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NUMERIQUE
Alors que l'élection présidentielle française se profile à l'horizon, un député remet le problème des machines à voter sur le devant de la scène.
Les parents sont nombreux à partager des photos de leurs enfants sur les réseaux sociaux. Des beaux moments qu'ils veulent naturellement communiquer au détriment du droit à l'image de leur progéniture.
Vous l’avez sans doute déjà compris, parler de numérique est un peu ringard. Ne parlons pas de l’horrible terme « d’informatique » à ranger désormais dans le tiroir poussiéreux des technologies absconses du XXème siècle. Le bon terme, pour parler technologies de l’information (là aussi c’est ringard) est américain — si l’on veut un tant soit peu paraître à la pointe des dernières tendances (toujours technologiques) — et il réunit tous les fantasmes de la geekerie startupienne : le digital.
« Didjitôl » si tu prononces bien. Mais comme tu es Français, tu dis digital. Le doigt. Le même mot que pour l’empreinte digitale. Qui ne signifie rien d’autre en français que le doigt. Un peu comme si, pour parler des voitures, de l’automobile, on utilisait le mot anglais « car ». Ce qui pourrait donner : j’ai acheté une car, car j’avais besoin d’en changer. Oui, bon, l’exemple est moyen, mais vous voyez ce que je veux dire.
De la stratégie digitale et des barbares qui vont tout disrupter
« Didjitôl » si tu prononces bien. Mais comme tu es Français, tu dis digital. Le doigt. Le même mot que pour l’empreinte digitale. Qui ne signifie rien d’autre en français que le doigt. Un peu comme si, pour parler des voitures, de l’automobile, on utilisait le mot anglais « car ». Ce qui pourrait donner : j’ai acheté une car, car j’avais besoin d’en changer. Oui, bon, l’exemple est moyen, mais vous voyez ce que je veux dire.
De la stratégie digitale et des barbares qui vont tout disrupter
Le Chaos Communication Congress, célèbre rassemblement de hackers organisé par le Chaos Computer Club, revient cette année pour sa trente‐troisième mouture (aussi nommée 33c3), du 27 au 30 décembre 2016.
Cet évènement est l’occasion de nombreuses conférences, ateliers et évènements divers pendant quatre jours sur la technologie, la société, les utopies. De nombreuses conférences seront retransmises en direct en flux vidéo. Cette année, une traduction partielle sera assurée en français (en plus de l’anglais et de l’allemand).
Cet évènement est l’occasion de nombreuses conférences, ateliers et évènements divers pendant quatre jours sur la technologie, la société, les utopies. De nombreuses conférences seront retransmises en direct en flux vidéo. Cette année, une traduction partielle sera assurée en français (en plus de l’anglais et de l’allemand).
Quel accès aux livres peut accorder une bibliothèque à son public après les récentes décisions de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), l’une sur les livres indisponibles, l’autre sur le prêt des livres numériques ? Telles étaient les premiers points abordés lors d’une conférence, le 13 décembre 2016.
Aujourd’hui menu allégé (après les agapes), avec un bref chapitre de Des routes et des ponts par Nadia Eghbal, ouvrage dont tous les chapitres précédents sont là.
Il s’agit cette fois-ci de dresser la liste des principes qui devraient gouverner le soutien durable aux projets et infrastructures open source.
Il s’agit cette fois-ci de dresser la liste des principes qui devraient gouverner le soutien durable aux projets et infrastructures open source.
Voici le plus long des chapitres de Des routes et des ponts de Nadia Ehgbal que nous traduisons pour vous semaine après semaine (si vous avez raté les épisodes précédents). Il s’agit cette fois-ci des institutions (ici nord-américaines) qui par diverses formes de mécénat, contribuent au développement et au maintien des projets d’infrastructure numérique open source parce qu’elles y trouvent leur intérêt. Pas sûr qu’en Europe et en France ces passerelles et ces coopérations bien comprises entre entreprises et open source soient aussi habituelles…
Le chiffrement existe sur les smartphones. Pourquoi pas sur les appareils photo ? C'est ce que demande une coalition de 150 photographes et cinéastes aux principaux fabricants.
Surveillance://, c'est le livre de Tristan Nitot. Il l'a sorti en octobre 2016 après l'avoir longtemps préparé via des billets de blog sur son site personnel. J'avais furieusement envie de me jeter dessus et c'est chose faite. Il m'a fallu moins de 3h pour le dévorer. Vient maintenant l'heure des retours : de quoi il s'agit, comment le prendre, pour qui est-il ?
Le ministère de la Culture a annoncé en début de semaine le lancement d’un Appel à Manifestations d’Intérêt (AMI) « Culture, Patrimoine et Numérique » destiné à « soutenir le rapprochement d’organismes publics culturels et de partenaires issus du secteur privé au sein de sociétés de projets valorisant la culture et la communication par le numérique. » Ce dispositif est accompagné par le Commissariat général à l’investissement et bénéficiera d’un financement de 100 millions d’euros.
Après avoir supprimé mes comptes chez Twitter et Instagram, c’est décidé, je quitte aussi Facebook pour de bon. J’y avais jusqu’ici gardé un profil privé, histoire de rester en contact avec mes « vrais » amis, mais non, le besoin de cohérence est plus fort. C’est officiel : dès ce soir, je ne serai plus présent sur les réseaux sociaux.
Ce qui est quand même fou — et en partie la cause de mon départ —, c’est que Facebook a réussi à modifier durablement la manière dont nous entretenons des relations avec nos proches. Nous avons laissé une entreprise américaine aux visées douteuses s’insinuer dans nos têtes, jusqu’à devenir une part de nous de laquelle nous sommes désormais dépendants, au même titre d’un organe. Au point, accrochez-vous, qu’on en viendrait presque à faire ses adieux à un ami de longue date parce qu’il n’est plus sur Facebook. Oui, les réseaux sociaux, c’est la facilité.
