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OPENDATA
Le quatrième Comité interministériel de modernisation de l’action publique (CIMAP), qui s’est tenu cette semaine, a été l’occasion pour le Premier ministre d’annoncer d’importantes décisions en faveur de l’ouverture des données publiques.
Au-delà de la réaffirmation du principe de gratuité en matière de réutilisation des données publiques, l’Etat va désormais s’engager, suivant les recommandations du rapport Trojette, à ne plus instaurer de nouvelles redevances pour la réutilisation des données produites par ses services. Par ailleurs, plusieurs redevances qui subsistaient encore vont être supprimées, soit immédiatement, soit progressivement, pour laisser aux administrations le temps de faire évoluer leur modèle économique. Cette décision concerne notamment les données essentielles pour l’accès au droit (données de la CADA, bases Légifrance), les données relatives aux dotations versées par l’Etat aux collectivités locales, ou le prix des carburants. Même des établissements publics comme l’IGN ou Météo France, qui tirent une partie substantielle de leurs ressources de la vente de données, sont invités à faire évoluer leurs modèles économiques.
Au-delà de la réaffirmation du principe de gratuité en matière de réutilisation des données publiques, l’Etat va désormais s’engager, suivant les recommandations du rapport Trojette, à ne plus instaurer de nouvelles redevances pour la réutilisation des données produites par ses services. Par ailleurs, plusieurs redevances qui subsistaient encore vont être supprimées, soit immédiatement, soit progressivement, pour laisser aux administrations le temps de faire évoluer leur modèle économique. Cette décision concerne notamment les données essentielles pour l’accès au droit (données de la CADA, bases Légifrance), les données relatives aux dotations versées par l’Etat aux collectivités locales, ou le prix des carburants. Même des établissements publics comme l’IGN ou Météo France, qui tirent une partie substantielle de leurs ressources de la vente de données, sont invités à faire évoluer leurs modèles économiques.
Partant du constat qu'il y a beaucoup de données brutes qui mériteraient d'être traitées et partagées avec les internautes du monde entier, des chercheurs de l'Institut Internet d'Oxford ont mis en ligne un site sur lequel ils regroupent des cartes et graphiques interactifs mettant en perspective des données très contemporaines telles que la géographie des extensions de noms de domains (TLD), la quantité d'articles et d'autres données extraites de Wikipédia à propos de chaque pays Africain, la carte des demandes de suppression faites à Google, ou encore la part de présence de chaque pays sur Twitter.
C'est passionnant de voir ces données (open data) présentées de cette manière. Le tout est sous licence Creative Commons donc vous pouvez les réutiliser.
C'est passionnant de voir ces données (open data) présentées de cette manière. Le tout est sous licence Creative Commons donc vous pouvez les réutiliser.
Cette semaine a été officiellement lancé un projet d’envergure : Data, une bibliothèque numérique de ressources éducatives francophones, forte de 14 000 références, libres et adaptées au quotidien des enseignants. Cette réalisation est le fruit d’un travail de longue haleine (la genèse du projet remonte à plus de 10 ans) de la société Ryxéo et de l’association Abulédu-fr, qui a entre autres lancé le site de micro-blogue Babytwit.
http://data.abuledu.org/wp/
http://data.abuledu.org/wp/
Notre collectif note des avancées indéniables du discours de la Ministre de la Culture et de la Communication concernant la prise en compte de l’ouverture des données, qu’il s’agisse de données ou de contenus. Lionel Maurel l’a très bien exprimé dans ce billet :
Il s’est produit cette semaine une série d’évènements et d’annonces faites par le Ministère de la Culture dans la cadre de « l’Automne numérique« , qui traduisent un changement d’orientations significatif en faveur de l’ouverture. J’ai critiqué la politique culturelle qui a été conduite dans ce pays pendant des années sous l’ancien gouvernement et celui-ci n’avait pas jusqu’à présent réellement modifié le cap. Mais depuis plusieurs mois, on avait commencé à relever des signes encourageants en faveur de l’ouverture, notamment avec la parution en mars dernier du Guide Dataculture sur la réutilisation des données culturelles, et la publication d’une feuille de route Open Data en juillet
Il s’est produit cette semaine une série d’évènements et d’annonces faites par le Ministère de la Culture dans la cadre de « l’Automne numérique« , qui traduisent un changement d’orientations significatif en faveur de l’ouverture. J’ai critiqué la politique culturelle qui a été conduite dans ce pays pendant des années sous l’ancien gouvernement et celui-ci n’avait pas jusqu’à présent réellement modifié le cap. Mais depuis plusieurs mois, on avait commencé à relever des signes encourageants en faveur de l’ouverture, notamment avec la parution en mars dernier du Guide Dataculture sur la réutilisation des données culturelles, et la publication d’une feuille de route Open Data en juillet
La forte mobilisation de la communauté OpenStreetMap après le passage du terrible typhon Haiyan aux Philippines fournit une aide précieuse à la la Croix-Rouge sur le terrain.
