14046 shaares
147 results
tagged
FRAMASOFT
Framasoft lance la seconde saison de sa campagne « Dégooglisons Internet », annoncée sur le Framablog.
Partie il y a pile un an à l'assaut de la montagne GAFAM en tongs et en shorts, l'équipe de Framasoft semble avoir réussi à tenir son pari de mettre à disposition du public pas moins de 15 services libres en un an. Pas mal. Mais l'objectif de ses membres est d'aller encore au moins deux fois plus loin. Et ils n'y arriveront qu'avec votre aide.
* Le site « Dégooglisons Internet »
* Framablog : lancement de la campagne (7 oct. 2014)
* Framablog : billet anniversaire (5 oct 2015)
* Dossier de presse et bannières
* Soutenir Framasoft (donnez des sioux)
Partie il y a pile un an à l'assaut de la montagne GAFAM en tongs et en shorts, l'équipe de Framasoft semble avoir réussi à tenir son pari de mettre à disposition du public pas moins de 15 services libres en un an. Pas mal. Mais l'objectif de ses membres est d'aller encore au moins deux fois plus loin. Et ils n'y arriveront qu'avec votre aide.
* Le site « Dégooglisons Internet »
* Framablog : lancement de la campagne (7 oct. 2014)
* Framablog : billet anniversaire (5 oct 2015)
* Dossier de presse et bannières
* Soutenir Framasoft (donnez des sioux)
Si vous vous intéressez un peu au logiciel libre, vous connaissez sans doute Framasoft. L'année dernière, ils avaient lancé un initiative baptisée Dégooglisons Internet qui avait pour but de sensibiliser la Gaule au problème de la centralisation de nos données chez les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) mais aussi de donner les clés à tous ceux qui le désiraient pour utiliser ou mettre en place des solutions alternatives, libres et non centralisées...
Pour cela, ils ont donc collecté des sous, ont adapté et mis en ligne des outils libres qui sont ouverts à tous et qui permettent surtout de montrer que c'est faisable et utilisable et que chacun peut aussi faire son propre Frama-chose-fork dans son coin. Je tire quand même mon chapeau aux techniciens qui ont bossé sur tout ça et qui vont maintenant devoir maintenir ces services avec les dons que feront les gens à l'association. Bon courage!
Durant cette première année, on a donc vu naitre :
Pour cela, ils ont donc collecté des sous, ont adapté et mis en ligne des outils libres qui sont ouverts à tous et qui permettent surtout de montrer que c'est faisable et utilisable et que chacun peut aussi faire son propre Frama-chose-fork dans son coin. Je tire quand même mon chapeau aux techniciens qui ont bossé sur tout ça et qui vont maintenant devoir maintenir ces services avec les dons que feront les gens à l'association. Bon courage!
Durant cette première année, on a donc vu naitre :
Envoyer un email, c’est bien. Mettre en pièce jointe l’ensemble de ses photos de vacances c’est… trop volumineux. Au mieux, vous remplirez la boite email de vos destinataires en moins de temps qu’il en faut pour dire “Tux” ; au pire, ça ne marchera pas. Mais ne vous inquiétez pas, il y a un Framachin pour ça : Framadrop.
Héberger ses fichiers sur les disques durs de GAFAM…
Pierre et Dominique Dupuis-Morizeau veulent envoyer la vidéo des premiers pas de leur petiot, mais ça ne passe pas dans l’email. Aucune envie de mettre cette vidéo sur YouTube ou Facebook, pour que leurs logiciels de reconnaissance faciale enregistrent déjà le visage du chérubin… La seule solution, c’est qu’ils hébergent le fichier vidéo et en partagent le lien de téléchargement. L’héberger oui… mais où ?
MégaUpload a fermé, Mega l’a remplacé, mais quelle maîtrise a-t-on vraiment des fichiers qu’on dépose sur son compte… ? WeTransfer semble bien pratique, mais jusqu’à quand laisseront-ils la vidéo sur leur disques durs ? Et d’ailleurs où se trouvent ces disques durs, hein ? Qui peut y accéder, et voir la vidéo à son tour… ? Le FBI peut-il repérer la grande sœur du nouveau marcheur, qu’on aperçoit au fond de la vidéo ?
Héberger ses fichiers, c’est forcément les mettre sur le disque dur de quelqu’un d’autre. D’une entreprise qui pensera plus à ses profits qu’à la protection de notre vie privée. Comment cet hébergeur peut-il nous assurer qu’il ne farfouille pas dans nos données ? Quel outil peut nous permettre d’avoir vraiment confiance ?
