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ECONOMIE
Éloïs, contributeur Duniter extrêment actif et auteur d’un magnifique post sur la monnaie libre, vient de donner une conférence à Montpellier « Monnaies Libres et Duniter » disponible en vidéo.
Faire un film sur la Sécurité sociale, quelle idée ! C’est le pari audacieux du réalisateur Gilles Perret, dont le documentaire La Sociale, sorti en novembre dernier, continue de faire salle comble à chaque projection. Il relate comment les bases de toute la Sécurité sociale ont été posées en moins de dix mois, à la sortie de la seconde guerre mondiale. Avec un formidable apport : la fin de l’insécurité et de la crainte de la pauvreté associée à la maladie. Cette « utopie », dont bénéficient 66 millions de Français, est aujourd’hui la cible des politiques néolibérales. A travers ce documentaire transparait l’urgence de défendre ce qu’il reste de ce bien commun.
Je rediffuse sur ce blog un billet publié par le collectif SavoirsCom1 pour interpeller La France Insoumise à propos d’une proposition de leur programme culturel portant sur le domaine public et le financement de la création. Nous y proposons l’idée de créer un nouveau « domaine commun », anticipant sur l’entrée des oeuvres dans le domaine public, qui combinerait des idées de Victor Hugo et de Jean Zay. Au-delà de l’enjeu immédiat de la campagne présidentielle, il me semble que c’est une idée à considérer, car elle montre parfaitement que l’amélioration des conditions de vie des créateurs et l’ouverture des usages ne sont pas incompatibles, bien au contraire.
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La France Insoumise (mouvement citoyen pour promouvoir la candidature de Jean-Luc Mélenchon) a publié la semaine dernière son livret « Arts et Culture » dans lequel on retrouve des propositions consacrées au domaine public. On peut y lire notamment que la France Insoumise souhaite :
Intégrer les droits d’auteur dans le domaine public, après le décès des auteur·e·s pour financer la création et les retraites des créateurs.
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La France Insoumise (mouvement citoyen pour promouvoir la candidature de Jean-Luc Mélenchon) a publié la semaine dernière son livret « Arts et Culture » dans lequel on retrouve des propositions consacrées au domaine public. On peut y lire notamment que la France Insoumise souhaite :
Intégrer les droits d’auteur dans le domaine public, après le décès des auteur·e·s pour financer la création et les retraites des créateurs.
[Mise à jour du 22 février 2017 : Par un billet publié sur son blog par Jean-Luc Mélenchon, nous savons à présent que La France Insoumise prône l’instauration d’un domaine public payant, sans limitation dans le temps. C’est une proposition inacceptable qui revient à adultérer profondément le domaine public et que SavoirsCom1 ne peut accepter. Nous regrettons fortement que malgré nos multiples appels, la Commission Culture de la France insoumise ait tranché ce point sans nous rencontrer].
La France Insoumise (mouvement citoyen pour promouvoir la candidature de Jean-Luc Mélenchon) a publié la semaine dernière son livret « Arts et Culture » dans lequel on retrouve des propositions consacrées au domaine public. On peut y lire notamment que la France Insoumise souhaite :
Intégrer les droits d’auteur dans le domaine public, après le décès des auteur·e·s pour financer la création et les retraites des créateurs.
La France Insoumise (mouvement citoyen pour promouvoir la candidature de Jean-Luc Mélenchon) a publié la semaine dernière son livret « Arts et Culture » dans lequel on retrouve des propositions consacrées au domaine public. On peut y lire notamment que la France Insoumise souhaite :
Intégrer les droits d’auteur dans le domaine public, après le décès des auteur·e·s pour financer la création et les retraites des créateurs.
Jean-Michel Thureau de Révolution démocratique nous expose ici sa vision du revenu universel et ses pistes de financement.
La notion de redistribution universelle et égalitaire n’est pas nouvelle. De multiples solutions ont été formulées.
Généraliser la protection sociale de la population française et unifier les structures des organismes gestionnaires était aussi l’ambition initialement affichée par le législateur de 1945 lorsqu’il a bâti notre système de sécurité sociale.
L’idée est que, dans un pays civilisé, personne ne doit vivre au-dessous du seuil de la misère et que la solidarité nationale doit y pourvoir.
La notion de redistribution universelle et égalitaire n’est pas nouvelle. De multiples solutions ont été formulées.
Généraliser la protection sociale de la population française et unifier les structures des organismes gestionnaires était aussi l’ambition initialement affichée par le législateur de 1945 lorsqu’il a bâti notre système de sécurité sociale.
L’idée est que, dans un pays civilisé, personne ne doit vivre au-dessous du seuil de la misère et que la solidarité nationale doit y pourvoir.
"Loi El Khomri, précarité à vie, cette société là, on n’en veut pas !"
Tel était le mot d’ordre au printemps dernier...
Un nouveau "printemps" approche, avec la présidentielle, et la précarité a continué de s’installer, déjà avec le passage en force de la Loi El Khomri, et aujourd’hui, la seule perspective "sociale" qui nous est officiellement présentée dans ces élections est celle du "revenu universel", c’est à dire une institutionnalisation définitive de la précarité, et en fait, de la misère qui va avec.
Tel était le mot d’ordre au printemps dernier...
Un nouveau "printemps" approche, avec la présidentielle, et la précarité a continué de s’installer, déjà avec le passage en force de la Loi El Khomri, et aujourd’hui, la seule perspective "sociale" qui nous est officiellement présentée dans ces élections est celle du "revenu universel", c’est à dire une institutionnalisation définitive de la précarité, et en fait, de la misère qui va avec.
DuckDuckGo vient d'annoncer les projets que le moteur de recherche soutiendra en 2017. Au total, ce sont 300 000 dollars que vont se partager les bénéficiaires.