« Quand les défenseurs des données ouvertes discutent à propos des licences de données, ils discutent rarement en termes de vie ou de mort. »
« Quand les défenseurs des données ouvertes discutent à propos des licences de données, ils discutent rarement en termes de vie ou de mort. »
J’ai déjà eu l’occasion de l’écrire à de nombreuses reprises : l’ouverture des données publiques s’est avérée délicate dans le champ culturel et c’est en particulier vrai pour les archives, où l’on ne trouvait jusqu’à la semaine dernière aucun exemple de démarche que l’on puisse vraiment qualifier d’Open Data. Mais les archives municipales de la Ville de Toulouse ont publié un nouveau règlement relatif à la réutilisation de leurs données qui démontre que l’Open Data est possible pour les archives. Au-delà du seul secteur culturel, ce règlement est également important, parce que pour la première fois, il comporte une clause de partage à l’identique (Share Alike) directement construite à partir de la loi du 17 juillet 1978. Or ce mécanisme, déjà bien connu du secteur du logiciel libre, est susceptible de jouer un rôle régulateur dans les rapports entre secteur public et secteur privé, en empêchant le retour d’enclosures sur les données.
Open Food Facts est un peu le OpenStreetMap de la nourriture. Le but principal d'Open Food Facts est de récolter une base de données des ingrédients et informations nutritionnelles de tous les produits qu'on peut trouver sur le marché. La base de données est entretenue grâce au système de crowdsourcing, c'est à dire que chaque personne peut modifier ou ajouter des données.
Le projet est encore récent. Il a commencé en mai 2012. La base de données d'Open Food Facts est sous licence Open Database License (ODBL).
Le projet est encore récent. Il a commencé en mai 2012. La base de données d'Open Food Facts est sous licence Open Database License (ODBL).
L’Elysée a annoncé hier par le biais de son fil Twitter qu’il "ouvrait ses données" dans une nouvelle rubrique de son site. Un premier ensemble de données, comme la frise chronologique des activités de la Présidence ou les statistiques de consultation du site Elysée.fr, sont disponibles au téléchargement, dans des formats adaptés (XML ou JSON).
J’ai à de nombreuses reprises eu l’occasion de déplorer dans ce blog que l’ouverture des données publiques était en panne dans ce pays en ce qui concerne le secteur culturel. Jusqu’à présent, la Culture était le mouton noir de l’Open Data en France, alors qu’à mon sens, elle aurait du être l’un des premiers domaines à embrasser ce mouvement.
Ces derniers mois de nombreux signes ministériels encouragent l’utilisation et la réalisation de logiciels et de ressources éducatives libres.
La circulaire Ayrault a montré la voie en septembre 2012. Le 10 juin dernier , Vincent Peillon a notamment annoncé la réalisation de ressources vidéos disponibles en « OpenData » (Attendons de voir quelle sera exactement cette licence). On peut évidemment regretter que la priorité aux logiciels libres et aux formats ouverts ait été retoquée dans le projet de loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République. Le contexte reste toutefois globalement positif.
La circulaire Ayrault a montré la voie en septembre 2012. Le 10 juin dernier , Vincent Peillon a notamment annoncé la réalisation de ressources vidéos disponibles en « OpenData » (Attendons de voir quelle sera exactement cette licence). On peut évidemment regretter que la priorité aux logiciels libres et aux formats ouverts ait été retoquée dans le projet de loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République. Le contexte reste toutefois globalement positif.