Héberger ses fichiers sur les disques durs de GAFAM…
Pierre et Dominique Dupuis-Morizeau veulent envoyer la vidéo des premiers pas de leur petiot, mais ça ne passe pas dans l’email. Aucune envie de mettre cette vidéo sur YouTube ou Facebook, pour que leurs logiciels de reconnaissance faciale enregistrent déjà le visage du chérubin… La seule solution, c’est qu’ils hébergent le fichier vidéo et en partagent le lien de téléchargement. L’héberger oui… mais où ?
MégaUpload a fermé, Mega l’a remplacé, mais quelle maîtrise a-t-on vraiment des fichiers qu’on dépose sur son compte… ? WeTransfer semble bien pratique, mais jusqu’à quand laisseront-ils la vidéo sur leur disques durs ? Et d’ailleurs où se trouvent ces disques durs, hein ? Qui peut y accéder, et voir la vidéo à son tour… ? Le FBI peut-il repérer la grande sœur du nouveau marcheur, qu’on aperçoit au fond de la vidéo ?
Héberger ses fichiers, c’est forcément les mettre sur le disque dur de quelqu’un d’autre. D’une entreprise qui pensera plus à ses profits qu’à la protection de notre vie privée. Comment cet hébergeur peut-il nous assurer qu’il ne farfouille pas dans nos données ? Quel outil peut nous permettre d’avoir vraiment confiance ?
Framadate, le « Doodle du Libre » est une exception chez nous. En effet, Framasoft n’est pas une association de développeurs. Oh, bien entendu il y en a par chez nous (et y’en a des biens, comme dirait l’autre), mais dès le départ les projets de Framasoft se sont orientés vers la mise en valeur du code des autres, et à faciliter l’accès à ces créations de l’esprit existantes dans le monde du Libre. Sauf que toute règle a ses exceptions.
Bienvenue sur le service le plus visité de Framasoft
Sincèrement, il y a encore quelques semaines, nous pensions que Framapad était notre service le plus utilisé. Mais nous avons eu la chance d’avoir Quentin, un frama-stagiaire à toute épreuve, qui nous a concocté un outil pour recueillir les statistiques du réseau Framasoft. Visiblement, vous êtes plus nombreux à utiliser Framadate que Framapad. il faut dire qu’avec la possibilité de planifier une réunion (ou des vacances), de choisir les pizzas entre ami-e-s ou encore de prendre une décision en commun, ce petit outil libre et respectueux de vos données est bien pratique… et donc fortement utilisé.
Bienvenue sur le service le plus visité de Framasoft
Sincèrement, il y a encore quelques semaines, nous pensions que Framapad était notre service le plus utilisé. Mais nous avons eu la chance d’avoir Quentin, un frama-stagiaire à toute épreuve, qui nous a concocté un outil pour recueillir les statistiques du réseau Framasoft. Visiblement, vous êtes plus nombreux à utiliser Framadate que Framapad. il faut dire qu’avec la possibilité de planifier une réunion (ou des vacances), de choisir les pizzas entre ami-e-s ou encore de prendre une décision en commun, ce petit outil libre et respectueux de vos données est bien pratique… et donc fortement utilisé.
Nous aimons les beaux outils qui permettent de s’organiser pour collaborer… mais trop souvent, ce sont des services qui en profitent pour en apprendre beaucoup sur nous. Beaucoup plus en tout cas que ce que nous voudrions leur confier ! Voici un nouvel exemple d’alternative libre qui vous permettra de maîtriser vos projets sans êtres pistés.
Trello c’est bien gentil…
organized cat…mais c’est centralisé ! Trello, un service de gestion de projets, n’est sans doute pas le plus imposant des services que l’on souhaite voir « dégooglisé » mais il n’en reste pas moins un service propriétaire basé aux États-Unis. Les données qu’on lui confie sont donc transférées on-ne-sait-où et ça, en bons Gaulois que nous sommes, ça nous met hors de nous.
Nous avons donc relevé le défi de vous proposer une alternative LEDS à Trello. Celle-ci repose sur le logiciel Kanboard développé par le très productif Frédéric Guillot. Initié au début de l’année 2014, le projet n’a cessé de grandir avec toujours plus de nouvelles fonctionnalités. C’est parce qu’il nous semblait être robuste, de qualité et avec une forte communauté derrière que nous avons fait le choix de Kanboard. De plus, sa simplicité d’installation en fait un candidat de choix pour notre mission d’essaimage !
C’est sous le nom de Framaboard que nous vous proposons ce nouveau service : https://framaboard.org/.
Trello c’est bien gentil…
organized cat…mais c’est centralisé ! Trello, un service de gestion de projets, n’est sans doute pas le plus imposant des services que l’on souhaite voir « dégooglisé » mais il n’en reste pas moins un service propriétaire basé aux États-Unis. Les données qu’on lui confie sont donc transférées on-ne-sait-où et ça, en bons Gaulois que nous sommes, ça nous met hors de nous.
