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Publié le 9 mars 2017 à 0 h 04 par Ğaluel
Post repris du site officiel de Duniter duniter.org
Les pré-inscriptions à Ğ1 sont désormais terminées. En effet, nous venons officiellement de démarrer la blockchain : Ğ1 est donc désormais en plein fonctionnement ! La monnaie a démarré ce jour, le 8 mars 2017 à 16h32 UTC+1 et compte à cette heure :
* 59 membres initiaux
* 551 certifications reliant ces membres
* 590,00 Ğ1 ont été produits via le 1er Dividende Universel
* 8 transactions ont dores et déjà été validées
6 membres calculent des blocs afin de faire fonctionner la monnaie
Il ne tient donc plus qu’à vous de l’utiliser ! Pour le moment, seul Cesium pour Ğ1 est disponible. Le logiciel Sakia le sera également, mais plutôt d’ici quelques jours.
Post repris du site officiel de Duniter duniter.org
Les pré-inscriptions à Ğ1 sont désormais terminées. En effet, nous venons officiellement de démarrer la blockchain : Ğ1 est donc désormais en plein fonctionnement ! La monnaie a démarré ce jour, le 8 mars 2017 à 16h32 UTC+1 et compte à cette heure :
* 59 membres initiaux
* 551 certifications reliant ces membres
* 590,00 Ğ1 ont été produits via le 1er Dividende Universel
* 8 transactions ont dores et déjà été validées
6 membres calculent des blocs afin de faire fonctionner la monnaie
Il ne tient donc plus qu’à vous de l’utiliser ! Pour le moment, seul Cesium pour Ğ1 est disponible. Le logiciel Sakia le sera également, mais plutôt d’ici quelques jours.
Le-Message.org, en partenariat avec le Cercle des Volontaires, a pu interviewer Etienne Chouard et lui poser des questions que les internautes avaient préparées à son intention... Voici deux heures de discussion à bâtons rompus ! On y parle d'Assemblée Constituante et de Tirage au Sort, bien sûr, mais également d'éducation alternative (Montessori, Summerhill School), de création monétaire publique et privée, de l'abstention, des élections présidentielles et des programmes de deux candidats en particulier : Jean-Luc Mélenchon et François Asselineau...
La radicalisation peut commencer très tôt chez les jeunes. Pour éviter cette fermeture des esprits et la fin du dialogue, l’éducation aux médias est un levier pour la fraternité et l’intelligence. Face à la submersion des informations produites par la numérisation et la connexion des réseaux humains et digitaux, nous sommes aujourd’hui face à un enjeu révolutionnaire « Comment identifier et dire la vérité ».
De Trump à Soral, de Daech à Dieudonné, la réalité est aujourd’hui contestée, outragée, modifiée par des théories complotistes et alternatives que nous devons d’abord combattre à l’école par une éducation aux médias offensive. Il est donc essentiel de repenser l’éducation aux médias et de construire les nouvelles formes d’info-apprendre de demain.
La fin de l’information ?
De Trump à Soral, de Daech à Dieudonné, la réalité est aujourd’hui contestée, outragée, modifiée par des théories complotistes et alternatives que nous devons d’abord combattre à l’école par une éducation aux médias offensive. Il est donc essentiel de repenser l’éducation aux médias et de construire les nouvelles formes d’info-apprendre de demain.
La fin de l’information ?
Le Grand Soir, toujours à l’écoute de ses lecteurs (réguliers, occasionnels ou accidentels) vous offre le DECODEX ALTERNATIF, un vrai DECODEX rédigé par de vrais gens dotés d’une véritable expérience. Ces analyses ne sont basées ni sur une vague impression après un survol rapide, ni sur un coup de fil à « Conspiracywatch », mais sur l’expérience de militants/bénévoles chevronnés de « l’information alternative ».
