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CULTURELIBRE
Cette semaine, un nouveau site est lancé. Baptisé Les Communs d’abord ! , il a pour ambition de constituer « un média web indépendant ayant pour but de donner une visibilité aux multiples initiatives, publications et débats liés au mouvement des Communs. »
L’idée de cette initiative est née lors d’une réunion organisée par l’association Vecam, en juin 2016 lors de laquelle, constat a été fait que si les Communs sont de plus en plus présent dans l’actualité, il n’existait pas encore de média spécifiquement dédié à cette question.
L’idée de cette initiative est née lors d’une réunion organisée par l’association Vecam, en juin 2016 lors de laquelle, constat a été fait que si les Communs sont de plus en plus présent dans l’actualité, il n’existait pas encore de média spécifiquement dédié à cette question.
Il me semble avoir été l’un des premiers en France à parler des licences à réciprocité. C’était en novembre 2012 dans un billet consacré à la Peer Production Licence, suite à un voyage au Canada lors duquel j’ai rencontré pour la première fois Michel Bauwens. Depuis, le concept des licences à réciprocité a suscité un intérêt certain, notamment dans la sphère des personnes qui s’intéressent aux Communs. Beaucoup y voient un instrument qui permettrait de surmonter certaines des contradictions du Libre ou de l’Open Source, en imposant une contribution des acteurs marchands au développement des Communs (voir ce billet pour une présentation rapide du concept). L’idée à depuis fait son chemin dans les cercles militants et même au niveau institutionnel. Le Conseil National du Numérique a ainsi recommandé en janvier dernier d’expérimenter leur application.
En novembre dernier, j’ai eu la chance d’être invité lors de l’événement Capitole du Libre à Toulouse à donner une présentation sur ce sujet, pour essayer de faire un point sur l’état de la question. La conférence a été enregistrée et vous pouvez consulter la vidéo mise en ligne cette semaine, en cliquant ici ou sur l’image ci-dessous.
En novembre dernier, j’ai eu la chance d’être invité lors de l’événement Capitole du Libre à Toulouse à donner une présentation sur ce sujet, pour essayer de faire un point sur l’état de la question. La conférence a été enregistrée et vous pouvez consulter la vidéo mise en ligne cette semaine, en cliquant ici ou sur l’image ci-dessous.
Tout le monde connaît Wikipédia, chacun et chacune a son petit avis dessus, mais sait-on réellement comment cette encyclopédie collaborative fonctionne ?
Il y a 20 ans, lorsque, lors d’une soirée entre ami-e-s, on se posait une question du genre « Mais attends, comment on fait l’aspirine ? » le dialogue était souvent le même :
– Je sais pas, c’est pas avec de l’écorce de saule ?
– Oui mais ça doit être chimique, maintenant, non ?
– Je sais pas, t’as pas une encyclopédie ?
– Si, dans la bibliothèque, mais la raclette est prête.
– Bon, tant pis.
…et on en restait là. Aujourd’hui, on sort un ordiphone, on cherche la réponse sur Wikipédia, et on passe la raclette à se chamailler sur la fiabilité d’une encyclopédie où « tout le monde peut écrire n’importe quoi ».
En vrai, avez-vous déjà essayé d’écrire n’importe quoi sur Wikipédia… ? Savons-nous seulement comment ça marche ? Comment les articles sont-ils écrits, modifiés, corrigés, vérifiés, amendés… ?
Il y a 20 ans, lorsque, lors d’une soirée entre ami-e-s, on se posait une question du genre « Mais attends, comment on fait l’aspirine ? » le dialogue était souvent le même :
– Je sais pas, c’est pas avec de l’écorce de saule ?
– Oui mais ça doit être chimique, maintenant, non ?
– Je sais pas, t’as pas une encyclopédie ?
– Si, dans la bibliothèque, mais la raclette est prête.
– Bon, tant pis.
…et on en restait là. Aujourd’hui, on sort un ordiphone, on cherche la réponse sur Wikipédia, et on passe la raclette à se chamailler sur la fiabilité d’une encyclopédie où « tout le monde peut écrire n’importe quoi ».