Nous avons donc relevé le défi de vous proposer une alternative LEDS à Trello. Celle-ci repose sur le logiciel Kanboard développé par le très productif Frédéric Guillot. Initié au début de l’année 2014, le projet n’a cessé de grandir avec toujours plus de nouvelles fonctionnalités. C’est parce qu’il nous semblait être robuste, de qualité et avec une forte communauté derrière que nous avons fait le choix de Kanboard. De plus, sa simplicité d’installation en fait un candidat de choix pour notre mission d’essaimage !
C’est sous le nom de Framaboard que nous vous proposons ce nouveau service : https://framaboard.org/.
Vous connaissez déjà probablement Framapad. En vous offrant, à portée de clic, la possibilité de collaborer sur un texte à plusieurs clairement et aisément, nos installations du logiciel Etherpad ont eu un succès tel qu’elles se sont multipliées sur nos serveurs.
Il manquait néanmoins une fonctionnalité importante à ces pages d’écriture collaborative en ligne : la possibilité de créer vos dossiers, et de travailler en groupe de manière privée et organisée. Grâce à un financement collaboratif, nous avons pu engager un développeur pour travailler sur ce point, et le résultat s’appelle : MyPads.
Il manquait néanmoins une fonctionnalité importante à ces pages d’écriture collaborative en ligne : la possibilité de créer vos dossiers, et de travailler en groupe de manière privée et organisée. Grâce à un financement collaboratif, nous avons pu engager un développeur pour travailler sur ce point, et le résultat s’appelle : MyPads.
Il faut rester honnête : Dropbox est un service qui a su populariser l’usage du stockage et partage de fichiers dans les nuages, en proposant une « première dose gratuite. »
Nous l’avions annoncé l’an passé : Dégooglisons Internet est un projet sur 3 ans. Après une première année qui a dépassé toutes nos espérances, nous avons décidé d’attaquer cet « an 2 de la dégooglisation » en fanfare, en vous proposant 5 nouveaux services (et mises à jour majeures) qui seront présentés sur le Framablog tout au long de la semaine.
Mais nous ne perdons pas de vue l’essentiel : le succès de la première saison et ce que nous allons en faire dans la deuxième, c’est à vous que nous le devons.
Mais nous ne perdons pas de vue l’essentiel : le succès de la première saison et ce que nous allons en faire dans la deuxième, c’est à vous que nous le devons.
Que le détournement de la carte d’Astérix illustrant notre campagne Dégooglisons Internet ne vous trompe pas : quand on promeut le Libre en français, ce n’est pas simplement pour un petit hexagone, mais bien au profit de toute la francophonie.
C’est une des joies de nos internets : pouvoir partager des projets (et du code ^^ !) avec des personnes éloignées géographiquement mais proches aussi bien par la langue que par les valeurs.
Pour la prochaine Semaine Québécoise de L’Informatique Libre (du 19 au 26 septembre 2015), FACIL invite Framasoft à parler de ses expériences et de ses projets, mais surtout à échanger avec la communauté libriste du Québec.
Une occasion rêvée pour le Framablog d’ouvrir ses lignes à Mathieu Gaultier-Pilote, président de FACIL, afin de mieux présenter et connaître ce qui se passe chez nos ami-e-s d’outre-Atlantique…
C’est une des joies de nos internets : pouvoir partager des projets (et du code ^^ !) avec des personnes éloignées géographiquement mais proches aussi bien par la langue que par les valeurs.
Pour la prochaine Semaine Québécoise de L’Informatique Libre (du 19 au 26 septembre 2015), FACIL invite Framasoft à parler de ses expériences et de ses projets, mais surtout à échanger avec la communauté libriste du Québec.
Une occasion rêvée pour le Framablog d’ouvrir ses lignes à Mathieu Gaultier-Pilote, président de FACIL, afin de mieux présenter et connaître ce qui se passe chez nos ami-e-s d’outre-Atlantique…
Tout en travaillant d’arrache-pied à la suite de notre (modeste) plan de libération of ze monde, les membres de Framasoft se plient en quatre pour venir à votre rencontre aux cinq coins de l’hexagone et même au-delà !
Un septembre Francophone (mais pas que)
Framasoft invité au Québec ! Les idées du Libre s’échangent et essaiment partout où l’on partage la même langue et les mêmes valeurs… Ce qui n’empêche pas un de nos valeureux bénévoles de parler de nos projets dans la langue de Stallman… à Nantes ! Petit tour d’horizon d’un mois bien chargé :
(...)
