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FRAMASOFT
De la légitimité
Michel Foucault, disparu il y a trente ans, proposait d’approcher les grandes questions du monde à travers le rapport entre savoir et pouvoir. Cette méthode a l’avantage de contextualiser le discours que l’on est en train d’analyser : quels discours permettent d’exercer quels pouvoirs ? Et quels pouvoirs sont censés induire quelles contraintes et en vertu de quels discours ? Dans un de ses plus célèbres ouvrages, Surveiller et punir[1], Foucault démontre les mécanismes qui permettent de passer de la démonstration publique du pouvoir d’un seul, le monarque qui commande l’exécution publique des peines, à la normativité morale et physique imposée par le contrôle, jusqu’à l’auto-censure. Ce n’est plus le pouvoir qui est isolé dans la forteresse de l’autorité absolue, mais c’est l’individu qui exerce lui-même sa propre coercition. Ainsi, Surveiller et punir n’est pas un livre sur la prison mais sur la conformation de nos rapports sociaux à la fin du XXe siècle.
Michel Foucault, disparu il y a trente ans, proposait d’approcher les grandes questions du monde à travers le rapport entre savoir et pouvoir. Cette méthode a l’avantage de contextualiser le discours que l’on est en train d’analyser : quels discours permettent d’exercer quels pouvoirs ? Et quels pouvoirs sont censés induire quelles contraintes et en vertu de quels discours ? Dans un de ses plus célèbres ouvrages, Surveiller et punir[1], Foucault démontre les mécanismes qui permettent de passer de la démonstration publique du pouvoir d’un seul, le monarque qui commande l’exécution publique des peines, à la normativité morale et physique imposée par le contrôle, jusqu’à l’auto-censure. Ce n’est plus le pouvoir qui est isolé dans la forteresse de l’autorité absolue, mais c’est l’individu qui exerce lui-même sa propre coercition. Ainsi, Surveiller et punir n’est pas un livre sur la prison mais sur la conformation de nos rapports sociaux à la fin du XXe siècle.
(...)
Autorité et PGP
La première diffusion de PGP était déjà illégale au regard du droit à l’exportation des produits de chiffrement, ce qui a valu à son créateur, Philip Zimmermann quelques ennuis juridiques au début des années 1990. La France a finalement suivi la politique nord-américaine concernant PGP en autorisant l’usage mais en restreignant son étendue. C’est l’esprit du décret 99-200 du 17 mars 1999, qui autorise, sans formalité préalable, l’utilisation d’une clé de chiffrement à condition qu’elle soit inférieure ou égale à 128 bits pour chiffrer des données. Au-delà, il fallait une autorisation jusqu’au vote de la Loi sur l’économie numérique en 2004, qui fait sauter le verrou des 128 bits (art. 30-1) pour l’usage du chiffrement (les moyens, les logiciels, eux, sont soumis à déclaration).
Autorité et PGP
La première diffusion de PGP était déjà illégale au regard du droit à l’exportation des produits de chiffrement, ce qui a valu à son créateur, Philip Zimmermann quelques ennuis juridiques au début des années 1990. La France a finalement suivi la politique nord-américaine concernant PGP en autorisant l’usage mais en restreignant son étendue. C’est l’esprit du décret 99-200 du 17 mars 1999, qui autorise, sans formalité préalable, l’utilisation d’une clé de chiffrement à condition qu’elle soit inférieure ou égale à 128 bits pour chiffrer des données. Au-delà, il fallait une autorisation jusqu’au vote de la Loi sur l’économie numérique en 2004, qui fait sauter le verrou des 128 bits (art. 30-1) pour l’usage du chiffrement (les moyens, les logiciels, eux, sont soumis à déclaration).
Trouver les bonnes clés
Cette logique du marché, doit être analysée avec d’autres outils que ceux de l’économie classique. L’impact de l’informationnalisation et la concentration des acteurs de l’économie numérique ont sans doute été largement sous-estimés, non pas pour les risques qu’ils font courir aux économies post-industrielles, mais pour les bouleversements sociaux qu’ils impliquent. Le besoin de défendre les droits et libertés sur Internet et ailleurs n’est qu’un effet collatéral d’une situation contre laquelle il est difficile d’opposer seulement des postures et des principes.
