces petits rectangles lumineux perturbe la perception du hors champ de l’écran et empêche de constater les ralentissements provoqués par l’usage du smartphone sur les mouvements alentour ?
Le site de la radio-télévision publique norvégienne teste un dispositif original : pour commenter un article, les internautes doivent répondre à un questionnaire prouvant qu'ils l'ont bien lu. Un moyen d'encourager les commentaires constructifs et de lutter contre les trolls.
Connaissez-vous Manu Prakash ?
Le « Foldscope », ou microscope optique en papier à 50 cents, et la centrifugeuse médicale en papier (« paperfuge ») à 20 cents, voilà ce que l’on trouve rapidement en cherchant qui est Manu Prakash sur Google News.
Le « Foldscope », ou microscope optique en papier à 50 cents, et la centrifugeuse médicale en papier (« paperfuge ») à 20 cents, voilà ce que l’on trouve rapidement en cherchant qui est Manu Prakash sur Google News.