Un automne loin d’être monotone
Avant que la police des jeux de mots ne nous mette à l’amende pour ce titre forcément illégal, voici le programme (non exhaustif) des mois à venir, encore une fois dans la francophonie puisque nous passerons par la Suisse :
(...)
Un septembre Francophone (mais pas que)
Framasoft invité au Québec ! Les idées du Libre s’échangent et essaiment partout où l’on partage la même langue et les mêmes valeurs… Ce qui n’empêche pas un de nos valeureux bénévoles de parler de nos projets dans la langue de Stallman… à Nantes ! Petit tour d’horizon d’un mois bien chargé :
(...)
Un automne loin d’être monotone
Avant que la police des jeux de mots ne nous mette à l’amende pour ce titre forcément illégal, voici le programme (non exhaustif) des mois à venir, encore une fois dans la francophonie puisque nous passerons par la Suisse :
(...)
C’est la canicule, on sort les recettes d’eau libre (à consommer avec modération ^^), les stands, les beaux T-shirts… c’est officiel, on arrive à l’été des Rencontres et échanges Libristes !
* RMLL 2015 : rendez-vous à Beauvais :
Rendez-vous incontournable du monde Libre, les « ReuMeuLeuLeu » (ou Rencontres Mondiales du Logiciel Libre) sont cette années accueillies et organisées par Beauvais, et c’est du 4 au 11 Juillet !
Comme nous vous l’avions annoncé, nous ne tiendrons un stand que lors des Journées Grand Public (samedi 4 et dimanche 5 juillet). Ce qui nous nous empêchera pas d’être présents lors du reste des rencontres, que ce soit entre les stands (un indice : repérez les badges « Framateam ») ou durant des conférences.
Car les RMLL proposent un programme complet de conférences, tables rondes et autre réjouissances auxquelles Framasoft se joint avec plaisir…
* Résistances, du cinéma et des idées :
Du 3 au 11 juillet, dans la ville de Foix[1] (en Ariège), a lieu un festival de cinéma aussi engageant qu’engagé : Résitances.
L’idée de ce festival, qui fête cette année sa 19e édition, est de mettre en valeur des films qui bousculent notre vision du monde, montrent d’autres façons de vivre, de voir de raconter et de partager… bref : qui nous nourrissent l’esprit comme la société.
Framasoft sera présent lors du week-end final (10 et 11 juillet) à l’occasion de leur thématique Une civilisation du partage. l’occasion pour nous d’échanger avec un public pas forcément rompu aux codes du Libre, et pour Pouhiou de réitérer sa conférence Créateurs, la confiance paye…
Voilà pour les quelques rencontres estivales… promis, il y aura encore plus d’occasions de se voir, de boire de la limonade libre (avec modération ^^) et de parler Dégooglisation dès la rentrée !
* RMLL 2015 : rendez-vous à Beauvais :
Rendez-vous incontournable du monde Libre, les « ReuMeuLeuLeu » (ou Rencontres Mondiales du Logiciel Libre) sont cette années accueillies et organisées par Beauvais, et c’est du 4 au 11 Juillet !
Comme nous vous l’avions annoncé, nous ne tiendrons un stand que lors des Journées Grand Public (samedi 4 et dimanche 5 juillet). Ce qui nous nous empêchera pas d’être présents lors du reste des rencontres, que ce soit entre les stands (un indice : repérez les badges « Framateam ») ou durant des conférences.
Car les RMLL proposent un programme complet de conférences, tables rondes et autre réjouissances auxquelles Framasoft se joint avec plaisir…
* Résistances, du cinéma et des idées :
Du 3 au 11 juillet, dans la ville de Foix[1] (en Ariège), a lieu un festival de cinéma aussi engageant qu’engagé : Résitances.
L’idée de ce festival, qui fête cette année sa 19e édition, est de mettre en valeur des films qui bousculent notre vision du monde, montrent d’autres façons de vivre, de voir de raconter et de partager… bref : qui nous nourrissent l’esprit comme la société.
Framasoft sera présent lors du week-end final (10 et 11 juillet) à l’occasion de leur thématique Une civilisation du partage. l’occasion pour nous d’échanger avec un public pas forcément rompu aux codes du Libre, et pour Pouhiou de réitérer sa conférence Créateurs, la confiance paye…
Voilà pour les quelques rencontres estivales… promis, il y aura encore plus d’occasions de se voir, de boire de la limonade libre (avec modération ^^) et de parler Dégooglisation dès la rentrée !