En vrai, avez-vous déjà essayé d’écrire n’importe quoi sur Wikipédia… ? Savons-nous seulement comment ça marche ? Comment les articles sont-ils écrits, modifiés, corrigés, vérifiés, amendés… ?
L'April fête ses 20 ans1 ! Vingt ans d'actions pour promouvoir et défendre le logiciel libre.
Gâteau 20 ans
Si nous sommes particulièrement fiers du travail accompli ces dernières années, nous sommes également conscients que le combat est loin d'être gagné, et que nous devons rester plus vigilants que jamais pour obtenir le droit à une informatique loyale au service de l'intérêt général.
L'April continuera à agir pour porter la notion de priorité au logiciel libre au niveau de l'action politique (« vie de la cité »). Elle se montrera également offensive en multipliant les outils de sensibilisation au logiciel libre.
Gâteau 20 ans
Si nous sommes particulièrement fiers du travail accompli ces dernières années, nous sommes également conscients que le combat est loin d'être gagné, et que nous devons rester plus vigilants que jamais pour obtenir le droit à une informatique loyale au service de l'intérêt général.
L'April continuera à agir pour porter la notion de priorité au logiciel libre au niveau de l'action politique (« vie de la cité »). Elle se montrera également offensive en multipliant les outils de sensibilisation au logiciel libre.
Le travail de Salim Virani que nous vous invitons à parcourir est remarquable parce qu’il a pris la peine de réunir et classer le très grand nombre de « petites » atteintes de Facebook à notre vie privée. Ce n’est donc pas ici une révélation fracassante mais une patiente mise en série qui constitue une sorte de dossier accablant sur Facebook et ses pratiques avouées ou inavouables. Vous trouverez donc de nombreux liens dans l’article et au bas de l’article, qui sont autant de sources.
Si comme nous le souhaitons, vous avez déjà renoncé à Facebook, il est temps d’en libérer vos proches : les références et les faits évoqués ici par Salim Virani seront pour vous un bon réservoir d’arguments.
Par quoi remplacer Facebook lorsqu’on va supprimer son compte ? Telle est la question qui reste le point bloquant pour un certain nombre de personnes. Bien sûr il existe entre autres Diaspora et ses divers pods (dont Framasphère bien sûr), mais Salim Virani répond plutôt : par de vrais contacts sociaux ! Avons-nous vraiment besoin de Facebook pour savoir qui sont nos véritables amis et pouvoir échanger avec eux ?
N’hésitez pas à nous faire part de votre expérience de Facebook et de ses dangers, dont le moindre n’est pas l’addiction. Saurons-nous nous dé-facebook-iser ?
Si comme nous le souhaitons, vous avez déjà renoncé à Facebook, il est temps d’en libérer vos proches : les références et les faits évoqués ici par Salim Virani seront pour vous un bon réservoir d’arguments.
Par quoi remplacer Facebook lorsqu’on va supprimer son compte ? Telle est la question qui reste le point bloquant pour un certain nombre de personnes. Bien sûr il existe entre autres Diaspora et ses divers pods (dont Framasphère bien sûr), mais Salim Virani répond plutôt : par de vrais contacts sociaux ! Avons-nous vraiment besoin de Facebook pour savoir qui sont nos véritables amis et pouvoir échanger avec eux ?
N’hésitez pas à nous faire part de votre expérience de Facebook et de ses dangers, dont le moindre n’est pas l’addiction. Saurons-nous nous dé-facebook-iser ?
Depuis quelques années, je constate que certains défenseurs du libre deviennent sectaires, un peu comme certains communistes sont devenus totalitaires. N’est-ce pas en soi la preuve qu’il y a un ver dans la pomme ?
Les Communs d’abord est un média web indépendant ayant pour but de donner une visibilité aux multiples initiatives, publications et débats liés au mouvement des Communs.
Cette semaine, un nouveau site est lancé. Baptisé Les Communs d’abord ! , il a pour ambition de constituer « un média web indépendant ayant pour but de donner une visibilité aux multiples initiatives, publications et débats liés au mouvement des Communs. »
L’idée de cette initiative est née lors d’une réunion organisée par l’association Vecam, en juin 2016 lors de laquelle, constat a été fait que si les Communs sont de plus en plus présent dans l’actualité, il n’existait pas encore de média spécifiquement dédié à cette question.
