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ECONOMIE
Le Mouvement français pour un revenu de base (MFRB) a tenu son assemblée générale annuelle les 1er et 2 avril aux Grands voisins, à Paris. Un temps fort de l’association pour revenir sur les succès de 2016 et faire évoluer ses ambitions pour 2017.
Le revenu de base s’est immiscé au cœur de la présidentielle. L’idée : verser à chacun un revenu mensuel de sa naissance à sa mort, sans condition ni contrepartie. Pourquoi cette mesure est-elle autant reprise et fait-elle autant débat, à droite comme à gauche ? En quoi le revenu universel peut-il être un moyen d’émancipation ? Ne risque-t-il pas, au contraire, de renvoyer les femmes au foyer, ou de menacer la protection sociale ? En réalité, selon les mouvements, selon les courants politiques ou les économistes, le contenu de cette idée varie en profondeur. Quel montant, quel mode de financement ? Où le revenu de base est-il expérimenté ? Basta ! explore une question qui a le mérite de remettre le travail et la répartition des richesses au cœur du débat.
L’économiste Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du forum économique mondial, a exprimé son optimisme quant au revenu de base inconditionnel dans une interview au Hamburger Abendblatt, un quotidien de Hambourg en Allemagne. Schwab a qualifié l’idée de “basiquement plausible” et a prédit que le débat qui l’entoure se développerait dans la décennie à venir.
En octobre 2016, la Federal Communications Commission (FCC) américaine, alors sous majorité démocrate, avait imposé aux fournisseurs d’accès à Internet (FAI) qu’ils obtiennent le consentement préalable de leurs clients avant d’utiliser, partager ou vendre leurs historiques de navigation ou d’utilisation d’applications, ainsi que d’autres informations privées.
Mais le 3 avril 2017, le président Trump a décidé d’abroger ces règles (qui auraient dû entrer en vigueur fin 2017), avalisant de la sorte les décisions prises par les deux chambres du Congrès quelques jours auparavant. Quelles sont les implications de ce revirement pour les consommateurs ?
Mais le 3 avril 2017, le président Trump a décidé d’abroger ces règles (qui auraient dû entrer en vigueur fin 2017), avalisant de la sorte les décisions prises par les deux chambres du Congrès quelques jours auparavant. Quelles sont les implications de ce revirement pour les consommateurs ?
Depuis toujours, la musique et les artistes sont liés à Internet... Internet est une immense salle de concert où chacun peut découvrir de nouveaux talents, et échanger avec ses artistes préférés, voire avec d'autres fans. Et pour les artistes, c'est pareil... Chacun peut se faire connaitre, faire découvrir sa musique, échanger avec son public, trouver d'autres musiciens, d'autres passionnés...etc.
Je ne pense pas qu'il existe sur la toile, un seul artiste qui n'ait pas, aussi petite soit-elle, une petite fanbase et des soutiens. Et depuis toujours, le rapport entre les artistes et le net a été très compliqué... Passé les premiers émois MySpace s'en est suivie une période très clivante à base de P2P. Certains artistes déjà bien installés étaient farouchement opposés à ces échanges libres et d'autres artistes plus modestes estimaient que la musique devait être gratuite et que cela contribuait indirectement à leur richesse en leur apportant de nouveaux fans, et en aidant à remplir les salles de concert.
Je ne pense pas qu'il existe sur la toile, un seul artiste qui n'ait pas, aussi petite soit-elle, une petite fanbase et des soutiens. Et depuis toujours, le rapport entre les artistes et le net a été très compliqué... Passé les premiers émois MySpace s'en est suivie une période très clivante à base de P2P. Certains artistes déjà bien installés étaient farouchement opposés à ces échanges libres et d'autres artistes plus modestes estimaient que la musique devait être gratuite et que cela contribuait indirectement à leur richesse en leur apportant de nouveaux fans, et en aidant à remplir les salles de concert.