Vous avez déjà essayé de créer une carte personnalisée sur votre site ? Ce n’est pas toujours une partie de plaisir… Certains fournisseurs de map proposent des cartes très esthétiques, mais peu personnalisables, d’autres sont lourds à implémenter, bref, construire une carte à base d’open data peut être un parcours du combattant.
Ce guide ne cherche pas à être exhaustif, il s’agit surtout d’un partage d’expérience, fort limité du fait que je ne suis pas un développeur ou mappeur professionnel. En revanche, je pense bien représenter le public non-codeur qui souhaiterait passer ces obstacles, et si cet article peut aider un débutant comme moi à trouver des ressources, des idées et des bouts de code pour parvenir à réaliser son objectif, alors cet article aura joué son rôle.
N’hésitez pas à partager vos avis, critiques et conseils dans les commentaires !
On commencera par lister quelques exemples de cartes, on verra un ou deux exemples de plateformes de création de carte sans coder, puis on entrera dans les détails du code nécessaire pour monter une carte avec OpenLayers.
Ce guide ne cherche pas à être exhaustif, il s’agit surtout d’un partage d’expérience, fort limité du fait que je ne suis pas un développeur ou mappeur professionnel. En revanche, je pense bien représenter le public non-codeur qui souhaiterait passer ces obstacles, et si cet article peut aider un débutant comme moi à trouver des ressources, des idées et des bouts de code pour parvenir à réaliser son objectif, alors cet article aura joué son rôle.
N’hésitez pas à partager vos avis, critiques et conseils dans les commentaires !
On commencera par lister quelques exemples de cartes, on verra un ou deux exemples de plateformes de création de carte sans coder, puis on entrera dans les détails du code nécessaire pour monter une carte avec OpenLayers.
L'Open Data est l'une des grandes mesures du gouvernement dans le domaine du numérique. Alors que le mouvement est appelé à progresser, la CNIL annonce une consultation publique afin d'évaluer les incidences éventuelles de l'ouverture des données publiques sur la protection des données personnelles.
En marge de son séminaire numérique, le gouvernement a publié jeudi une feuille de route en matière d’ouverture et de partage des données publiques.
Ce texte comporte plusieurs éléments intéressants, qui viennent concrétiser la mesure n°15 annoncée lors du séminaire gouvernemental sur le numérique : « Faire de l’ouverture des données publiques le levier de la modernisation de l’activité publique ».
Ce texte comporte plusieurs éléments intéressants, qui viennent concrétiser la mesure n°15 annoncée lors du séminaire gouvernemental sur le numérique : « Faire de l’ouverture des données publiques le levier de la modernisation de l’activité publique ».
La nouvelle vient de tomber que le Tribunal Administratif de Poitiers a rejeté le recours de NotreFamille.com dans le contentieux qui l’opposait aux Archives départementales de la Vienne à propos de la réutilisation commerciale de données d’état civil. La décision du tribunal n’est pas encore accessible, mais elle paraît s’appuyer sur des motifs particulièrement surprenants et inquiétants pour le mouvement d’ouverture des données publiques.
Lors de la dernière édition des Entretiens du Nouveau Monde industriel qui avaient lieu les 17 et 18 décembre 2012 au Centre Pompidou, le sociologue Dominique Cardon a proposé une intéressante matrice pour comprendre à la fois les limites de la réutilisation des données ouvertes et celle des “Big Data“.
C’est sans doute l’une des phrases les plus célèbres prononcées à propos d’Internet : en 1984, l’auteur américain Stewart Brand lance au cours de la première Hacher’s Conference organisée en Californie :
Information wants to be free.
Ces mots deviendront l’un des slogans les plus forts du mouvement de la Culture libre et ils rencontrent encore aujourd’hui des échos importants, avec l’affaire Wikileaks par exemple, les révolutions arabes ou le mouvement de l’Open Data. L’idée de base derrière cette formule consiste à souligner que l’information sous forme numérique tend nécessairement à circuler librement et c’est la nature même d’un réseau comme internet de favoriser cette libération.