Aujourd’hui, quittons un peu l’ambiance morose et faisons un petit point sur l’avancement du projet Dégooglisons Internet…
Et bien sûr, vous pouvez retrouver ces nombreux projets en ligne :
git.framasoft.org, la forge
Framabookin, le catalogue de livres libres
Framagames, des jeux libres
Framapic, un hébergeur d’images
Framabin, pour partager du texte
Huit.re, la perle des raccourcisseurs d’URL
Tonton Roger (oui, j’ai choisi mon camp)
Framapad et son évolution
Grise Bouille et GéGé (et ses nouveaux dessins)
Framacolibri, le forum pour participer
Et bien sûr, vous pouvez retrouver ces nombreux projets en ligne :
git.framasoft.org, la forge
Framabookin, le catalogue de livres libres
Framagames, des jeux libres
Framapic, un hébergeur d’images
Framabin, pour partager du texte
Huit.re, la perle des raccourcisseurs d’URL
Tonton Roger (oui, j’ai choisi mon camp)
Framapad et son évolution
Grise Bouille et GéGé (et ses nouveaux dessins)
Framacolibri, le forum pour participer
Parmi les divers services en ligne que nous proposons, il en est un plus… « particulier » que les autres : Framadate. On pourrait croire qu’un simple service de sondages et d’organisations de rendez-vous ferait figure d’outsider face à un tableur, un réseau social ou un service d’hébergement d’images chiffré et libre. Mais en vérité, Framadate est le deuxième service le plus visité de la galaxie Framasoft, ce juste derrière les framapads.
En témoignent aussi les nombreuses attentes, réflexions et propositions d’améliorations que nous apportent les utilisateurs et utilisatrices de ce service. Régulièrement, via notre formulaire de contact ou depuis notre git, nous recevons ces attentes, suggestions et râleries (ben ça arrive, aussi, hein ^^) auxquelles nous nous efforçons de répondre.
Car Framadate est une exception : basé sur Studs (un logiciel créé par l’université de Strasbourg) il s’agit du seul code maintenu et développé par Framasoft (sans compter ce que font certains de nos membres de leur côté… n’est-ce pas, Luc ?). Framasoft n’a pas vocation à créer du code : d’autres le font très bien, et nous sommes bien plus à notre aise à mettre en valeur leurs travaux.
Le tutoriel comme arme d’éducation populaire massive
La vocation première de Framasoft, c’est l’éducation populaire au Libre. Derrière l’expression un poil pompeuse se cache une volonté simple : amener plus de Libre dans la vie de la famille Dupuis-Morizeau (et même des Michus, bien qu’ils veulent qu’on leur fiche la paix ^^). Il s’agit pour nous d’aider à accomplir le travail qui reste une fois que le code est écrit, vérifié, testé, arrangé. Mettre ce logiciel en valeur, le faire connaître (en en parlant ou en démontrant ses vertus), parfois le traduire… ou l’expliquer.
Parler d’un logiciel (et/ou d’un service) Libre c’est bien. Dire qu’il ne faut plus utiliser Doodle mais Framadate, c’est énorme (et merci à vous qui le faites, on le voit chaque jour !). Mais qui pense à la solitude de papy Dupuis ou de cousine Morizeau lorsqu’ils se retrouvent devant ce nouveau logiciel, sans leurs repères ni leurs habitudes ? Qui pense aussi au petit dernier, qui commence à peine à tâter de la souris et veut organiser son goûter d’anniversaire, tout seul, comme un grand ?
En témoignent aussi les nombreuses attentes, réflexions et propositions d’améliorations que nous apportent les utilisateurs et utilisatrices de ce service. Régulièrement, via notre formulaire de contact ou depuis notre git, nous recevons ces attentes, suggestions et râleries (ben ça arrive, aussi, hein ^^) auxquelles nous nous efforçons de répondre.
Car Framadate est une exception : basé sur Studs (un logiciel créé par l’université de Strasbourg) il s’agit du seul code maintenu et développé par Framasoft (sans compter ce que font certains de nos membres de leur côté… n’est-ce pas, Luc ?). Framasoft n’a pas vocation à créer du code : d’autres le font très bien, et nous sommes bien plus à notre aise à mettre en valeur leurs travaux.
Le tutoriel comme arme d’éducation populaire massive
La vocation première de Framasoft, c’est l’éducation populaire au Libre. Derrière l’expression un poil pompeuse se cache une volonté simple : amener plus de Libre dans la vie de la famille Dupuis-Morizeau (et même des Michus, bien qu’ils veulent qu’on leur fiche la paix ^^). Il s’agit pour nous d’aider à accomplir le travail qui reste une fois que le code est écrit, vérifié, testé, arrangé. Mettre ce logiciel en valeur, le faire connaître (en en parlant ou en démontrant ses vertus), parfois le traduire… ou l’expliquer.
