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GAFAM
L’équipe du projet Tor, ce réseaux anonyme et décentralisé, travaille actuellement sur un projet de smartphone ultra-sécurisé. Basé sur le système CopperheadOS, un Android modifié, il sera totalement indépendant des services de Google. En effet, les membres de Tor trouvent, et ce n’est pas faux du tout à mon humble avis, que même si Android est censé être libre, tous les services de Google nous envahissent, nous espionnent et lui font perdre une grande part de liberté.
C’est donc dans le but de redonner de la liberté à l’utilisateur et un vrai contrôle sur son système que « Mission Improbable » a été lancé. Et c’est une très bonne chose, un vrai projet utile à soutenir ! Ce n’est pour le moment que le tout début du projet, en version bêta et uniquement disponible pour les Nexus et Pixel.
C’est donc dans le but de redonner de la liberté à l’utilisateur et un vrai contrôle sur son système que « Mission Improbable » a été lancé. Et c’est une très bonne chose, un vrai projet utile à soutenir ! Ce n’est pour le moment que le tout début du projet, en version bêta et uniquement disponible pour les Nexus et Pixel.
L'IA de Google est désormais capable de traduire deux langues en se basant simplement sur une troisième connaissance commune, grâce à la méthode « Zero-Shot ».
Cet article vise à clarifier la position de Framasoft, sollicitée à plusieurs reprises par le Ministère de l’Éducation Nationale ces derniers mois. Malgré notre indignation, il ne s’agit pas de claquer la porte, mais au contraire d’en ouvrir d’autres vers des acteurs qui nous semblent plus sincères dans leur choix du libre et ne souhaitent pas se cacher derrière une « neutralité et égalité de traitement » complètement biaisée par l’entrisme de Google, Apple ou Microsoft au sein de l’institution.
Les googlers anglais et des chercheurs de l'Université d'Oxford ont exposé Google DeepMind à des milliers d'heures de télévision afin que l'IA apprennent à lire sur les lèvres.
J’ai supprimé mon compte Twitter et ma page Facebook. Pas de quoi en faire un plat, c’est un non-évènement. Après avoir longuement parlé ici et là des dérives des réseaux sociaux, je ne fais que sauter (enfin) le pas. C’est une question de cohérence.
Tor est en train de développer un téléphone ultra-sécurisé pour lutter contre la politique poursuivie par Google sur Android.
Tor est en train de développer un smartphone Android très avancé en matière de confidentialité et de sécurité pour l’utilisateur.
Le projet, nommé « Mission Improbable », est conçu par le développeur Mike Perry. En s’appuyant principalement sur le système d’exploitation Copperhead, Perry a conçu un processus d’installation de différents logiciels et d’applications — notamment Orbot, Orwall et SuperUser — capables de corriger au mieux les problèmes de sécurité d’Android.
Tor est en train de développer un smartphone Android très avancé en matière de confidentialité et de sécurité pour l’utilisateur.
Le projet, nommé « Mission Improbable », est conçu par le développeur Mike Perry. En s’appuyant principalement sur le système d’exploitation Copperhead, Perry a conçu un processus d’installation de différents logiciels et d’applications — notamment Orbot, Orwall et SuperUser — capables de corriger au mieux les problèmes de sécurité d’Android.
J'ai le plaisir de vous présenter la dernière mise à jour des cahiers du débutant sur Debian, qui sera la dernière version pour Debian Jessie.
Les changements
Ajout de nouvelles sections :
la gestion des utilisateurs ,
les backports avec l'exemple LibreOffice,
les dépôts externes avec l'exemple Firefox et les dépôts Mozilla .
Ajout de sites dans l'annuaire :
CHATONS https://chatons.org/
gafam.fr http://gafam.fr/
Mise en forme générale :
uniformisation des liens internes,
ajout d'encarts d'astuces plus identifiables,
uniformisation des images.
Et bien sûr; l'arrivée des dessins de Péhä qui mettent enfin de la vie dans ces cahiers
Les changements
Ajout de nouvelles sections :
la gestion des utilisateurs ,
les backports avec l'exemple LibreOffice,
les dépôts externes avec l'exemple Firefox et les dépôts Mozilla .
Ajout de sites dans l'annuaire :
CHATONS https://chatons.org/
gafam.fr http://gafam.fr/
Mise en forme générale :
uniformisation des liens internes,
ajout d'encarts d'astuces plus identifiables,
uniformisation des images.