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Les initiatives autour des Communs foisonnent pourtant en France. De plus en plus d’acteurs, qu’il s’agisse de militants, de chercheurs ou d’institutions s’emparent de l’imaginaire des Communs pour se l’approprier et le faire vivre à travers des projets stimulants. Alors que la recherche d’alternatives semblent bloquées à de nombreux niveaux, une évolution avance sur le terrain, sous l’égide des Communs. La thématique des Communs s’invite de plus en plus fréquemment dans le débat public et politique et une structuration se met peu à peu en place sur les territoires, à travers les Assemblées et les Chambres des Communs.
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Il existe déjà en France un écosystème informationnel autour de la question des Communs : portail des Communs, wiki des communs, plateforme Remix The Commons, blog francophone de la P2P Foundation, liste de discussion du mouvement francophone autour des Communs, ainsi que nombreux espaces de veille partagée consacrés à ce sujet, tenus par des individus ou des associations. Un blog (Chronique des Communs) a même été ouvert sur la plateforme du journal Le Monde en décembre dernier et un projet de Radio des Communs sur les ondes hertziennes est actuellement examiné par le CSA.
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Mais les Communs sont, par définition, extrêmement multiformes et les informations à leur sujet restent encore très éclatées, ce qui brouille leur visibilité. Les Communs d’abord ! a pour ambition de devenir un point de convergence vers lequel les lecteurs pourront se tourner pour trouver de l’information actualisée sur les Communs dans toutes leurs dimensions : Communs naturels, Communs matériels, Communs urbains, Communs de la Connaissance, etc.
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L’idée de cette initiative est née lors d’une réunion organisée par l’association Vecam, en juin 2016 lors de laquelle, constat a été fait que si les Communs sont de plus en plus présent dans l’actualité, il n’existait pas encore de média spécifiquement dédié à cette question.
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Les initiatives autour des Communs foisonnent pourtant en France. De plus en plus d’acteurs, qu’il s’agisse de militants, de chercheurs ou d’institutions s’emparent de l’imaginaire des Communs pour se l’approprier et le faire vivre à travers des projets stimulants. Alors que la recherche d’alternatives semblent bloquées à de nombreux niveaux, une évolution avance sur le terrain, sous l’égide des Communs. La thématique des Communs s’invite de plus en plus fréquemment dans le débat public et politique et une structuration se met peu à peu en place sur les territoires, à travers les Assemblées et les Chambres des Communs.
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Il existe déjà en France un écosystème informationnel autour de la question des Communs : portail des Communs, wiki des communs, plateforme Remix The Commons, blog francophone de la P2P Foundation, liste de discussion du mouvement francophone autour des Communs, ainsi que nombreux espaces de veille partagée consacrés à ce sujet, tenus par des individus ou des associations. Un blog (Chronique des Communs) a même été ouvert sur la plateforme du journal Le Monde en décembre dernier et un projet de Radio des Communs sur les ondes hertziennes est actuellement examiné par le CSA.
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Mais les Communs sont, par définition, extrêmement multiformes et les informations à leur sujet restent encore très éclatées, ce qui brouille leur visibilité. Les Communs d’abord ! a pour ambition de devenir un point de convergence vers lequel les lecteurs pourront se tourner pour trouver de l’information actualisée sur les Communs dans toutes leurs dimensions : Communs naturels, Communs matériels, Communs urbains, Communs de la Connaissance, etc.
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Le bilan du groupe Transcriptions de l’association April bat, semble‐t‐il, tous les records. Ce sont au total 48 heures et 17 minutes de transcriptions qui ont été finalisées et publiées au cours de l’année 2016. Ce chiffre est à comparer à celui de l’année 2015 : on en comptabilisait 18 heures et 36 minutes.
Le chapitre français de la fondation Wikipédia va donner des cours à ceux qui veulent apprendre comment contribuer à l'encyclopédie libre et gratuite. Les cours débuteront en mars et sont ouverts à tout le monde.