Mais les choses sont en réalité un peu plus complexes et Stewart Brand dès l’origine avait parfaitement conscience que la libre circulation de l’information était un phénomène qui engendrerait des conflits :
D’un côté, l’information veut avoir un prix, parce qu’elle a une grande valeur. Obtenir la bonne information au bon endroit peut tout simplement changer votre vie. D’un autre côté, l’information veut être libre, parce que le coût pour la produire devient de plus en plus faible. Nous avons une lutte entre ces deux tendances.
Ce conflit latent traverse toute l’histoire d’Internet et il atteint aujourd’hui une forme de paroxysme qui éclate dans une affaire comme celle de la Lex Google.
Information wants to be free.
Ces mots deviendront l’un des slogans les plus forts du mouvement de la Culture libre et ils rencontrent encore aujourd’hui des échos importants, avec l’affaire Wikileaks par exemple, les révolutions arabes ou le mouvement de l’Open Data. L’idée de base derrière cette formule consiste à souligner que l’information sous forme numérique tend nécessairement à circuler librement et c’est la nature même d’un réseau comme internet de favoriser cette libération.
Mais les choses sont en réalité un peu plus complexes et Stewart Brand dès l’origine avait parfaitement conscience que la libre circulation de l’information était un phénomène qui engendrerait des conflits :
D’un côté, l’information veut avoir un prix, parce qu’elle a une grande valeur. Obtenir la bonne information au bon endroit peut tout simplement changer votre vie. D’un autre côté, l’information veut être libre, parce que le coût pour la produire devient de plus en plus faible. Nous avons une lutte entre ces deux tendances.
Ce conflit latent traverse toute l’histoire d’Internet et il atteint aujourd’hui une forme de paroxysme qui éclate dans une affaire comme celle de la Lex Google.
Source : Recommandations pour l’ouverture des données et des contenus culturels (Framablog)
L'OPEN DATA EN FRANCE / RAPPORT OPEN GLAM : RECOMMANDATIONS POUR L’OUVERTURE DES DONNÉES ET DES CONTENUS CULTURELS
Rapport du groupe de travail « open GLAM »
Open Glam est un réseau informel de personnes et d’organisations cherchant à favoriser l’ouverture des contenus conservés ou produits par les institutions culturelles (GLAM : Galleries, Libraries, Archives, Museums – Bibliothèques, archives et musées).
Souhaitant contribuer au mouvement d’ouverture des données et contenus culturels, notre groupe de travail a étudié les enjeux relatifs aux démarches à l’œuvre dans les institutions culturelles françaises, s’est intéressé aux principaux points de blocage freinant cette diffusion et a formulé quelques préconisations et pistes d’évolution pour l’administration et le législateur, dans un esprit constructif de corésolution des problèmes.
TÉLÉCHARGEZ LE RAPPORT
Rapport du groupe de travail « open GLAM »
Open Glam est un réseau informel de personnes et d’organisations cherchant à favoriser l’ouverture des contenus conservés ou produits par les institutions culturelles (GLAM : Galleries, Libraries, Archives, Museums – Bibliothèques, archives et musées).
Souhaitant contribuer au mouvement d’ouverture des données et contenus culturels, notre groupe de travail a étudié les enjeux relatifs aux démarches à l’œuvre dans les institutions culturelles françaises, s’est intéressé aux principaux points de blocage freinant cette diffusion et a formulé quelques préconisations et pistes d’évolution pour l’administration et le législateur, dans un esprit constructif de corésolution des problèmes.
TÉLÉCHARGEZ LE RAPPORT
Open Glam est un réseau international informel de personnes et d’organisations cherchant à favoriser l’ouverture des contenus conservés ou produits par les institutions culturelles (Glam etant l’acronyme anglais de Galleries, Libraries, Archives, Museums).
Adrienne Charmet-Alix (Wikimédia France), Primavera De Filippi (Open Knowledge Foundation), Benjamin Jean (inno³, Veni Vidi Libri, Framasoft) et Lionel Maurel (BDIC, auteur du blog S.I.Lex), tous quatre membres d’Open Glam (parité respectée[1]), viennent de mettre en ligne un document important en direction du Ministère français de la Culture : Recommandations pour l’ouverture des données et des contenus culturels.
