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CULTURELIBRE
Le 1e janvier est toujours une date très symbolique pour le collectif savoirsCom1 et pour la diffusion des connaissances puisque un certain nombre d’œuvres et de créations deviennent accessibles librement à l’humanité tout entière en s’élevant dans le domaine public. Elles prennent le statut de « patrimoine commun ».
Cette date est l’occasion de réécouter la parisienne libérée :
Cette date est l’occasion de réécouter la parisienne libérée :
Titre : Freezone - Épisode 10
Intervenants : Calimaq - OliCat
Lieu : Radio Libre@Toi*
Date : Juillet 2016
Durée : 19 min 08
Écouter l'émission
Télécharger l'émission
Licence de la transcription : Verbatim
Description
Événement : l’EFF (Electronic Frontier Foundation), la grande association de défense des libertés numériques a décidé d’attaquer en justice le DMCA (Digital Millenium Copyright Act), une loi votée en 1998 qui a introduit la notion de DRM (Digital Rights Management). EFF considère que le fait de ne pas pouvoir contourner légalement ces verrous numériques est inconstitutionnel dans de nombreux cas. Cela pourrait constituer un des procès les plus importants des années à venir, qui viendrait limiter la nocivité de ce que Richard Stallman appelle les « menottes numériques ».
Intervenants : Calimaq - OliCat
Lieu : Radio Libre@Toi*
Date : Juillet 2016
Durée : 19 min 08
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Licence de la transcription : Verbatim
Description
Événement : l’EFF (Electronic Frontier Foundation), la grande association de défense des libertés numériques a décidé d’attaquer en justice le DMCA (Digital Millenium Copyright Act), une loi votée en 1998 qui a introduit la notion de DRM (Digital Rights Management). EFF considère que le fait de ne pas pouvoir contourner légalement ces verrous numériques est inconstitutionnel dans de nombreux cas. Cela pourrait constituer un des procès les plus importants des années à venir, qui viendrait limiter la nocivité de ce que Richard Stallman appelle les « menottes numériques ».
Pour les nouveaux venus, un rappel : ZeMarmot est un film d’animation racontant l’histoire d’une marmotte empreinte de liberté qui voyage à travers le monde.
Le film sera diffusé sous double licence Creative Commons paternité — partage à l’identique et Art Libre.
Techniquement ce film est dans la lignée du dessin animé traditionnel, dessiné et en 2D, utilisant néanmoins les techniques modernes de dessin sur ordinateur plutôt que sur support physique. Ce qui le distingue vraiment d’autres productions est qu’il est entièrement réalisé avec des logiciels libres, du système d’exploitation GNU/Linux au logiciel de dessin GIMP, mais aussi avec de l’édition vidéo (Blender VSE) et audio (Ardour).
Non seulement nous utilisons du logiciel libre, en outre, en tant que développeur core sur GIMP, ce projet me sert aussi comme base pour une contribution de code intense et continue, rendant le logiciel plus fiable de jour en jour.
Il s’agit donc d’un projet profondément entaché d’un esprit libre sous de multiples aspects. Alors que 2016 touche à sa fin, il est de rigueur de vous tenir au courant de l’avancée de ZeMarmot, comme nous le faisons régulièrement sur LinuxFr.org.
Et, qui sait, peut‐être pourrais‐je aussi vous intéresser à contribuer financièrement au projet ?
Le film sera diffusé sous double licence Creative Commons paternité — partage à l’identique et Art Libre.
Techniquement ce film est dans la lignée du dessin animé traditionnel, dessiné et en 2D, utilisant néanmoins les techniques modernes de dessin sur ordinateur plutôt que sur support physique. Ce qui le distingue vraiment d’autres productions est qu’il est entièrement réalisé avec des logiciels libres, du système d’exploitation GNU/Linux au logiciel de dessin GIMP, mais aussi avec de l’édition vidéo (Blender VSE) et audio (Ardour).
Non seulement nous utilisons du logiciel libre, en outre, en tant que développeur core sur GIMP, ce projet me sert aussi comme base pour une contribution de code intense et continue, rendant le logiciel plus fiable de jour en jour.
Il s’agit donc d’un projet profondément entaché d’un esprit libre sous de multiples aspects. Alors que 2016 touche à sa fin, il est de rigueur de vous tenir au courant de l’avancée de ZeMarmot, comme nous le faisons régulièrement sur LinuxFr.org.