Cette logique du marché, doit être analysée avec d’autres outils que ceux de l’économie classique. L’impact de l’informationnalisation et la concentration des acteurs de l’économie numérique ont sans doute été largement sous-estimés, non pas pour les risques qu’ils font courir aux économies post-industrielles, mais pour les bouleversements sociaux qu’ils impliquent. Le besoin de défendre les droits et libertés sur Internet et ailleurs n’est qu’un effet collatéral d’une situation contre laquelle il est difficile d’opposer seulement des postures et des principes.
Techniques d’anticipation
On pense habituellement les objets techniques et les phénomènes sociaux comme deux choses différentes, voire parfois opposées. En plus de la nature, il y aurait deux autres réalités : d’un côté un monde constitué de nos individualités, nos rapports sociaux, nos idées politiques, la manière dont nous structurons ensemble la société ; et de l’autre côté le monde des techniques qui, pour être appréhendé, réclamerait obligatoirement des compétences particulières (artisanat, ingénierie). Nous refusons même parfois de comprendre nos interactions avec les techniques autrement que par automatisme, comme si notre accomplissement social passait uniquement par le statut d’utilisateur et jamais comme producteurs. Comme si une mise à distance devait obligatoirement s’établir entre ce que nous sommes (des êtres sociaux) et ce que nous produisons. Cette posture est au plus haut point paradoxale puisque non seulement la technologie est une activité sociale mais nos sociétés sont à bien des égards elles-mêmes configurées, transformées, et même régulées par les objets techniques. Certes, la compréhension des techniques n’est pas toujours obligatoire pour comprendre les faits sociaux, mais il faut avouer que bien peu de faits sociaux se comprennent sans la technique.
On pense habituellement les objets techniques et les phénomènes sociaux comme deux choses différentes, voire parfois opposées. En plus de la nature, il y aurait deux autres réalités : d’un côté un monde constitué de nos individualités, nos rapports sociaux, nos idées politiques, la manière dont nous structurons ensemble la société ; et de l’autre côté le monde des techniques qui, pour être appréhendé, réclamerait obligatoirement des compétences particulières (artisanat, ingénierie). Nous refusons même parfois de comprendre nos interactions avec les techniques autrement que par automatisme, comme si notre accomplissement social passait uniquement par le statut d’utilisateur et jamais comme producteurs. Comme si une mise à distance devait obligatoirement s’établir entre ce que nous sommes (des êtres sociaux) et ce que nous produisons. Cette posture est au plus haut point paradoxale puisque non seulement la technologie est une activité sociale mais nos sociétés sont à bien des égards elles-mêmes configurées, transformées, et même régulées par les objets techniques. Certes, la compréhension des techniques n’est pas toujours obligatoire pour comprendre les faits sociaux, mais il faut avouer que bien peu de faits sociaux se comprennent sans la technique.
Piller le code, imposer des usages
À la fin des années 1990, c’est au nom de ce réalisme capitaliste, que les promoteurs de l’Open Source Initiative avaient compris l’importance de maintenir des codes sources ouverts pour faciliter un terreau commun permettant d’entretenir le marché. Ils voyaient un frein à l’innovation dans les contraintes des licences du logiciel libre tel que le proposaient Richard Stallman et la Free Software Foundation (par exemple, l’obligation de diffuser les améliorations d’un logiciel libre sous la même licence, comme l’exige la licence GNU GPL – General Public License). Pour eux, l’ouverture du code est une opportunité de création et d’innovation, ce qui n’implique pas forcément de placer dans le bien commun les résultats produits grâce à cette ouverture. Pas de fair play : on pioche dans le bien commun mais on ne redistribue pas, du moins, pas obligatoirement.
À la fin des années 1990, c’est au nom de ce réalisme capitaliste, que les promoteurs de l’Open Source Initiative avaient compris l’importance de maintenir des codes sources ouverts pour faciliter un terreau commun permettant d’entretenir le marché. Ils voyaient un frein à l’innovation dans les contraintes des licences du logiciel libre tel que le proposaient Richard Stallman et la Free Software Foundation (par exemple, l’obligation de diffuser les améliorations d’un logiciel libre sous la même licence, comme l’exige la licence GNU GPL – General Public License). Pour eux, l’ouverture du code est une opportunité de création et d’innovation, ce qui n’implique pas forcément de placer dans le bien commun les résultats produits grâce à cette ouverture. Pas de fair play : on pioche dans le bien commun mais on ne redistribue pas, du moins, pas obligatoirement.