Dans un article du 29 avril 2016[1], ainsi que dans d’autres publications et à l’occasion de conférences, David Cayla, maître de conférences à l’Université d’Angers et membre du collectif des économistes atterrés, développe des arguments qui pour la plupart d’entre eux sont des objections à l’instauration d’un revenu de base. Cet article apporte une réponse à ces objections, tout en gardant à l’esprit que certaines conséquences de la mise en place d’un revenu de base, en l’état actuel de la connaissance, ne sont le fruit que de conjectures ou de simples souhaits.
La fondation Mozilla verse 250 000 dollars à SecureDrop, une plateforme servant à envoyer aux médias, de façon sécurisée et anonyme, tout document que des lanceurs d'alerte voudraient porter à la connaissance du public.
Du 24 au 26 mars s’est tenue l’assemblée générale du réseau européen pour le revenu de base, Unconditional Basic Income Europe (UBIE), à Londres. Comme chaque année, le Mouvement français pour un revenu de base (MFRB) y a participé et en rapporte les principales discussions.
La campagne présidentielle et tout récemment les primaires citoyennes de la gauche, ont permis de faire émerger l’idée du revenu de base dans l’opinion. Celui-ci est ainsi devenu soudainement l’objet d’échanges nombreux, de débats houleux, ainsi que d’articles de presse plus ou moins bien documentés.
La question de son coût, l’une des pierres angulaires du projet, revient régulièrement et suscite le débat. Dans ce contexte, les divergences de point de vue montrent souvent une certaine méconnaissance du sujet mais surtout reflètent à la fois le regard et l’angle d’analyse des français. Deux approches s’opposent, l’une basée sur l’appréciation du coût budgétaire brut, l’autre sur celle du transfert monétaire des ménages les plus favorisés vers les ménages à bas revenus.
La question de son coût, l’une des pierres angulaires du projet, revient régulièrement et suscite le débat. Dans ce contexte, les divergences de point de vue montrent souvent une certaine méconnaissance du sujet mais surtout reflètent à la fois le regard et l’angle d’analyse des français. Deux approches s’opposent, l’une basée sur l’appréciation du coût budgétaire brut, l’autre sur celle du transfert monétaire des ménages les plus favorisés vers les ménages à bas revenus.
L'administration Trump a approuvé un projet de loi permettant aux opérateurs de vendre les données de leurs clients à des tiers, sans leur consentement. Qu'en est-il pour la France ?
Plus d’un an et demi après sa version 6 annoncée sur LinuxFr.org, Pastèque sort en version 7. Malgré les aléas de la société éditrice, malgré les énergies consacrées à la loi de finance 2016, Pastèque vit encore. On détaille les nouveautés, qu’elles soient techniques ou communautaires.
Pastèque est une suite logicielle pour gérer un ou plusieurs points de vente (point of sales, POS). Avec le matériel adéquat (imprimante thermique, lecteur de cartes bleues…), elle permet de gérer tout point de vente : restaurant, épicerie, bar, librairie…
Pastèque est une suite logicielle pour gérer un ou plusieurs points de vente (point of sales, POS). Avec le matériel adéquat (imprimante thermique, lecteur de cartes bleues…), elle permet de gérer tout point de vente : restaurant, épicerie, bar, librairie…
Cet article a été initialement publié sur weforum.com et traduit en français par Philippe Dubrulle, adhérent du Mouvement français pour un revenu de base (MFRB).
Considère un instant qu’à partir d’aujourd’hui, le premier de chaque mois, environ 1000€ soient déposés sur ton compte bancaire, juste parce que tu es citoyen.
Ce revenu est indépendant de toute autre source de revenu et te garantit chaque mois un revenu de base au-dessus du seuil de pauvreté et ce, pour le reste de ta vie.
Que fais-tu ? Et peut-être encore plus important, que ne fais-tu plus ?
Comment ce fondement social, basé sur une sécurité économique assortie d’une liberté positive, affecte tes décisions actuelles et futures, du travail que tu choisis aux relations que tu maintiens, aux risques que tu prends ?