Pour celles et ceux qui n’étaient pas présents vendredi lors du débat public sur les enjeux de 2017 organisé vendredi dernier à l’AGECA par Le Collectif Appel des 100-alternative2017 ainsi que les collectifs Les Jours Heureux, Pouvoir Citoyen en Marche et le mouvement Utopia, voici les Vidéos
Ce billet fait le tour des projets autour des monnaies libres. Dans un premier temps, le projet Duniter sera présenté, puis son fonctionnement technique et son état d’avancement seront abordés. Ensuite, les monnaies de tests Méta Brouzouf et Test Net seront passées en revue. Puis, les clients Sakia et Césium seront présentés. Enfin, la traduction en anglais de la Théorie relative de la monnaie, le jeu Ğéconomicus et les rencontres des monnaies libres seront abordés.
Cette semaine, un nouveau site est lancé. Baptisé Les Communs d’abord ! , il a pour ambition de constituer « un média web indépendant ayant pour but de donner une visibilité aux multiples initiatives, publications et débats liés au mouvement des Communs. »
L’idée de cette initiative est née lors d’une réunion organisée par l’association Vecam, en juin 2016 lors de laquelle, constat a été fait que si les Communs sont de plus en plus présent dans l’actualité, il n’existait pas encore de média spécifiquement dédié à cette question.
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Les initiatives autour des Communs foisonnent pourtant en France. De plus en plus d’acteurs, qu’il s’agisse de militants, de chercheurs ou d’institutions s’emparent de l’imaginaire des Communs pour se l’approprier et le faire vivre à travers des projets stimulants. Alors que la recherche d’alternatives semblent bloquées à de nombreux niveaux, une évolution avance sur le terrain, sous l’égide des Communs. La thématique des Communs s’invite de plus en plus fréquemment dans le débat public et politique et une structuration se met peu à peu en place sur les territoires, à travers les Assemblées et les Chambres des Communs.
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Il existe déjà en France un écosystème informationnel autour de la question des Communs : portail des Communs, wiki des communs, plateforme Remix The Commons, blog francophone de la P2P Foundation, liste de discussion du mouvement francophone autour des Communs, ainsi que nombreux espaces de veille partagée consacrés à ce sujet, tenus par des individus ou des associations. Un blog (Chronique des Communs) a même été ouvert sur la plateforme du journal Le Monde en décembre dernier et un projet de Radio des Communs sur les ondes hertziennes est actuellement examiné par le CSA.
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Mais les Communs sont, par définition, extrêmement multiformes et les informations à leur sujet restent encore très éclatées, ce qui brouille leur visibilité. Les Communs d’abord ! a pour ambition de devenir un point de convergence vers lequel les lecteurs pourront se tourner pour trouver de l’information actualisée sur les Communs dans toutes leurs dimensions : Communs naturels, Communs matériels, Communs urbains, Communs de la Connaissance, etc.
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L’idée de cette initiative est née lors d’une réunion organisée par l’association Vecam, en juin 2016 lors de laquelle, constat a été fait que si les Communs sont de plus en plus présent dans l’actualité, il n’existait pas encore de média spécifiquement dédié à cette question.
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Les initiatives autour des Communs foisonnent pourtant en France. De plus en plus d’acteurs, qu’il s’agisse de militants, de chercheurs ou d’institutions s’emparent de l’imaginaire des Communs pour se l’approprier et le faire vivre à travers des projets stimulants. Alors que la recherche d’alternatives semblent bloquées à de nombreux niveaux, une évolution avance sur le terrain, sous l’égide des Communs. La thématique des Communs s’invite de plus en plus fréquemment dans le débat public et politique et une structuration se met peu à peu en place sur les territoires, à travers les Assemblées et les Chambres des Communs.
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Il existe déjà en France un écosystème informationnel autour de la question des Communs : portail des Communs, wiki des communs, plateforme Remix The Commons, blog francophone de la P2P Foundation, liste de discussion du mouvement francophone autour des Communs, ainsi que nombreux espaces de veille partagée consacrés à ce sujet, tenus par des individus ou des associations. Un blog (Chronique des Communs) a même été ouvert sur la plateforme du journal Le Monde en décembre dernier et un projet de Radio des Communs sur les ondes hertziennes est actuellement examiné par le CSA.