Techno-capitalisme
Longtemps nous avons cru que le versant obscur du capitalisme était le monopole. En écrasant le marché, en pratiquant des prix arbitraires, en contrôlant les flux et la production à tous les niveaux, un monopole est un danger politique. Devant la tendance monopolistique de certaines entreprises, le gouvernement américain a donc très tôt mis en place une stratégie juridique visant à limiter les monopoles. C’est le Sherman Anti-Trust Act du 2 juillet 1890, ce qui ne rajeunit pas l’économie moderne. Avec cette loi dont beaucoup de pays ont adopté les principes, le fameux droit de la concurrence a modelé les économies à une échelle mondiale. Mais cela n’a pas pour autant empêché l’apparition de monopoles. Parmi les entreprises ayant récemment fait l’objet de poursuites au nom de lois anti-trust sur le territoire américain et en Europe, on peut citer Microsoft, qui s’en est toujours tiré à bon compte (compte tenu de son placement financier).
Longtemps nous avons cru que le versant obscur du capitalisme était le monopole. En écrasant le marché, en pratiquant des prix arbitraires, en contrôlant les flux et la production à tous les niveaux, un monopole est un danger politique. Devant la tendance monopolistique de certaines entreprises, le gouvernement américain a donc très tôt mis en place une stratégie juridique visant à limiter les monopoles. C’est le Sherman Anti-Trust Act du 2 juillet 1890, ce qui ne rajeunit pas l’économie moderne. Avec cette loi dont beaucoup de pays ont adopté les principes, le fameux droit de la concurrence a modelé les économies à une échelle mondiale. Mais cela n’a pas pour autant empêché l’apparition de monopoles. Parmi les entreprises ayant récemment fait l’objet de poursuites au nom de lois anti-trust sur le territoire américain et en Europe, on peut citer Microsoft, qui s’en est toujours tiré à bon compte (compte tenu de son placement financier).
Les « framachins » se suivent et ne se ressemblent pas… et il est parfois difficile de les connaître tous et d’en faire profiter tout le monde autour de soi. Qu’à cela ne tienne, nous avons une communauté de bénévoles formidables qui prennent de bien belles initiatives sur le forum des Framacolibris.
Frédéric Véron, qui allie par ailleurs librisme et SVT, ainsi que Arpinux, qui œuvre aussi sur la distribution GNU-Linux pour débutants HandyLinux, nous ont donc concocté de mini-tuto-vidéos pour apprendre à utiliser certains de nos services… et montrer combien il peut être simple de commencer à se Dégoogliser.
Toute l’équipe de Framasoft tient à les remercier chaleureusement de leurs initiatives, ainsi que toutes ces personnes qui, souvent dans l’ombre, contribuent et participent aux projets que nous vous présentons…
Frédéric Véron, qui allie par ailleurs librisme et SVT, ainsi que Arpinux, qui œuvre aussi sur la distribution GNU-Linux pour débutants HandyLinux, nous ont donc concocté de mini-tuto-vidéos pour apprendre à utiliser certains de nos services… et montrer combien il peut être simple de commencer à se Dégoogliser.
Toute l’équipe de Framasoft tient à les remercier chaleureusement de leurs initiatives, ainsi que toutes ces personnes qui, souvent dans l’ombre, contribuent et participent aux projets que nous vous présentons…
Le libre fait bien souvent l’objet… d’objets ! Plus que des Frama-goodies (même si c’est, aussi, un moyen de nous soutenir) ce sont là des projets de longue date qui prennent enfin forme…
Au menu des nouveautés, un Framabook, une Framakey et des stickers !
Au menu des nouveautés, un Framabook, une Framakey et des stickers !
Titre : Quoi de neuf chez Framasoft ? Framasoft 2015.
Intervenants : Pierre-Yves Gosset - Pouhiou - Quesch
Lieu : Radio RMLL 2015 - Beauvais
Date : Juillet 2015
Durée : 41 min 35
Pour écouter le podcast
Transcription
Intervenants : Pierre-Yves Gosset - Pouhiou - Quesch
Lieu : Radio RMLL 2015 - Beauvais
Date : Juillet 2015
Durée : 41 min 35
Pour écouter le podcast
Transcription
J’ai eu l’idée de poser quelques questions à la super équipe de Framasoft. Histoire d’avoir leur avis sur la situation actuelle des internets, sur leurs projets, toussa quoi. Et ils ont répondu, rapidement et très gentiment, je les en remercie 😉 Y a pas à dire, il font vraiment du bon boulot, il faut continuer à les soutenir !