Parler d’un logiciel (et/ou d’un service) Libre c’est bien. Dire qu’il ne faut plus utiliser Doodle mais Framadate, c’est énorme (et merci à vous qui le faites, on le voit chaque jour !). Mais qui pense à la solitude de papy Dupuis ou de cousine Morizeau lorsqu’ils se retrouvent devant ce nouveau logiciel, sans leurs repères ni leurs habitudes ? Qui pense aussi au petit dernier, qui commence à peine à tâter de la souris et veut organiser son goûter d’anniversaire, tout seul, comme un grand ?
Vous le savez, les RMLL se dérouleront cette année du 4 au 10 juillet à Beauvais.
Pour beaucoup d’entre vous, c’est l’occasion de venir nous rencontrer, et parfois en profiter pour acheter les différents goodies Framasoft, des T-shirts aux livres édités par Framabook, en passant par les magnifiques stickers détourés et les CD Framazik.
Pour nous, cela représente une charge logistique importante, des stocks qui sont parfois détériorés, des quantités de produits souvent très supérieures à ce qui sera vendu, pour pouvoir satisfaire tout le monde. (Certes, l’année dernière, nous avons quelque peu sous-estimé le succès de nos nouveaux T-shirts). C’est pourquoi cette année, nous allons proposer une nouvelle formule.
Pour beaucoup d’entre vous, c’est l’occasion de venir nous rencontrer, et parfois en profiter pour acheter les différents goodies Framasoft, des T-shirts aux livres édités par Framabook, en passant par les magnifiques stickers détourés et les CD Framazik.
Pour nous, cela représente une charge logistique importante, des stocks qui sont parfois détériorés, des quantités de produits souvent très supérieures à ce qui sera vendu, pour pouvoir satisfaire tout le monde. (Certes, l’année dernière, nous avons quelque peu sous-estimé le succès de nos nouveaux T-shirts). C’est pourquoi cette année, nous allons proposer une nouvelle formule.
On aime beaucoup la fondation Mozilla, et le plus poilu de nos navigateurs web : Firefox. Alors, forcément, parfois, on a envie d’être encore plus exigeants avec ceux qu’on aime en leur rappelant pourquoi on les aime.
Mozilla, Pocket et Framabag
Depuis quelques jours, Mozilla a poussé une mise à jour de FireFox intégrant l’application Pocket, un logiciel de lecture en différé… qui est privatif (mais pas le bout de code, intégré à Firefox 38.0.5 et suivants, qui lui est open source) et qui centralise nos données.
C’est d’autant plus dommage que des solutions réellement Libres et Open source existent, que ce soit Wallabag (dont nous avons ouvert une instance nommée Framabag) ou l’outil qui existait déjà dans Firefox (comme le rappelle Nicolas Lœuillet, un des développeurs de Wallabag, dans une discussion en anglais reproduite ici).
Alors voilà, chers ami-e-s de Mozilla, chers utilisateurs et utilisatrices de Firefox… On va pas vous faire la morale. Mozilla doit faire des choix, et à eux de savoir le prix des libertés qu’ils nous font gagner (en aidant Pocket à re-rédiger ses CGU, comme ils l’auraient fait) face à celles que l’on perdra (ensemble).
On veut juste en profiter pour démontrer, une fois de plus, les belles choses que permettent le Libre et le collaboratif.
Découvrez Framabag
Mozilla, Pocket et Framabag
Depuis quelques jours, Mozilla a poussé une mise à jour de FireFox intégrant l’application Pocket, un logiciel de lecture en différé… qui est privatif (mais pas le bout de code, intégré à Firefox 38.0.5 et suivants, qui lui est open source) et qui centralise nos données.
C’est d’autant plus dommage que des solutions réellement Libres et Open source existent, que ce soit Wallabag (dont nous avons ouvert une instance nommée Framabag) ou l’outil qui existait déjà dans Firefox (comme le rappelle Nicolas Lœuillet, un des développeurs de Wallabag, dans une discussion en anglais reproduite ici).
Alors voilà, chers ami-e-s de Mozilla, chers utilisateurs et utilisatrices de Firefox… On va pas vous faire la morale. Mozilla doit faire des choix, et à eux de savoir le prix des libertés qu’ils nous font gagner (en aidant Pocket à re-rédiger ses CGU, comme ils l’auraient fait) face à celles que l’on perdra (ensemble).
On veut juste en profiter pour démontrer, une fois de plus, les belles choses que permettent le Libre et le collaboratif.
Découvrez Framabag
Framapad — un de nos services Libre, Éthique, Décentralisé et Solidaire les plus utilisés — permet de rédiger des documents collaborativement et en temps réel.
Basé sur le logiciel libre Etherpad, Framapad héberge aujourd’hui plus de 300 000 documents, grâce à vos dons qui nous permettent de maintenir le service.