Et, qui sait, peut‐être pourrais‐je aussi vous intéresser à contribuer financièrement au projet ?
bonjour @toutes et tous
Une brêve pour vous annoncer la première version anglaise des cahiers du débutant !
Grâce à Saby43 du collectif Emmabuntüs , le projet tient le roadmap et The beginner's HandBook est en ligne pour nowel
Un immense merci à Saby43 pour son travail de fou (et je sais de quoi je parle) car en dehors de la traduction de +250 pages, il a aussi cherché (et trouvé) les liens équivalents pour tous les supports externes.
Encore merci
Une brêve pour vous annoncer la première version anglaise des cahiers du débutant !
Grâce à Saby43 du collectif Emmabuntüs , le projet tient le roadmap et The beginner's HandBook est en ligne pour nowel
Un immense merci à Saby43 pour son travail de fou (et je sais de quoi je parle) car en dehors de la traduction de +250 pages, il a aussi cherché (et trouvé) les liens équivalents pour tous les supports externes.
Encore merci
Que retenir de cette année écoulée en matière de logiciels libres selon moi ?
Aujourd’hui nous ouvrons avec plaisir nos colonnes à Véronique Bonnet, membre du C.A de l’April, qui évoque avec ferveur l’histoire et l’esprit de cette association amie dont nous partageons les combats et des valeurs.
L’April vient d’avoir 20 ans
L’April vient d’avoir 20 ans
J’illustrais dernièrement mon propos sur les réseaux sociaux par le traitement des bugs de Diaspora*. J’aurai pu prendre d’autres exemples qui montre les limites d’une structure dite participative.
La loi pour une République numérique (dite Loi Lemaire) va avoir en France un impact important en matière d’ouverture des données publiques, puisqu’elle institue un principe d’Open Data par défaut, dont j’ai déjà eu l’occasion de parler plusieurs fois dans ce blog (ici ou là). Mais ceux qui ont suivi attentivement cette évolution savent qu’il y a un secteur qui a réussi à conserver une position de privilège pour ne pas participer à cette dynamique d’ouverture : celui de la culture et du patrimoine.
C’est notamment l’effet de la loi du 28 décembre 2015 relative à la gratuité et aux modalités de la réutilisation des informations du secteur public (dite aussi loi Valter). Ce texte ainsi que son décret d’application vont permettre aux établissements culturels (bibliothèques, archives, musées) – là où la quasi-integralité des autres administrations sont désormais soumises à un principe de gratuité – de continuer à lever des redevances pour la réutilisation d’informations issues des opérations de numérisation de leurs collections (et des métadonnées associées).
Du côté de SavoirsCom1, nous avons fermement combattu cette politique de maintien d’un statut dérogatoire pour les établissements culturels, notamment parce qu’elle revient à institutionnaliser les pratiques de Copyfraud sur les reproductions fidèles d’oeuvres du domaine public et à neutraliser les libertés qu’il autorise. C’est la raison pour laquelle nous avions poussé pour que la loi Lemaire consacre la notion de « domaine commun informationnel » afin de sanctuariser les oeuvres du domaine public contre les tentatives de réappropriation. Mais les arbitrages politiques ont joué en notre défaveur, malgré le soutien du Conseil National du Numérique et de plusieurs députés.
C’est notamment l’effet de la loi du 28 décembre 2015 relative à la gratuité et aux modalités de la réutilisation des informations du secteur public (dite aussi loi Valter). Ce texte ainsi que son décret d’application vont permettre aux établissements culturels (bibliothèques, archives, musées) – là où la quasi-integralité des autres administrations sont désormais soumises à un principe de gratuité – de continuer à lever des redevances pour la réutilisation d’informations issues des opérations de numérisation de leurs collections (et des métadonnées associées).
Du côté de SavoirsCom1, nous avons fermement combattu cette politique de maintien d’un statut dérogatoire pour les établissements culturels, notamment parce qu’elle revient à institutionnaliser les pratiques de Copyfraud sur les reproductions fidèles d’oeuvres du domaine public et à neutraliser les libertés qu’il autorise. C’est la raison pour laquelle nous avions poussé pour que la loi Lemaire consacre la notion de « domaine commun informationnel » afin de sanctuariser les oeuvres du domaine public contre les tentatives de réappropriation. Mais les arbitrages politiques ont joué en notre défaveur, malgré le soutien du Conseil National du Numérique et de plusieurs députés.