Le concept s’appelle le revenu de base inconditionnel et universel. C’est comme la sécurité sociale pour tous et cela prend racine dans les esprits à travers le monde et dans l’intégralité du spectre politique, pour une multitude de raisons convergentes.
Considère un instant qu’à partir d’aujourd’hui, le premier de chaque mois, environ 1000€ soient déposés sur ton compte bancaire, juste parce que tu es citoyen.
Ce revenu est indépendant de toute autre source de revenu et te garantit chaque mois un revenu de base au-dessus du seuil de pauvreté et ce, pour le reste de ta vie.
Que fais-tu ? Et peut-être encore plus important, que ne fais-tu plus ?
Comment ce fondement social, basé sur une sécurité économique assortie d’une liberté positive, affecte tes décisions actuelles et futures, du travail que tu choisis aux relations que tu maintiens, aux risques que tu prends ?
Le concept s’appelle le revenu de base inconditionnel et universel. C’est comme la sécurité sociale pour tous et cela prend racine dans les esprits à travers le monde et dans l’intégralité du spectre politique, pour une multitude de raisons convergentes.
L’objectif est ici de montrer comment le revenu de base peut être un outil pour parvenir à une autonomie tant individuelle que collective et ainsi être un outil de changement radical. Article initialement publié sur ce blog médiapart.
Ce dernier article compare la proposition d’un super RSA à 600 € comme étape vers à un revenu universel à la mise en œuvre immédiate d’une revenu universel à 548 € (avec maintien des APL).
On montre que cette dernière solution est certes légèrement moins généreuse pour les plus pauvres, mais équivalente pour les revenus bas et médians. Cette proposition a aussi un coût budgétaire net plus faible que celui d’une revenu universel à 600 €, donc est politiquement plus simple à appliquer).
On montre que cette dernière solution est certes légèrement moins généreuse pour les plus pauvres, mais équivalente pour les revenus bas et médians. Cette proposition a aussi un coût budgétaire net plus faible que celui d’une revenu universel à 600 €, donc est politiquement plus simple à appliquer).
Benoît Hamon a repris l’idée de Julia Cagé et Thomas Piketty pour lesquels le revenu universel devrait apparaître sur la fiche de paie des salariés à temps plein, plutôt qu’être versé par l’administration fiscale. Ce « RUE sur la fiche de paie » augmente le salaire net affiché (même artificiellement) plutôt que de laisser entendre aux travailleurs qu’ils touchent une prestation de l’État. En découle un « revenu universel » mixte, qui ne change pas beaucoup la donne actuelle : une allocation pour les personnes à revenus nuls ou faibles (comme le RSA) et un supplément de revenu pour les travailleurs à salaire médian (comme la prime d’activité).
Dans ce premier article, nous proposons de profiter de la mise en œuvre du revenu universel ou du super-RSA (première étape vers un RU pour Hamon) pour supprimer les exonérations de cotisations patronales ciblées sur les bas salaire, sans augmenter le salaire superbrut (coût du travail).
Est-ce acceptable qu’un député ou un sénateur mène en même temps que son travail de parlementaire une activité de conseil aux entreprises ? Qu’une grande part des inspecteurs généraux des finances, l’élite administrative française, rejoigne les directions des banques privées ? Est-ce sain pour la démocratie que d’autres parlementaires siègent dans les conseils d’administration de multinationales ?
40 ans après le programme Mincome au Canada, un nouvel article de recherche en tire un bilan et des perspectives.
Traduction d’un article de Kate McFarland initialement publié en anglais sur BasicIncome.
Traduction d’un article de Kate McFarland initialement publié en anglais sur BasicIncome.
L’accélération de la baisse des coûts de collecte et de stockage des données liée au développement des technologies de l’information a transformé les business models des secteurs de la publicité et du commerce.
Le gouvernement publie un arrêté qui complète un décret pris à la mi-mars. Il précise en particulier les montants prévus pour indemniser les opérateurs qui identifient les internautes suspectés de télécharger des œuvres sur les réseaux P2P.