Depuis une trentaine d’années, nous n’avons pas été avares en nouvelles théories politiques qui devaient changer le monde si elles étaient appliquées.
* Les logiciels libres, l’art libre, les monnaies libres… vs les logiciels propriétaires, les œuvres sous copyright, les monnaies privatives de liberté.
* La gratuité, l’abondance, le coût marginal zéro… vs le tout payant, la pénurie artificiellement maintenue au profit des capitalistes.
* L’économie du don vs l’économie marchande.
* La décentralisation réticulaire, l’horizontalité, l’auto-organisation, la coopération vs la subordination, le management top-down et la coercition.
* Le tirage au sort ou la démocratie directe vs le vote et le modèle représentatif élitiste.
* Le revenu de base vs pour unique horizon le salariat ou le chômage.
Nous pensions que, en mettant en œuvre ces théories, nous aboutirions à un monde plus fraternel, plus harmonieux, plus libre, plus respectueux, plus égalitaire… Nous pensions nous battre pour nos valeurs. Le problème, nous avons fini par confondre nos valeurs avec les théories politiques censées leur profiter.
Cette dérive n’est pas sans poser de problème.
* Les logiciels libres, l’art libre, les monnaies libres… vs les logiciels propriétaires, les œuvres sous copyright, les monnaies privatives de liberté.
* La gratuité, l’abondance, le coût marginal zéro… vs le tout payant, la pénurie artificiellement maintenue au profit des capitalistes.
* L’économie du don vs l’économie marchande.
* La décentralisation réticulaire, l’horizontalité, l’auto-organisation, la coopération vs la subordination, le management top-down et la coercition.
* Le tirage au sort ou la démocratie directe vs le vote et le modèle représentatif élitiste.
* Le revenu de base vs pour unique horizon le salariat ou le chômage.
Nous pensions que, en mettant en œuvre ces théories, nous aboutirions à un monde plus fraternel, plus harmonieux, plus libre, plus respectueux, plus égalitaire… Nous pensions nous battre pour nos valeurs. Le problème, nous avons fini par confondre nos valeurs avec les théories politiques censées leur profiter.
Cette dérive n’est pas sans poser de problème.
La bibliothèque publique de New York met à disposition plus de 187 000 images libres de droit sur son site web.
Vous êtes en quête d’images libres de droit ? Voilà une nouvelle qui devrait vous ravir : la bibliothèque publique de New York propose depuis le 6 janvier un nouvel espace dans lequel il est possible de visualiser et de télécharger plus de 187 000 photos et illustrations en haute résolution.
Pas besoin de demander une quelconque autorisation préalable ni de faire attention à l’usage qu vous ferez de ces contenus. Emparez-vous en et faites en ce que vous voulez. Vous avez même la bénédiction de l’équipe de la bibliothèque, qui a hâte de voir de quelle façon les internautes vont s’emparer de ces fichiers.
Vous êtes en quête d’images libres de droit ? Voilà une nouvelle qui devrait vous ravir : la bibliothèque publique de New York propose depuis le 6 janvier un nouvel espace dans lequel il est possible de visualiser et de télécharger plus de 187 000 photos et illustrations en haute résolution.
Pas besoin de demander une quelconque autorisation préalable ni de faire attention à l’usage qu vous ferez de ces contenus. Emparez-vous en et faites en ce que vous voulez. Vous avez même la bénédiction de l’équipe de la bibliothèque, qui a hâte de voir de quelle façon les internautes vont s’emparer de ces fichiers.
Voilà, juste pour vous dire que je lance prochainement une nouvelle boutique en ligne. MonCherNumerique.fr vise à aider les TPE dans leur transition numérique via les logiciels libres et les accompagner pour développer leur présence en ligne, avec la création de leur site internet.
Ouverture prévue en début de semaine prochaine normalement 😉
Ouverture prévue en début de semaine prochaine normalement 😉
Le FOSDEM — Free and Open Source software Developers’ European Meeting — est le plus grand congrès gratuit pour les développeurs du Libre, organisé uniquement par des bénévoles.