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Mais les Communs sont, par définition, extrêmement multiformes et les informations à leur sujet restent encore très éclatées, ce qui brouille leur visibilité. Les Communs d’abord ! a pour ambition de devenir un point de convergence vers lequel les lecteurs pourront se tourner pour trouver de l’information actualisée sur les Communs dans toutes leurs dimensions : Communs naturels, Communs matériels, Communs urbains, Communs de la Connaissance, etc.
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Comme beaucoup de gens, vous avez probablement un peu d’argent sur un compte d’épargne. Vous râlez que les taux d’intérêt soient si bas, cela ne vous rapporte rien ! Vous pensez également que les traders sont d’ignobles cyniques qui se font des millions sur votre dos, qu’ils sont responsables de la crise.
Moi, en tout cas, j’étais comme cela il n’y a pas si longtemps.
Et je ne me rendais pas compte à quel point ces positions sont bourrées de contradictions.
Moi, en tout cas, j’étais comme cela il n’y a pas si longtemps.
Et je ne me rendais pas compte à quel point ces positions sont bourrées de contradictions.
Dans un article publié sur son blog Alternative 21, Guy Valette aborde les coûts réels qu’engendrerait l’instauration d’un revenu universel de 750 € par personne et par mois.
Nous devrions nous réjouir. Il ne se passe plus un jour sans un article de journal, sans une émission à la radio ou à la télé, sans qu’un candidat à la présidence à la république, sans qu’un expert ne parle du revenu universel. Le problème est que la plupart des journalistes, des responsables politiques, des experts économiques qui doutent de la pertinence de ce revenu d’existence ont pour argument principal le coût exorbitant d’une telle mesure.
Nous devrions nous réjouir. Il ne se passe plus un jour sans un article de journal, sans une émission à la radio ou à la télé, sans qu’un candidat à la présidence à la république, sans qu’un expert ne parle du revenu universel. Le problème est que la plupart des journalistes, des responsables politiques, des experts économiques qui doutent de la pertinence de ce revenu d’existence ont pour argument principal le coût exorbitant d’une telle mesure.
Les communs sont-ils une alternative à la société du tout marché, une réponse à l’offensive néolibérale, une voie pour le dépassement du capitalisme et de l’étatisme, la révolution du XXIe siècle ?
Ce livre montre qu’il s’agit de tout cela. Le concept de commun demande la coexistence d’une ressource défi nie, d’une communauté déterminée et d’un mode de gouvernance collectif. Il ouvre de nouveaux champs à la démocratie et souligne les limites d’une régulation par le marché ou par le public.
Cette renaissance des communs, à laquelle nous assistons un peu partout dans le monde, a été dynamisée par l’apparition des communs informationnels (logiciels libres, Wikipédia, licences Creative Commons…) luttant contre les abus de la propriété intellectuelle.
Ce livre montre qu’il s’agit de tout cela. Le concept de commun demande la coexistence d’une ressource défi nie, d’une communauté déterminée et d’un mode de gouvernance collectif. Il ouvre de nouveaux champs à la démocratie et souligne les limites d’une régulation par le marché ou par le public.
Cette renaissance des communs, à laquelle nous assistons un peu partout dans le monde, a été dynamisée par l’apparition des communs informationnels (logiciels libres, Wikipédia, licences Creative Commons…) luttant contre les abus de la propriété intellectuelle.
GitLab, une des alternatives à GitHub, a fait un superbe cadeau de Noël à sa communauté : l’intégration des GitLab Pages à la version communautaire de GitLab !
Le ticket où a eu lieu la discussion amenant à cette décision a été ouvert il y a neuf mois et, alors que la discussion s’était éteinte il y a près de deux mois sur un refus (argumenté et compréhensible) de la part de GitLab, celle‐ci a repris il y a deux semaines pour aboutir à un dénouement inattendu : l’intégration des GitLab Pages à la version communautaire.