Malheureusement, ce service souffre de deux manques importants :
l’impossibilité de regrouper les pads créés (par exemple par thèmes, ou tout simplement pour les retrouver facilement plus tard) ;
l’impossibilité de protéger ses pads (pour protéger des données confidentielles, des travaux scolaires, etc.).
Le crowdfunding de MyPads
Framasoft avait donc lancé un appel à financement participatif, afin de collecter une somme qui permettrait de développer un module comblant ces deux lacunes.
La somme fut récoltée en quelques semaines, et nous avions donc pu nous lancer à la recherche d’un prestataire pour effectuer ce développement.
Débuté en janvier 2015, le développement a pris un peu de retard, mais l’adage du libre ne dit-il pas : « Ça sortira quand ça sera prêt » ?
Eh bien, bonne nouvelle : une première démo est disponible !
Basé sur le logiciel libre Etherpad, Framapad héberge aujourd’hui plus de 300 000 documents, grâce à vos dons qui nous permettent de maintenir le service.
Malheureusement, ce service souffre de deux manques importants :
l’impossibilité de regrouper les pads créés (par exemple par thèmes, ou tout simplement pour les retrouver facilement plus tard) ;
l’impossibilité de protéger ses pads (pour protéger des données confidentielles, des travaux scolaires, etc.).
Le crowdfunding de MyPads
Framasoft avait donc lancé un appel à financement participatif, afin de collecter une somme qui permettrait de développer un module comblant ces deux lacunes.
La somme fut récoltée en quelques semaines, et nous avions donc pu nous lancer à la recherche d’un prestataire pour effectuer ce développement.
Débuté en janvier 2015, le développement a pris un peu de retard, mais l’adage du libre ne dit-il pas : « Ça sortira quand ça sera prêt » ?
Eh bien, bonne nouvelle : une première démo est disponible !
Cet article est un écho à celui de Cyrille qui a dégainé le premier suite à la sollicitation d’une journaliste préparant un reportage pour Envoyé Spécial sur Google. Sollicitation que j’ai également reçue. J’avoue ne pas avoir encore eu le temps de lui répondre et tant qu’à faire j’avais envie de rendre cette réponse publique.
Pourquoi ? Pour la montrer du doigt ? Lui dire à quel point on ne veut pas qu’elle parle de nous ? Non absolument pas. C’est même plutôt positif et il faut la remercier pour cette opportunité qu’elle donne à la communauté du logiciel libre de s’exprimer et d’être visible sur ce qui est un « prime time » à grande écoute. Populariser cette notion de « dégooglisation » (décidément imprononçable) lancée par Framasoft est une bonne chose.
Pourquoi ? Pour la montrer du doigt ? Lui dire à quel point on ne veut pas qu’elle parle de nous ? Non absolument pas. C’est même plutôt positif et il faut la remercier pour cette opportunité qu’elle donne à la communauté du logiciel libre de s’exprimer et d’être visible sur ce qui est un « prime time » à grande écoute. Populariser cette notion de « dégooglisation » (décidément imprononçable) lancée par Framasoft est une bonne chose.
Comme nous le disions dans un article précurseur de notre projet de Degooglisation d’Internet : « nous n’avons pas peur, nous ne sommes pas résignés, et nous avons nous aussi une vision à long terme pour changer le monde. »
Libérer votre porte d’entrée au Web.
Parmi les plus importants outils qu’il faut libérer au plus vite : les moteurs de recherche. La dépendance du Web envers Google, fait de ce dernier un acteur monopolistique tout-puissant dont le moindre frémissement des algorithmes fait pâlir d’effroi les webmestres les plus endurcis, et peut faire perdre beaucoup d’argent à plus d’un acteur économique. L’autre aspect du moteur de la Firme réside dans la gigantesque base de données qu’elle contribue à alimenter, avec le consentement plus ou moins conscient des internautes eux-mêmes, en enregistrant nos recherches… c’est à dire aussi nos envies, nos souhaits, nos rêves.
Devrions-nous pour autant réinventer la roue ? Nul besoin de dénigrer le moteur de Google qui, qu’on le veuille ou non, constitue un outil formidablement efficace pour effectuer des recherches sur Internet. Si de surcroît on combine ces recherches avec celles d’autres moteurs, moins puissants mais plus spécialisés, le résultat s’avère apporter une plus-value objective.
Il n’est plus guère nécessaire aujourd’hui de vous rappeler quelle importance a la sécurité des données. Tel est pourtant bien le cœur du problème et d’autres que nous l’ont compris depuis longtemps. Ils proposent des solutions très confortables, certaines encore à l’état de projet. Ils mutualisent les puissances des moteurs de recherches dont celui de Google (on les appelle des métamoteurs) tout en garantissant la sécurité de nos identités, ou bien encore en passant par d’autres protocoles comme le P2P :
Duck Duck Go,
ixquick,
Searx,
Yacy,
Nutch,
Seeks.