Allez, je leur laisse la place 😉
Allez, je leur laisse la place 😉
Notre tableur en ligne, basé sur le logiciel libre Ethercalc, est déjà largement utilisé… au point d’être parfois victime de son succès ! C’est bien connu : plus un logiciel (ou un service) a d’utilisateurs, plus ils souhaitent, suggèrent et apportent des améliorations et aident ainsi le logiciel à devenir meilleur…
Alors : prêt-e-s pour les améliorations apportées à ce millésime 2016 ? C’est parti !
Une mise à jour aussi grosse qu’une pilule bleue !
Alors : prêt-e-s pour les améliorations apportées à ce millésime 2016 ? C’est parti !
Une mise à jour aussi grosse qu’une pilule bleue !
Vous l’avez peut-être remarqué, mais la collection Framabook est active, et se diversifie de plus en plus… allant même défendre la Culture Libre dans la fiction !
Alors pour fêter cela, on s’est dit qu’on allait mettre nos auteur-e-s de romans Libre à l’honneur lors d’une dédicace… Car quoi de mieux pour faire découvrir le Libre aux Dupuis-Morizeau de notre entourage que de trouver au pied du sapin un roman dédicacé personnellement… Une histoire qu’ils peuvent adapter, reprendre, diffuser autour d’eux, voire dont ils peuvent écrire la suite… ?
Alors pour fêter cela, on s’est dit qu’on allait mettre nos auteur-e-s de romans Libre à l’honneur lors d’une dédicace… Car quoi de mieux pour faire découvrir le Libre aux Dupuis-Morizeau de notre entourage que de trouver au pied du sapin un roman dédicacé personnellement… Une histoire qu’ils peuvent adapter, reprendre, diffuser autour d’eux, voire dont ils peuvent écrire la suite… ?
Ce titre est probablement obscure pour beaucoup d’entre vous. Que signifie « GAFAM » et framasoften quoi menaceraient-ils internet ? Nous faisons ici un clin d’œil à une campagne citoyenne très courageuse lancée il y a un an par l’association française Framasoft, appelée « Dégoogelisons internet » . En préférant une variante tirée de l’acronyme « GAFAM » (Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft), nous ne stigmatisons pas un seul des géants du net, mais la fratrie toute entière. Pour être exhaustif, il faudrait en fait en ajouter d’autres (comme Dropbox, Doodle, Twitter,…), moins puissants mais appliquant la même recette : publicité individuelle ciblée et valorisation économique des données des internautes, sous couvert de prestations gratuites ou bon marché.
« Les Nouveaux Loup du Web » est un documentaire, et plus précisément la version française du documentaire « Terms and Conditions May Apply », qui démontre ce que les entreprises et les gouvernements peuvent apprendre sur vous au travers de votre vie numérique, le plus souvent à partir d’informations confiées volontairement à des services en ligne.
Nous vous proposons de venir découvrir ce film en avant première, ainsi qu’a participer au débat qui suivra, animé par des représentants de La Quadrature du Net et de Framasoft.
Nous vous proposons de venir découvrir ce film en avant première, ainsi qu’a participer au débat qui suivra, animé par des représentants de La Quadrature du Net et de Framasoft.
Installez-vous confortablement, nous allons vous conter l’histoire de Framapad, un service alternatif à Google Docs. Et nous en profiterons pour interviewer l’équipe de la société coopérative Bearstech, qui nous a bien sauvé la mise il y a quelques années…
Si vous suivez un peu l’actualité du libre et de Framasoft en particulier, vous avez sans doute entendu parlé des services lancés à l’occasion de l’an 2 de Dégooglisons Internet. Et outre la fameuse carte qui a été mise à jour (et animée par les soins de pyg avec les 2-3 petits sprites que je lui ai fournis), vous avez peut-être vu ce petit dessin animé de ma création :
Il y a un an pratiquement jour pour jour , notre blog relayait les débuts de cette «aventure». Vous voyez d’ailleurs toujours le lien à gauche de cette page.
Framasoft lance la saison 2 .... Et je me fais un plaisir de faire passer cette information afin de sensibiliser le grand public aux enjeux de la centralisation du Web vers des géants privatifs que sont Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft (GAFAM pour les intimes).
Le bilan au terme de la première année semble très positif mais il ne faut pas baisser la garde!
Pour les débutants/tes, suivez ce lien http://degooglisons-internet.org/ et cliquez sur la carte: vous verrez les alternatives libres proposées. N’hésitez pas à regarder, tester et poser des questions si besoin.
Le libre c’est bon mangez-en sans limite !