Ce qui est quand même fou — et en partie la cause de mon départ —, c’est que Facebook a réussi à modifier durablement la manière dont nous entretenons des relations avec nos proches. Nous avons laissé une entreprise américaine aux visées douteuses s’insinuer dans nos têtes, jusqu’à devenir une part de nous de laquelle nous sommes désormais dépendants, au même titre d’un organe. Au point, accrochez-vous, qu’on en viendrait presque à faire ses adieux à un ami de longue date parce qu’il n’est plus sur Facebook. Oui, les réseaux sociaux, c’est la facilité.
S’il vous est arrivé de travailler à la maison, peut-être êtes-vous devenu sans le savoir un « télétravailleur », travailleur connecté et nomade, satellite de l’entreprise !
Apple a commencé à donner des cours gratuits de programmation informatique pour les enfants. Nous sommes allés les voir à l'Apple Store du Marché Saint-Germain : l'expérience était aussi amusante qu'enrichissante.
Au cours des deux derniers chapitres (si vous avez manqué des chapitres, c’est par ici) Nadia Eghbal nous a décrit les solutions existantes pour financer les projets open source et leurs contributeurs : mécénat, crowdfunding, utilisation payante d’un logiciel ou d’un service ; elle a également montré les difficultés et les limites de chaque mode de financement.
Dans ce bref chapitre, l’autrice poursuit sa recherche sur les financements en faisant un point synthétique sur les causes systémiques des difficultés de financement des projets open source.
Traduction Framalang : Sphinx, Penguin, Opsylac, Luc, dominix, lyn., goofy
Dans ce bref chapitre, l’autrice poursuit sa recherche sur les financements en faisant un point synthétique sur les causes systémiques des difficultés de financement des projets open source.
Traduction Framalang : Sphinx, Penguin, Opsylac, Luc, dominix, lyn., goofy
Imposteur! C’est le premier mot qui nous vient à l’esprit quand on évoque ce malfaiteur.
Alors que ce triste Sire prétend depuis plus de 10 ans ne rien monétiser de ses pitoyables « productions » musicalo-pathétiques, nos inspecteurs en fact checking ont passé au crible son dernier méfait, les résultats sont édifiants.
La vidéo d’abord (à surtout ne pas regarder ni partager)
Alors que ce triste Sire prétend depuis plus de 10 ans ne rien monétiser de ses pitoyables « productions » musicalo-pathétiques, nos inspecteurs en fact checking ont passé au crible son dernier méfait, les résultats sont édifiants.
La vidéo d’abord (à surtout ne pas regarder ni partager)
Paris, 8 décembre 2016 — La révision de la directive européenne ePrivacy sur la confidentialité des communications électroniques ne fait pas encore grand bruit mais cela ne signifie pas que le travail d'influence et la lutte des intérêts n'ont pas commencé. Au contraire, la proposition de texte de la Commission européenne étant prévue pour être publiée en janvier 2017, les groupes d'intérêts se pressent aux portes de l'exécutif européen pour tenter de mettre leur grain de sel dans le futur texte.
L’apprentissage du code, et plus largement du développement est une tâche qui peut s’avérer hardue, notamment lorsque l’on peine à trouver des contextes d’utilisation concrets, ce qui est notamment le cas à l’école
C’est dans ce contexte que je vous présente aujourd’hui CodeCombat, un site web, ou plutôt un jeu en ligne, dont l’objectif est de faire apprendre la programmation en s’amusant, c’est à dire en jouant. Il s’agit en somme d’une plateforme d’apprentissage en ligne qui tourne 100% autour de la gamification.
C’est dans ce contexte que je vous présente aujourd’hui CodeCombat, un site web, ou plutôt un jeu en ligne, dont l’objectif est de faire apprendre la programmation en s’amusant, c’est à dire en jouant. Il s’agit en somme d’une plateforme d’apprentissage en ligne qui tourne 100% autour de la gamification.
Demain, nous travaillerons dans des lieux multiples, les réunions seront organisées par des intelligences artificielles et l’on communiquera à distance grâce à la réalité mixte. Tour d’horizon des tendances qui s’apprêtent à transformer le monde professionnel.
La transformation digitale est intrinsèquement liée à des moyens. Faute d’être porteuse de sens, elle ne fédère ni les collaborateurs, ni les parties prenantes, ni les clients.
Chaque semaine, l’équipe Framalang vous propose la traduction d’un chapitre de Roads and Bridges de Nadia Eghbal, une enquête fouillée qui explore les problématiques des infrastructures numériques, et en particulier leur intrication avec l’écosystème open source.
Après avoir exploré dans le précédent chapitre différents types de modèles économiques adaptés aux projets open source (retrouvez ici tous les chapitres antérieurs), l’auteure examine ici les cas de projets s’appuyant sur les dons ou le mécénat : du financement participatif au soutien institutionnalisé d’une entreprise, elle analyse les avantages et les limites de chaque solution, et livre les témoignages de nombreux porteurs de projets ou contributeurs qui relatent leur expérience au cœur de projets aussi divers qu’OpenSSL, jQuery ou encore Node.js.
Après avoir exploré dans le précédent chapitre différents types de modèles économiques adaptés aux projets open source (retrouvez ici tous les chapitres antérieurs), l’auteure examine ici les cas de projets s’appuyant sur les dons ou le mécénat : du financement participatif au soutien institutionnalisé d’une entreprise, elle analyse les avantages et les limites de chaque solution, et livre les témoignages de nombreux porteurs de projets ou contributeurs qui relatent leur expérience au cœur de projets aussi divers qu’OpenSSL, jQuery ou encore Node.js.