Le revenu universel est un sujet qui n’est pas nouveau mais qui a pris récemment de l’importance tandis qu’il est abordé par des figures politiques telles que Benoît Hamon ou encore Manuel Valls. Finalement, pour les salariés, qu’est-ce que cela pourrait changer à leur travail ?
Dans ses vœux pour 2017, la Confédération générale des SCOP vise les 70 000 emplois. Avec l’engouement actuel pour les nouvelles formes d’économie collaborative, le secteur coopératif paraît avoir le vent en poupe. En 2015, 2 855 SCOP employaient 51 500 salariés. L’ampleur du phénomène ne peut donc être ignorée. Mais qu’en est-il des forces et faiblesses de ce domaine d’activité si particulier ?
Les bugs informatiques, comme tous défauts, sont coûteux lorsqu’ils sont traités tout comme lorsqu’ils ne le sont pas ! Alors, que faire ? Comment faire ? Affronter, contourner ou fuir ? Quels seraient les outils et les stratégies possibles des entreprises face à ces fréquents défauts informatiques ?
Consommer autrement, mieux, moins ? Le 26 janvier dernier, L’Obsoco organisait à l’ESCP Europe une journée de réflexion sur le thème « Dé-penser la consommation ». Partenaire de ce colloque, The Conversation publie les différentes interventions des chercheurs participants. Des podcasts du colloque, réalisés par Moustic, sont à découvrir à la fin de chaque article.
Le revenu de base a été très souvent présenté ces derniers temps dans les médias, mais quasiment exclusivement sous l’angle de la proposition de Benoît Hamon. Il est pourtant important de ne pas simplifier cette thématique en oblitérant les autres propositions du débat public. Et surtout de ne pas abandonner à un unique parti politique ce formidable sujet.
En 2008, un inconnu du nom de Satoshi Nakamoto publie un livre blanc intitulé « Bitcoin : A Peer-to-peer Electronic Cash System ». Personne ne sait aujourd’hui qui est Satoshi Nakamoto, ni quelle organisation se cache derrière ce pseudonyme, mais peu importe : le système de paiement électronique dont il est question est remarquable à plus d’un titre. Il fonctionne très bien, et ce de manière tout à fait autonome, sans surveillance ni contrôle de qui que ce soit.
Consommer autrement, mieux, moins ? Le 26 janvier dernier, L’Obsoco organisait à l’ESCP Europe une journée de réflexion sur le thème « Dé-penser la consommation ». Partenaire de ce colloque, The Conversation publie les différentes interventions des chercheurs participants. Des podcasts du colloque, réalisés par Moustic, sont à découvrir à la fin de chaque article.
L'économiste Thomas Piketty, qui a rejoint l'équipe de campagne de Benoît Hamon, juge intéressante l'idée d'une taxe sur les données personnelles face aux géants du net adeptes de l'optimisation fiscale.
Chris Hughes (co-fondateur de Facebook) aborde sur le site Medium.com les espoirs de changement que porte l’idée d’un revenu universel en Europe et ailleurs. Cette idée représente une vraie inspiration en ces temps sombres.
« Pièce centrale », selon Libération du programme de Benoît Hamon, candidat socialiste aux présidentielles, le revenu universel, déjà en expérimentation sous différentes formes dans le monde, fait débat en France.
Si la question de son financement revient régulièrement, le choix des jeunes comme groupe cible d’un tel dispositif, comme le propose le candidat Hamon, reste à évaluer.
Si la question de son financement revient régulièrement, le choix des jeunes comme groupe cible d’un tel dispositif, comme le propose le candidat Hamon, reste à évaluer.
Consommer autrement, mieux, moins ? Le 26 janvier dernier, L’Obsoco organisait à l’ESCP Europe une journée de réflexion sur le thème « Dé-penser la consommation ». Partenaire de ce colloque, The Conversation publie les différentes interventions des chercheurs participants. Des podcasts du colloque, réalisés par Moustic The Audio Agency, sont à découvrir à la fin de chaque article.
Défis écologiques inédits, explosion des inégalités : faut-il choisir son combat ? La planète ou les pauvres ? Ces oppositions sont simplistes, affirme la Revue Projet. Réduire les inégalités est une nécessité pour permettre à chacun de bien vivre dans les limites de notre planète. Mais comment y parvenir ? C’est tout l’objet d’un colloque qui se déroule à Paris, du 16 au 18 février, dont Basta ! est partenaire.
Cette semaine, deux événements se sont produits qui attestent que le législateur français peut parfois faire des choses particulièrement absurdes, lorsqu’il cède à la tentation de faire plaisir aux lobbies…
En juillet dernier, la loi Création a ainsi été adoptée, qui contient un article 30 ayant instauré un mécanisme surnommé « taxe Google Images« . Il s’agit d’un dispositif imaginé pour contraindre les moteurs de recherche à verser une rémunération pour l’usage des images qu’ils affichent dans des onglets spécialisés. Et la cible principale était en l’occurrence Google, et la fonctionnalité Google Images de son moteur, accusés depuis longtemps par les professionnels de la photographie d’exploiter des oeuvres protégées sans contribuer à la création en retour.
En juillet dernier, la loi Création a ainsi été adoptée, qui contient un article 30 ayant instauré un mécanisme surnommé « taxe Google Images« . Il s’agit d’un dispositif imaginé pour contraindre les moteurs de recherche à verser une rémunération pour l’usage des images qu’ils affichent dans des onglets spécialisés. Et la cible principale était en l’occurrence Google, et la fonctionnalité Google Images de son moteur, accusés depuis longtemps par les professionnels de la photographie d’exploiter des oeuvres protégées sans contribuer à la création en retour.