J’aime le blogging : quand un billet en entraîne un autre sans aucune préméditation. C’est une des vertus de la pensée ouverte, de l’open source (et non du libre, car si mes billets étaient sous copyright traditionnel ça ne changerait rien). Ainsi, dans un commentaire, Lanza me signale que par logiciel libre il faut entendre logiciel de confiance, un logiciel qui peut être décortiqué pour voir si, en lui, il n’y a rien de suspect.
Cette distinction terminologique est une très bonne idée. En se débarrassant de la notion de liberté, très complexe philosophiquement, ont s’épargne un écueil moralisateur dans lequel il est facile de s’empaler. Par opposition, la confiance est bien plus pragmatique.
Cette distinction terminologique est une très bonne idée. En se débarrassant de la notion de liberté, très complexe philosophiquement, ont s’épargne un écueil moralisateur dans lequel il est facile de s’empaler. Par opposition, la confiance est bien plus pragmatique.
Titre : Pour un régime positif du domaine public
Intervenante : Séverine Dusollier - Professeur à Sciences Po Paris
Lieu : 1er festival du domaine public - ENS
Date : Janvier 2015
Durée : 19 min 07
Média : ici ou ici
Licence de la transcription : Verbatim
Transcription
Intervenante : Séverine Dusollier - Professeur à Sciences Po Paris
Lieu : 1er festival du domaine public - ENS
Date : Janvier 2015
Durée : 19 min 07
Média : ici ou ici
Licence de la transcription : Verbatim
Transcription
Titre : Questions du public - Les enjeux politiques et juridiques du domaine public
Intervenants : Public - Danièle Bourcier - Séverine Dusollier - Isabelle Attard - Frédric Toutain - Lionel Maurel
Lieu : 1er festival du domaine public - ENS
Date : Janvier 2015
Durée : 42 min 36
Médias : ici ou ici à partir de 1 h 29 min 35
Licence de la transcription : Verbatim
Transcription
Intervenants : Public - Danièle Bourcier - Séverine Dusollier - Isabelle Attard - Frédric Toutain - Lionel Maurel
Lieu : 1er festival du domaine public - ENS
Date : Janvier 2015
Durée : 42 min 36
Médias : ici ou ici à partir de 1 h 29 min 35
Licence de la transcription : Verbatim
Transcription
Les RMLL 2017 (Rencontres Mondiales du Logiciel Libre) se dérouleront à Saint‐Étienne du 1er au 7 juillet 2017. La liste des thèmes présents pour cette édition a été finalisée (lien plus bas) et un bon nombre de responsables de thèmes sont déjà présents pour s’en occuper. Mais, afin d’amener un surplus d’énergie, de diversité et d’idées neuves, nous faisons un appel ouvert à candidature pour de nouveaux responsables de thèmes.
Le week-end dernier a eu lieu la 22ème université d’Automne de la Ligue des Droits de l’Homme, consacrée cette année à la thématique : « Les Communs, un nouvel universalisme ?« .
Si vous êtes dessinateur, ce qui n'est pas mon cas (si vous saviez à quel niveau je suis...), Willian Carvalho a développé il y a quelques temps un générateur de BD pouvant être hébergé sur une page internet : comicgen (dont vous pouvez voir l'application ici).
Alors je ne l'ai pas découvert tout seul, il s'agit en fait du moteur derrière beaucoup de générateurs de BD présents dans la sphère libriste. Et la première fois que je l'ai rencontré c'était sur Framasoft avec le générateur de Geektionnerd.
Mais il est également disponible chez Odysseus, lolobobo, sur le site du Forum Éducation Science Culture, etc.
David Revoy, le créateur de Pepper & Carrot a quant à lui mis à disposition à son arrivée sur diaspora* un générateur d'avatar avec des chats.
Tenez voilà ce que ça m'a donné pour « Starsheep ». Véridique ! Il aurait pu me coller un nœud rose mais a préféré me mettre devant un ordinateur... :)
Et pour finir cet article, je ne pouvais pas ne pas évoquer le Bouletmaton. Vous avez forcément déjà croisé un avatar en provenance de ce service... Hein Fred ! ;)
Et allez, c'est cadeau.