C’est solide, sérieux et technique mais n’allez pas penser que c’est rébarbatif à lire pour le non juriste. Bien au contraire, Open Data, mutualisation, numérisation, interopérabilité, domaine public (où il y a tant à faire), cession de droits des fonctionnaires, licences copyleft… c’est très instructif et cela dessine en plein et en creux les contours d’une situation qui doit d’autant plus évoluer qu’il s’agit de nos deniers publics et que l’époque est certes à leur parcimonieux usage mais également à la culture du partage.
Framasoft soutient l’initiative de l’intérieur, puisque Benjamin Jean a participé de près à sa rédaction, mais également vers l’extérieur en contribuant à sa diffusion. Et plus nous seront nombreux à en faire de même, plus nous aurons de chances d’être écoutés en haut lieu.
Le document est sous double licence Art Libre et Creative Commons By-Sa. Nous en avons reproduit ci-dessous les proposition ainsi que l’introduction.
Propositions du rapport
Adrienne Charmet-Alix (Wikimédia France), Primavera De Filippi (Open Knowledge Foundation), Benjamin Jean (inno³, Veni Vidi Libri, Framasoft) et Lionel Maurel (BDIC, auteur du blog S.I.Lex), tous quatre membres d’Open Glam (parité respectée[1]), viennent de mettre en ligne un document important en direction du Ministère français de la Culture : Recommandations pour l’ouverture des données et des contenus culturels.
C’est solide, sérieux et technique mais n’allez pas penser que c’est rébarbatif à lire pour le non juriste. Bien au contraire, Open Data, mutualisation, numérisation, interopérabilité, domaine public (où il y a tant à faire), cession de droits des fonctionnaires, licences copyleft… c’est très instructif et cela dessine en plein et en creux les contours d’une situation qui doit d’autant plus évoluer qu’il s’agit de nos deniers publics et que l’époque est certes à leur parcimonieux usage mais également à la culture du partage.
Framasoft soutient l’initiative de l’intérieur, puisque Benjamin Jean a participé de près à sa rédaction, mais également vers l’extérieur en contribuant à sa diffusion. Et plus nous seront nombreux à en faire de même, plus nous aurons de chances d’être écoutés en haut lieu.
Le document est sous double licence Art Libre et Creative Commons By-Sa. Nous en avons reproduit ci-dessous les proposition ainsi que l’introduction.
Propositions du rapport
Europeana, la médiathèque co-financée par l'Union Europénne, a annoncé mercredi la mise en ligne d'un ensemble de métadonnées couvrant 20 millions d'oeuvres numérisées, sous une licence gratuite qui autorise toute forme d'exploitation.
Excellente nouvelle pour les développeurs, et pour les amateurs d'art. Alors qu'en France les données culturelles sont exclues du champs des données devant être offertes librement au public, Europeana a annoncé mercredi l'ouverture de ses métadonnées couvrant 20 millions d'oeuvres référencées, dans 29 langues. Les données accessibles via une API sont publiées sous une licence Creative Commons CC0, la plus généreuse de toutes, qui autorise quiconque à exploiter l'ensemble gratuitement, y compris à des fins commerciales, sans aucune restriction.
Cette initiative, d'une ampleur inédite au monde, "offre un nouvel élan à l'économie numérique, en fournissant aux entrepreneurs électroniques de nouvelles opportunités pour créer des applications et des jeux innovants pour les tablettes et smartphones, et pour créer de nouveaux services et portails web", estime Europeana.
Excellente nouvelle pour les développeurs, et pour les amateurs d'art. Alors qu'en France les données culturelles sont exclues du champs des données devant être offertes librement au public, Europeana a annoncé mercredi l'ouverture de ses métadonnées couvrant 20 millions d'oeuvres référencées, dans 29 langues. Les données accessibles via une API sont publiées sous une licence Creative Commons CC0, la plus généreuse de toutes, qui autorise quiconque à exploiter l'ensemble gratuitement, y compris à des fins commerciales, sans aucune restriction.
Cette initiative, d'une ampleur inédite au monde, "offre un nouvel élan à l'économie numérique, en fournissant aux entrepreneurs électroniques de nouvelles opportunités pour créer des applications et des jeux innovants pour les tablettes et smartphones, et pour créer de nouveaux services et portails web", estime Europeana.