Framasoft lance la saison 2 .... Et je me fais un plaisir de faire passer cette information afin de sensibiliser le grand public aux enjeux de la centralisation du Web vers des géants privatifs que sont Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft (GAFAM pour les intimes).
Le bilan au terme de la première année semble très positif mais il ne faut pas baisser la garde!
Pour les débutants/tes, suivez ce lien http://degooglisons-internet.org/ et cliquez sur la carte: vous verrez les alternatives libres proposées. N’hésitez pas à regarder, tester et poser des questions si besoin.
Le libre c’est bon mangez-en sans limite !
Quelle semaine ! Avec cinq nouveautés et un nouvel élan pour entamer la deuxième année de la campagne « Dégooglisons Internet », nous espérions que la démarche vous plairait. Cela semble être le cas, alors du coup, nous voudrions à notre tour vous demander des services. 😉
Permettez-nous de poursuivre l’aventure
Permettez-nous de poursuivre l’aventure
Aujourd’hui, n’importe quel internaute utilise quotidiennement les services du géant Google et autres “GAFAM” (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft). Ceux-ci se servent d’ailleurs au passage de vos données personnelles pour les revendre ensuite. Ce qui n’est pas du goût de tout le monde est notamment de Framasoft qui porte le projet “Dégooglisons internet”.
Framasoft est une association de loi 1901 à but non lucratif, il s’agit plus largement d’une communauté de bénévoles qui œuvrent pour la promotion, la diffusion et le développement de logiciels libres et de sa culture.
Le projet “Dégooglisons Internet” consiste donc à proposer des alternatives à un maximum des services de ces géants du net en utilisant uniquement des logiciels libres, l’intérêt premier étant alors la protection des données personnelles lors de l’utilisation de ces services. Le mot clé : indépendance, l’indépendance des internautes vis à vis des géants du net.
Framasoft est une association de loi 1901 à but non lucratif, il s’agit plus largement d’une communauté de bénévoles qui œuvrent pour la promotion, la diffusion et le développement de logiciels libres et de sa culture.
Le projet “Dégooglisons Internet” consiste donc à proposer des alternatives à un maximum des services de ces géants du net en utilisant uniquement des logiciels libres, l’intérêt premier étant alors la protection des données personnelles lors de l’utilisation de ces services. Le mot clé : indépendance, l’indépendance des internautes vis à vis des géants du net.
Framasoft l'avait annoncé l'an dernier :
"Dégooglisons Internet est un projet sur 3 ans. Après une première année qui a dépassé toutes nos espérances, nous avons décidé d’attaquer cet « an 2 de la dégooglisation » en fanfare, en vous proposant 5 nouveaux services (et mises à jour majeures)"
En effet, cette première saison fut un grand succès avec l'aide des généreux contributeurs à ce fabuleux projet. Rappelons le encore :
"Dégooglisons Internet, c’est d’abord tenter de sensibiliser le grand public (nos fameux « Dupuis-Morizeau ») aux enjeux de la centralisation du Web vers des géants privatifs que sont Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft (GAFAM pour les intimes)."
Et ça marche plutôt bien !
"...de plus en plus de monde prend conscience des dangers que représentent les GAFAM quand ils raflent nos données et nos vies numériques. Sensibiliser est une première étape, encore faut-il démontrer qu’on peut faire autrement, proposer une alternative respectueuse, simple et fiable."
Ces douze derniers mois, l'équipe de Framasoft à très bien travaillé :
"Dégooglisons Internet est un projet sur 3 ans. Après une première année qui a dépassé toutes nos espérances, nous avons décidé d’attaquer cet « an 2 de la dégooglisation » en fanfare, en vous proposant 5 nouveaux services (et mises à jour majeures)"
En effet, cette première saison fut un grand succès avec l'aide des généreux contributeurs à ce fabuleux projet. Rappelons le encore :
"Dégooglisons Internet, c’est d’abord tenter de sensibiliser le grand public (nos fameux « Dupuis-Morizeau ») aux enjeux de la centralisation du Web vers des géants privatifs que sont Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft (GAFAM pour les intimes)."
Et ça marche plutôt bien !
"...de plus en plus de monde prend conscience des dangers que représentent les GAFAM quand ils raflent nos données et nos vies numériques. Sensibiliser est une première étape, encore faut-il démontrer qu’on peut faire autrement, proposer une alternative respectueuse, simple et fiable."
Ces douze derniers mois, l'équipe de Framasoft à très bien travaillé :