Et bien sûr; l'arrivée des dessins de Péhä qui mettent enfin de la vie dans ces cahiers
ReactOS est un système d’exploitation open source qui s’efforce de fournir un environnement binairement compatible avec le système d’exploitation Microsoft Windows. Le projet ReactOS a publié sa quatrième version de 2016 avec ReactOS 0.4.3. La nouvelle version inclut des améliorations à la bibliothèque winsock et offre un meilleur support pour les logiciels de l’ère DOS, y compris les jeux. « Le projet ReactOS a le plaisir d’annoncer la sortie d’une nouvelle mise à jour incrémentielle, la version 0.4.3. Ce serait la quatrième version de ce projet lancée cette année, une indication que nous espérons des progrès constants de ce que nous avons réalisé. A peu près 342 problèmes résolus depuis la sortie de 0.4.2, avec la plus ancienne remontant à l’année 2006 impliquant l’alignement du texte. Notable dans ce communiqué est le passage à une nouvelle bibliothèque winsock qui avait été lancée il y a plusieurs années par Alex Ionescu et importée par Ged Murphy. Des informations supplémentaires sur ReactOS 0.4.3 peuvent être trouvées dans l’annonce de sortie du projet. ReactOS est disponible en tant que disque live ou support d’installation.
En rejoignant la Linux Foundation, Microsoft marque d'une nouvelle pierre son engagement récent pour le logiciel open source. Qui l'eût cru ?
Lancée début 2015 aux USA, l'application YouTube Kids arrive en France avec nombre de réglages pour le contrôle parental et une expérience limitée au visionnage uniquement.
Le lanceur d'alerte s'est exprimé, par visioconférence, sur la polémique entourant les fausses actualités partagées sur Facebook. Snowden appelle notamment à développer des alternatives aux plateformes dominantes (Google, Facebook, Twitter).
Microsoft propose désormais aux internautes d'utiliser les fonctionnalités de base de Skype sans avoir besoin de compte.
Le M de GAFAM se retrouve décidément à tous les étages de nos ministères… on avait déjà évoqué celui de l’Éducation Nationale. À quel moment exactement va-t-on finir par considérer que c’est un problème ?
Le séisme de l’élection de Donald Trump aux Etats-Unis est d’autant plus fort que personne n’avait vraiment prévu un tel résultat. Jusqu’à la veille au soir, les sondeurs et prévisionnistes étaient confiants dans la victoire démocrate. Or, la réalité ne s’est pas conformée aux données. Que s’est-il passé et qu’est-ce que cela signifie ? Retour sur les 5 défis que l’élection de Trump a adressé aux nouvelles technologies.
L’extraction et l’analyse des données massives représente l’Eldorado des modèles économiques d’Internet. Pour une grande partie, ces données proviennent de chacun d’entre nous. Profilage, surveillance, contrôle : en utilisant une foule de services et de produits, gratuits ou payants, nous dévoilons toujours un peu plus nos intimités numériques.
Aujourd’hui, pouvons-nous encore contrôler nos données ? Est-ce à l’État ou aux citoyens de construire et défendre leurs souverainetés numériques ? Le logiciel libre permet-il de nous rendre autonomes et d’utiliser des outils respectueux de nos données personnelles ? Les réponses à ces questions sont parfois contradictoires.
Dans cet ouvrage, Tristan NITOT et Nina CERCY donnent la parole à plusieurs acteurs impliqués aujourd’hui dans le paysage numérique. Leurs arguments sont forts, issus de plusieurs points de vue. Une préoccupation principale : la confiance.
Aujourd’hui, pouvons-nous encore contrôler nos données ? Est-ce à l’État ou aux citoyens de construire et défendre leurs souverainetés numériques ? Le logiciel libre permet-il de nous rendre autonomes et d’utiliser des outils respectueux de nos données personnelles ? Les réponses à ces questions sont parfois contradictoires.
Dans cet ouvrage, Tristan NITOT et Nina CERCY donnent la parole à plusieurs acteurs impliqués aujourd’hui dans le paysage numérique. Leurs arguments sont forts, issus de plusieurs points de vue. Une préoccupation principale : la confiance.
« Surveillance://. Les libertés au défi du numérique : comprendre et agir » / Tristan Nitot.- Caen : C&F Éditions, septembre 2016
Analyse à paraître dans la revue I2D Information, Données & Documents
« Souriez, vous êtes filmés ! ». Qui ne connaît pas cette phrase transposée ici aux réseaux informatiques : « vous êtes surveillés ». Que Google et les autres suivent en permanence les multiples traces laissées lorsque nous consultons l’Internet, nous le savions. Avec Tristan Nitot, nous découvrons bien d’autres aspects non connus nécessairement de tous.