Le ticket où a eu lieu la discussion amenant à cette décision a été ouvert il y a neuf mois et, alors que la discussion s’était éteinte il y a près de deux mois sur un refus (argumenté et compréhensible) de la part de GitLab, celle‐ci a repris il y a deux semaines pour aboutir à un dénouement inattendu : l’intégration des GitLab Pages à la version communautaire.
Mes différents sites sont les suivants :
SWEETUX.ORG
&
GAFAM.FR
Faire connaître & promouvoir :
la culture libre @ http://sweetux.org/ ...
... en audio & vidéo @ http://podcast.sweetux.org/
les distributions GNU/Linux & les logiciels libres @ http://infolibre.sweetux.org/
les alternatives politiques & économiques @ http://lmpc.sweetux.org/
les licences & les matériels libres @ http://geek.sweetux.org/
les alternatives aux GAFAMs @ http://gafam.fr/
... sont les principales composantes de mes différents blogs, mais il y en a d'autres !
SWEETUX.ORG
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GAFAM.FR
Faire connaître & promouvoir :
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les distributions GNU/Linux & les logiciels libres @ http://infolibre.sweetux.org/
les alternatives politiques & économiques @ http://lmpc.sweetux.org/
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les alternatives aux GAFAMs @ http://gafam.fr/
... sont les principales composantes de mes différents blogs, mais il y en a d'autres !
créer un web nouveau
J’ai quitté les réseaux sociaux. D’abord parce qu’ils ne m’inspiraient plus confiance, mais aussi parce qu’à mon sens, ils faussent nos relations et nos interactions. J’ai précédemment développé mon point de vue dans plusieurs articles (ici et ici par exemple), alors je ne vais pas m’étendre. Reste qu’il ne suffit pas de critiquer : il faut aussi prendre le taureau par les cornes et proposer une alternative.
J’ai quitté les réseaux sociaux. D’abord parce qu’ils ne m’inspiraient plus confiance, mais aussi parce qu’à mon sens, ils faussent nos relations et nos interactions. J’ai précédemment développé mon point de vue dans plusieurs articles (ici et ici par exemple), alors je ne vais pas m’étendre. Reste qu’il ne suffit pas de critiquer : il faut aussi prendre le taureau par les cornes et proposer une alternative.
Et si les jardins partagés, les potagers urbains et la nouvelle vigueur de l’agriculture familiale représentaient bien plus qu’une alternative écolo – et perçue comme un peu « bobo » – à la malbouffe et à l’agriculture industrielle ? C’est la position de la philosophe Joëlle Zask. Dans son livre La démocratie aux champs, elle souligne le potentiel individuel et collectif de pratiques agricoles. Généralement ignorées ou déconsidérées par les politique, ces pratiques s’inscrivent dans une longue histoire d’expérimentations démocratiques, porteuses d’autonomie et génératrices de solidarités.
Une maison autonome en énergie, un potager très productif, des banques éthiques, un lycée expérimental, des semences libres, un internet associatif, des coopératives pour travailler autrement : voici quelques-unes de ces alternatives concrètes qui fleurissent partout en France, et ailleurs, que Basta ! vous fait régulièrement découvrir.
Plus solidaires, plus justes, et plus respectueuses des hommes, des femmes et de la planète, ces alternatives témoignent de l’énergie et l’ingéniosité déployées par des milliers de personnes qui s’engagent pour construire de petits et grands projets utiles à la société.
Plus solidaires, plus justes, et plus respectueuses des hommes, des femmes et de la planète, ces alternatives témoignent de l’énergie et l’ingéniosité déployées par des milliers de personnes qui s’engagent pour construire de petits et grands projets utiles à la société.
Après quelques papiers déprimés sur l’état du Net, qui répondent à bien d’autres ou leur font échos (chez Philippe, chez Neil, chez Olivier), il est peut-être temps de réfléchir à ce que nous pouvons faire.