Alors je ne l'ai pas découvert tout seul, il s'agit en fait du moteur derrière beaucoup de générateurs de BD présents dans la sphère libriste. Et la première fois que je l'ai rencontré c'était sur Framasoft avec le générateur de Geektionnerd.
Mais il est également disponible chez Odysseus, lolobobo, sur le site du Forum Éducation Science Culture, etc.
David Revoy, le créateur de Pepper & Carrot a quant à lui mis à disposition à son arrivée sur diaspora* un générateur d'avatar avec des chats.
Tenez voilà ce que ça m'a donné pour « Starsheep ». Véridique ! Il aurait pu me coller un nœud rose mais a préféré me mettre devant un ordinateur... :)
Et pour finir cet article, je ne pouvais pas ne pas évoquer le Bouletmaton. Vous avez forcément déjà croisé un avatar en provenance de ce service... Hein Fred ! ;)
Et allez, c'est cadeau.
Jusqu'au 31 décembre, le collectif SavoirsCom1 proposera de découvrir chaque jour un nouvel auteur dont les œuvres rejoindront le domaine public le 1er janvier 2017.
Le mois de décembre rime depuis 2013 avec le Calendrier de l’Avent du domaine public pour le collectif SavoirsCom1. Il s’agit de découvrir une sélection des nouvelles œuvres qui entreront dans le domaine public au 1er janvier. Toujours le même principe : chaque jour du mois de décembre, retrouvez sur le site aventdudomainepublic.org un nouveau portrait grâce à des fiches préparées par les membres du collectif et, pour la première fois, par des contributeurs extérieurs.
Un seul objectif : (re)découvir chaque jour un auteur dont les œuvres pourront être remixées ou partagées sans avoir à demander d’autorisation ni payer des droits.
Un seul objectif : (re)découvir chaque jour un auteur dont les œuvres pourront être remixées ou partagées sans avoir à demander d’autorisation ni payer des droits.
Titre : Le domaine public volontaire : les solutions Creative Commons
Intervenant : Danièle Bourcier - directrice de recherche au CNRS - co-fondatrice de Creative Commons France
Lieu : 1er festival du domaine public - ENS
Date : Janvier 2015
Durée : 19 min 07
Visionner la vidéo : ici ou ici
Licence de la transcription : Verbatim
Transcription
Intervenant : Danièle Bourcier - directrice de recherche au CNRS - co-fondatrice de Creative Commons France
Lieu : 1er festival du domaine public - ENS
Date : Janvier 2015
Durée : 19 min 07
Visionner la vidéo : ici ou ici
Licence de la transcription : Verbatim
Transcription
En avant-propos, ce billet ne représente que ma démarche personnelle et mon humble point de vue sur l’utilisation des licences libres, correspondant forcément à ma façon d’agir, de faire, un point de vue duquel je suis volontiers prêt à discuter.
Titre : Interview d’Axelle Lemaire et de Jean-Luc Beylat lors du POSS2016
Intervenants : Axelle Lemaire - Jean-Luc Beylat - Vincent Deroussent
Lieu : Paris Open Source Summit
Date : Novembre 2016
Durée : 7 min 13
Visualiser l'interview
Licence de la transcription : Verbatim
Transcription
Intervenants : Axelle Lemaire - Jean-Luc Beylat - Vincent Deroussent
Lieu : Paris Open Source Summit
Date : Novembre 2016
Durée : 7 min 13
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Licence de la transcription : Verbatim
Transcription
Comme chaque année, à la même période, Wikimédia France fait appel à la générosité du public pour financer une partie de son activité.
Cette période réveille toujours les mêmes questions :
– quelles différences entre Wikimédia et Wikipédia ?
– quelles différences entre Wikimédia France et Wikimedia Foundation ?
Pour prendre les devants, Émeric Vallespi (Président) et Nathalie Martin (Directrice exécutive) ont décidé d’amorcer la campagne de levée de fonds, dans une courte vidéo explicative.
Bon visionnage et n’oubliez pas de soutenir Wikimédia France.
Cette période réveille toujours les mêmes questions :
– quelles différences entre Wikimédia et Wikipédia ?
– quelles différences entre Wikimédia France et Wikimedia Foundation ?
Pour prendre les devants, Émeric Vallespi (Président) et Nathalie Martin (Directrice exécutive) ont décidé d’amorcer la campagne de levée de fonds, dans une courte vidéo explicative.
Bon visionnage et n’oubliez pas de soutenir Wikimédia France.