Et Framasoft envoie : Framabee !
Libérer votre porte d’entrée au Web.
Parmi les plus importants outils qu’il faut libérer au plus vite : les moteurs de recherche. La dépendance du Web envers Google, fait de ce dernier un acteur monopolistique tout-puissant dont le moindre frémissement des algorithmes fait pâlir d’effroi les webmestres les plus endurcis, et peut faire perdre beaucoup d’argent à plus d’un acteur économique. L’autre aspect du moteur de la Firme réside dans la gigantesque base de données qu’elle contribue à alimenter, avec le consentement plus ou moins conscient des internautes eux-mêmes, en enregistrant nos recherches… c’est à dire aussi nos envies, nos souhaits, nos rêves.
Devrions-nous pour autant réinventer la roue ? Nul besoin de dénigrer le moteur de Google qui, qu’on le veuille ou non, constitue un outil formidablement efficace pour effectuer des recherches sur Internet. Si de surcroît on combine ces recherches avec celles d’autres moteurs, moins puissants mais plus spécialisés, le résultat s’avère apporter une plus-value objective.
Il n’est plus guère nécessaire aujourd’hui de vous rappeler quelle importance a la sécurité des données. Tel est pourtant bien le cœur du problème et d’autres que nous l’ont compris depuis longtemps. Ils proposent des solutions très confortables, certaines encore à l’état de projet. Ils mutualisent les puissances des moteurs de recherches dont celui de Google (on les appelle des métamoteurs) tout en garantissant la sécurité de nos identités, ou bien encore en passant par d’autres protocoles comme le P2P :
Duck Duck Go,
ixquick,
Searx,
Yacy,
Nutch,
Seeks.
Et Framasoft envoie : Framabee !
Depuis le lancement de Framapad en 2011, son succès ne s’est pas démenti. Pour preuve, nos serveurs s’écroulent ! C’est pourquoi, depuis maintenant près de 2 ans, nous multiplions les instances d’Etherpad afin de garder un service réactif.
Les soucis à répétition sur notre infrastructure qui ont eu lieu pendant les deux premiers mois de 2015 ont monopolisé notre attention. Du coup, la dernière instance de Framapad, lite5, s’est retrouvée à héberger près de 90 000 pads ! Depuis son lancement à la mi-octobre, cela fait quand même 18 000 pads par mois, soit 600 nouveaux pads par jour, ou 25 pads par heure !
La nouvelle instance, lite6.framapad.org, mise en place il y a peu n’est pas hébergée sur le même serveur que les autres, ce qui devrait permettre de proposer des framapads plus réactifs et moins soumis aux plantages.
Les soucis à répétition sur notre infrastructure qui ont eu lieu pendant les deux premiers mois de 2015 ont monopolisé notre attention. Du coup, la dernière instance de Framapad, lite5, s’est retrouvée à héberger près de 90 000 pads ! Depuis son lancement à la mi-octobre, cela fait quand même 18 000 pads par mois, soit 600 nouveaux pads par jour, ou 25 pads par heure !
La nouvelle instance, lite6.framapad.org, mise en place il y a peu n’est pas hébergée sur le même serveur que les autres, ce qui devrait permettre de proposer des framapads plus réactifs et moins soumis aux plantages.
Après un mois de janvier si mouvementé qu’il nous a donné du travail jusqu’en février, nous avons pu reprendre le cap fixé par notre (modeste) Plan de Libération du Monde : Dégoogliser Internet.
À notre sens, il faut reconquérir les Internets service après service, afin de proposer au plus grand nombre des applications Libres, Ethiques, Décentralisées et Solidaires. C’est ce que nous avons fait vendredi en ouvrant notre GitLab alors que Google code ferme ses portes. C’est ce que nous poursuivons aujourd’hui en vous proposant trois services simples, efficaces, mais qui (nous l’espérons) faciliteront la vie d’un grand nombre d’internautes dans le plus grand respect de leurs libertés.
À notre sens, il faut reconquérir les Internets service après service, afin de proposer au plus grand nombre des applications Libres, Ethiques, Décentralisées et Solidaires. C’est ce que nous avons fait vendredi en ouvrant notre GitLab alors que Google code ferme ses portes. C’est ce que nous poursuivons aujourd’hui en vous proposant trois services simples, efficaces, mais qui (nous l’espérons) faciliteront la vie d’un grand nombre d’internautes dans le plus grand respect de leurs libertés.