Le congrès se déroule à Bruxelles dans les locaux de l’ULB sur le campus du Solbosch.
Le congrès se déroule à Bruxelles dans les locaux de l’ULB sur le campus du Solbosch.
La fondation Wikimedia va recevoir trois millions de dollars sur trois ans pour améliorer Commons, sa médiathèque de fichiers libres de droit ou entrés dans le domaine public.
Si vous cherchez des photos pour illustrer vos articles de blog ou pour faire croire à vos amis Facebook que vous êtes un photographe hors pair, je vous invite à vous rendre sur Pexels.
Sur ce site, vous trouverez des milliers de photos libres de droits, accessibles via le moteur de recherche, mais aussi classé par mot clé ou dans des Tops.
Sur ce site, vous trouverez des milliers de photos libres de droits, accessibles via le moteur de recherche, mais aussi classé par mot clé ou dans des Tops.
Bonne nouvelle pour les fans de Linux, car plusieurs grands sites indiquent que leurs statistiques ont montrés que Linux est en hausse!
Note: Ces données doivent toujours être pris avec une pincée de sel. Mais c’est la tendance générale qui s’avère intéressante!
Note: Ces données doivent toujours être pris avec une pincée de sel. Mais c’est la tendance générale qui s’avère intéressante!
Titre : Liberté 0, si on en parlait ? Table ronde
Intervenants : Armony Altinier - Samuel Thibaut - Loïc Damien - François-Charles Liber - Bookynette - Kinou- Jean-Philippe Mengal - Marie-Pierre Bigeon - Jérome - Greg - Christophe - Moza
Lieu : Bruxelles, Rencontres Mondiales du Logiciel Libre
Date : Juillet 2013
Durée : 1 h 03 min 36
Visualiser la vidéo
Licence de la transcription : Verbatim
Intervenants : Armony Altinier - Samuel Thibaut - Loïc Damien - François-Charles Liber - Bookynette - Kinou- Jean-Philippe Mengal - Marie-Pierre Bigeon - Jérome - Greg - Christophe - Moza
Lieu : Bruxelles, Rencontres Mondiales du Logiciel Libre
Date : Juillet 2013
Durée : 1 h 03 min 36
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Licence de la transcription : Verbatim
La directive européenne sur la révision du droit d'auteur a été présentée en septembre 2016. Elle est actuellement en discussion au Parlement européen. Devant l'indigence ou les propositions dangereuses de cette directive, plusieurs associations et acteurs de la création, dont Mozilla, Wikimédia France et La Quadrature du Net, proposent une soirée d'explication et de mobilisation ouverte à tous le lundi 9 janvier prochain dans les locaux de Mozilla à Paris.
Le bilan du groupe Transcriptions de l’association April bat, semble‐t‐il, tous les records. Ce sont au total 48 heures et 17 minutes de transcriptions qui ont été finalisées et publiées au cours de l’année 2016. Ce chiffre est à comparer à celui de l’année 2015 : on en comptabilisait 18 heures et 36 minutes.
Transcrire consiste à transformer des vidéos et des fichiers audio concernant le logiciel libre, et les libertés numériques en général, en texte afin :
d’augmenter leur indexation sur les moteurs de recherche ;
d’améliorer leur accessibilité aux personnes porteuses de handicap ;
de permettre leur ré-utilisation par d'autres.
Le début d’année est la période propice aux bonnes résolutions : si transcrire vous intéresse, si vous vous sentez motivé(e), si vous disposez d’un peu de temps libre, n’hésitez pas à participer, voire à rejoindre le groupe Transcriptions de l’April.
Transcrire consiste à transformer des vidéos et des fichiers audio concernant le logiciel libre, et les libertés numériques en général, en texte afin :
d’augmenter leur indexation sur les moteurs de recherche ;
d’améliorer leur accessibilité aux personnes porteuses de handicap ;
de permettre leur ré-utilisation par d'autres.
Le début d’année est la période propice aux bonnes résolutions : si transcrire vous intéresse, si vous vous sentez motivé(e), si vous disposez d’un peu de temps libre, n’hésitez pas à participer, voire à rejoindre le groupe Transcriptions de l’April.