Analyse à paraître dans la revue I2D Information, Données & Documents
« Souriez, vous êtes filmés ! ». Qui ne connaît pas cette phrase transposée ici aux réseaux informatiques : « vous êtes surveillés ». Que Google et les autres suivent en permanence les multiples traces laissées lorsque nous consultons l’Internet, nous le savions. Avec Tristan Nitot, nous découvrons bien d’autres aspects non connus nécessairement de tous.
Cette semaine, Tim Berners‐Lee est appelé à se prononcer sur l’adoption de la gestion numérique des droits (plus connue sous le nom de DRM) dans HTML 5. La Free Software Foundation a donc lancé une pétition pour convaincre l’actuel président du W3C de dire enfin non.
Petit historique…
Tim Berners‐Lee, surnommé Timbl, est le principal inventeur du Web, ainsi que le fondateur et président du World Wide Web Consortium dit W3C, organisme de standardisation du Web.
Le W3C regroupe plusieurs centaines d’entreprises partenaires. Parmi elles, Apple, Google, Microsoft et Netflix proposent en 2013, le développement des Encrypted Media Extensions (EME), un système de menottes numériques pour le Web. Tim Berners‐Lee et son équipe acceptent cette proposition, suscitant de vives critiques du grand public comme de professionnels.
… et gros remous
Fondamentalement opposée aux DRM, la Free Software Fondation dispose d’un portail d’information militant dans ce sens : Defective by Design (« défectueux par conception ») et lance une pétition anti‐EME.
Petit historique…
Tim Berners‐Lee, surnommé Timbl, est le principal inventeur du Web, ainsi que le fondateur et président du World Wide Web Consortium dit W3C, organisme de standardisation du Web.
Le W3C regroupe plusieurs centaines d’entreprises partenaires. Parmi elles, Apple, Google, Microsoft et Netflix proposent en 2013, le développement des Encrypted Media Extensions (EME), un système de menottes numériques pour le Web. Tim Berners‐Lee et son équipe acceptent cette proposition, suscitant de vives critiques du grand public comme de professionnels.
… et gros remous
Fondamentalement opposée aux DRM, la Free Software Fondation dispose d’un portail d’information militant dans ce sens : Defective by Design (« défectueux par conception ») et lance une pétition anti‐EME.
Le collectif Edunathon, créé en 2016 à la suite de l’accord entre l’Éducation Nationale et Microsoft, vient de saisir la CNIL. L’enjeu ? Les données personnelles récoltées ainsi que leurs usages dans le cadre d’une expérimentation avec élèves et professeurs. Car rien ne semble vraiment précisé dans cet accord et la « charte de confiance » n’a peut-être même pas été mise en place. C’est donc dans un but de transparence que le collectif souhaite demander son avis à la CNIL ainsi qu’au Ministère.
De plus, enfermer l’Éducation dans des logiciels privateurs alors que des alternatives libres existent est vraiment une mauvaise chose, bien évidemment.
De plus, enfermer l’Éducation dans des logiciels privateurs alors que des alternatives libres existent est vraiment une mauvaise chose, bien évidemment.
Le site BFM business a eu connaissance d'une lettre interne de Mme la ministre de la Culture et de la Communication, Audrey Azoulay, destinée au personnel de son ministère, signifiant, entre autres, sa volonté d'investir deux millions d'euros « pour améliorer la bureautique et les systèmes d'information relatifs aux ressources humaines pour qu'enfin, tout le monde travaille avec les mêmes logiciels ».
Cette intention est parfaitement légitime et louable : une telle enveloppe, en partie investie dans un projet collaboratif et libre tel que LibreOffice, quatre ans après la circulaire du Premier ministre Jean-Marc Ayrault sur l'usage des logiciels libres et un mois après la promulgation d'une loi « encourageant » l'usage du logiciel libre, serait une décision raisonnable, avisée et cohérente.
Seulement, selon la source de BFM business, le choix du ministère de la Culture serait de basculer l'ensemble de la bureautique sous Microsoft Office.
Cette intention est parfaitement légitime et louable : une telle enveloppe, en partie investie dans un projet collaboratif et libre tel que LibreOffice, quatre ans après la circulaire du Premier ministre Jean-Marc Ayrault sur l'usage des logiciels libres et un mois après la promulgation d'une loi « encourageant » l'usage du logiciel libre, serait une décision raisonnable, avisée et cohérente.
Seulement, selon la source de BFM business, le choix du ministère de la Culture serait de basculer l'ensemble de la bureautique sous Microsoft Office.
Microsoft Office : la facture à 2 millions d'euros du Ministère de la Culture - Politique - Numerama
Le ministère de la culture est décidé à basculer l'ensemble de son environnement informatique sous Microsoft Office, au détriment des suites bureautiques libres. C'est ce que révèle un courrier. Facture attendue : 2 millions d'euros.