D’abord, il faut remonter à l’origine du mal. Nous devons sans doute entreprendre un travail historique. Il n’existe probablement pas une cause unique, mais on peut tout au moins repenser au Web que nous aimions, celui d’un monde libre où les sites étaient plus ou moins égaux et où les internautes vagabondaient des uns aux autres, et comparer ce Web à celui d’aujourd’hui, où quelques sites écrasent tous les autres et aspirent tous les internautes.
En quelque sorte, nous sommes passés du nomadisme numérique (dont j’ai fait l’éloge dans L’alternative nomade) à la sédentarisation numérique. Pourquoi donc le Web s’est-il centralisé ?
D’abord, il faut remonter à l’origine du mal. Nous devons sans doute entreprendre un travail historique. Il n’existe probablement pas une cause unique, mais on peut tout au moins repenser au Web que nous aimions, celui d’un monde libre où les sites étaient plus ou moins égaux et où les internautes vagabondaient des uns aux autres, et comparer ce Web à celui d’aujourd’hui, où quelques sites écrasent tous les autres et aspirent tous les internautes.
En quelque sorte, nous sommes passés du nomadisme numérique (dont j’ai fait l’éloge dans L’alternative nomade) à la sédentarisation numérique. Pourquoi donc le Web s’est-il centralisé ?
Cette fois-ci, c’est fait. Framasoft claque la porte de l’Éducation nationale. Après des années de lutte et de travaux de promotion des logiciels libres, le ministère continue de clairement privilégier les outils de Microsoft. Forcément, au bout d’un moment, il y a de quoi s’agacer un peu. Avec toutes les actions et recommandations que l’association a faites, rien ne change et Microsoft est toujours le premier choix. Du coup, un article vient expliquer la position de Framasoft vis-à-vis du ministère de l’Éducation.
Que faire ? Les GAFAM sont bien trop puissants pour lutter comme cela. Et nos dirigeants sont bien trop sensible à leur pression, et leur portefeuille.
Il faut donc continuer la lutte, mais par d’autres moyens. Se regrouper, pour créer et développer de vrais alternatives, capables de lutter, proposant des outils performants et de vrais moyens pour les promouvoir. En clair, pas des CHATONS, des Lions.
Que faire ? Les GAFAM sont bien trop puissants pour lutter comme cela. Et nos dirigeants sont bien trop sensible à leur pression, et leur portefeuille.
Il faut donc continuer la lutte, mais par d’autres moyens. Se regrouper, pour créer et développer de vrais alternatives, capables de lutter, proposant des outils performants et de vrais moyens pour les promouvoir. En clair, pas des CHATONS, des Lions.
Monnaie Libre Occitanie vient de mettre en ligne la playlist vidéo officielle des RML8, incluant les directs techniques, ainsi que la conférence « TRM et économie du libre » avec les slides inclus et un bon son, permettant un visionnage confortable.
Il manque encore à cette heure une conférence « Monnaie, Non-Libre & Libre, Prospective » et des comptes rendus Ğeconomicus, ainsi que d’autres comptes rendus du module Galilée, qui seront certainement ajoutés dans les heures ou les jours qui viennent, très certainement dans cette même playlist.
Il manque encore à cette heure une conférence « Monnaie, Non-Libre & Libre, Prospective » et des comptes rendus Ğeconomicus, ainsi que d’autres comptes rendus du module Galilée, qui seront certainement ajoutés dans les heures ou les jours qui viennent, très certainement dans cette même playlist.
Le magazine Alternatives économiques organise des journées sur le thème de « L’économie autrement », à Dijon, les 25 et 26 novembre. L’enjeu : mettre en valeur les initiatives concrètes développées par les acteurs de l’économie sociale et solidaire, tout en questionnant leur capacité à transformer le modèle économique et social. Au menu : revenu de base, économie circulaire, droit au logement, transition énergétique, monnaies locales, réussite scolaire, démocratie dans l’entreprise, accès à la santé...
La vice-présidente de la Banque de Suède a présenté à Stockholm un projet nommé « e-couronne » : un système de paiement national fondé sur l'utilisation d'une monnaie virtuelle.