14046 shaares
44 results
tagged
CNIL
La Commission nationale de l'informatique et des libertés diffuse un rappel sur les conditions d’application de l'authentification biométrique sur les smartphones, une méthode d'accès controversée qui tend à se démocratiser.
Cet outil vous aide à construire un mot de passe fort et simple à retenir.
Aucun mot de passe n'est récupéré par le site de la CNIL.
Aucun mot de passe n'est récupéré par le site de la CNIL.
Le conseil n’est pas nouveau, la sécurité des comptes utilisateurs passe d’abord (mais pas seulement) par l’utilisation de mots de passe forts.
Ainsi, plusieurs « règles » permettent de déterminer ce qu’est un mot de passe fort, par exemple :
Le mot de passe doit faire plus de dix caractères
Le mot de passe doit comporter des caractères minuscules, majuscules, spéciaux et des chiffres
Le mot de passe ne doit pas être intelligible.
En ce sens, une « astuce » est souvent utilisée, l’utilisation d’une phrase facile à retenir telle que « J’ai un très bon mot de passe ! » qui se traduire par « J1TBm2p! »
Pour aider les utilisateurs, et notamment les particuliers, à construire leurs mots de passe, la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Liberté) a récemment mis en ligne un nouvel outil : Générer un mot de passe solide
Ainsi, plusieurs « règles » permettent de déterminer ce qu’est un mot de passe fort, par exemple :
Le mot de passe doit faire plus de dix caractères
Le mot de passe doit comporter des caractères minuscules, majuscules, spéciaux et des chiffres
Le mot de passe ne doit pas être intelligible.
En ce sens, une « astuce » est souvent utilisée, l’utilisation d’une phrase facile à retenir telle que « J’ai un très bon mot de passe ! » qui se traduire par « J1TBm2p! »
Pour aider les utilisateurs, et notamment les particuliers, à construire leurs mots de passe, la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Liberté) a récemment mis en ligne un nouvel outil : Générer un mot de passe solide
Alors que l’accès à de nombreux services est conditionné à l’utilisation de mots de passe, et dans un contexte de menace accrue sur la sécurité des données, la CNIL adopte une recommandation sur les mots de passe pour garantir un niveau de sécurité minimal en la matière. Elle met également des outils pratiques à disposition des professionnels et des particuliers.
La majorité des internautes n'a pas encore pris l'habitude de créer des mots de passe respectant un minimum les recommandations en matière de sécurité informatique. Une situation qui préoccupe la Cnil.
Créée en 1978, La CNIL (Commission nationale informatique et libertés) est l’autorité française de contrôle en matière de protection des données personnelles. 192 agents assurent des missions d’information, protection, conseil, contrôle en matière d’utilisation des données personnelles. La loi dite « Informatique et libertés » promulguée le 6 janvier 1978 a été maintes fois réformée. la dernière modification date du 18 novembre 2016.
Il est désormais possible de porter plainte en ligne à la CNIL en cas d’atteinte au droit à l’image, d’utilisation abusive de données personnelles. Il s’agit là de protéger la vie privée des citoyens.
Il est désormais possible de porter plainte en ligne à la CNIL en cas d’atteinte au droit à l’image, d’utilisation abusive de données personnelles. Il s’agit là de protéger la vie privée des citoyens.
Au Sénat, une proposition de loi porte sur la création d'une sorte de défenseur des droits, nommé au sein de la CNIL, qui aurait pour mission de dire si un contenu publié sur Internet est licite ou pas.
Le collectif Edunathon, créé en 2016 à la suite de l’accord entre l’Éducation Nationale et Microsoft, vient de saisir la CNIL. L’enjeu ? Les données personnelles récoltées ainsi que leurs usages dans le cadre d’une expérimentation avec élèves et professeurs. Car rien ne semble vraiment précisé dans cet accord et la « charte de confiance » n’a peut-être même pas été mise en place. C’est donc dans un but de transparence que le collectif souhaite demander son avis à la CNIL ainsi qu’au Ministère.
De plus, enfermer l’Éducation dans des logiciels privateurs alors que des alternatives libres existent est vraiment une mauvaise chose, bien évidemment.
De plus, enfermer l’Éducation dans des logiciels privateurs alors que des alternatives libres existent est vraiment une mauvaise chose, bien évidemment.
L'affaire des redirections qui ont affecté les clients d'Orange le 17 octobre rebondit à l'Assemblée nationale avec une question écrite du député Lionel Tardy qui réclame des éclaircissements au ministère de l'intérieur.
L'identité biométrique de 60 millions de Français réunie dans un seul fichier - Politique - Numerama
Le gouvernement a fait publier un décret qui donne le coup d'envoi à la création d’un fichier national qui rassemblera les données personnelles et biométriques de la quasi totalité des Français.
Les Cnil européennes ont demandé à Yahoo d'expliquer en quoi, selon lui, le programme installé sur son service Yahoo Mail qui permettait de transférer automatiquement certains messages aux services de renseignement américains était conforme au droit européen.
Le G29, qui réunit les Cnil européennes, a publié une lettre ouverte adressée à WhatsApp, pour lui demander de ne pas procéder pour l'instant au partage des données personnelles de ses utilisateurs avec Facebook, qui l'a racheté il y a deux ans. Elles estiment que le consentement des internautes concerné n'est probablement pas valide.
Le ministre de l'intérieur rencontre ce mardi son homologue allemand pour parler de la question du chiffrement des communications. Un sujet qui inquiète aussi bien le conseil national du numérique et la Cnil Ils mettent en garde Bernard Cazeneuve dans une tribune.
Facebook a répondu à la CNIL, qui lui a posé une série de questions concernant divers aspects de son fonctionnement. L'autorité administrative s'interroge sur la comptabilité de ces mécanismes avec la législation française.
Le groupe G29, qui rassemble toutes les Cnil de l'Union européenne, a prévenu mardi qu'elle avait toujours des réserves face au Privacy Shield adopté ce mois-ci par la Commission européenne. Son statut juridique est plus que jamais fragile.
La Cnil met en demeure Microsoft pour que la firme de Redmond mette fin d'ici trois mois à des traitements illicites de données personnelles dans Windows 10. L'autorité exige notamment que la publicité ne soit plus ciblée par défaut, mais par choix de l'utilisateur.
Mise à jour du 11 juillet 2016 : Le vendredi 8 juillet, les États membres ont approuvé la décision d'adéquation et ont ainsi ouvert la voie à l'adoption du Privacy Shield par la Commission européenne qui doit avoir lieu mardi 12 juillet. La Quadrature du Net ne peut que déplorer cette précipitation qui a forcé les États membres à analyser et à adopter le texte en seulement une semaine et ce alors même que les CNIL européeennes ne se réuniront que le 25 juillet pour évaluer si leurs attentes et leurs réserves ont été prises en compte.
Paris, le 8 juillet 2016 — Aujourd'hui, 8 juillet 2016, les États membres de l'Union européenne, réunis dans ce qu'on appelle le « comité de l'article 31 », devront se prononcer sur l'adoption de la décision d'adéquation qui encadrera les échanges de données personnelles entre les États-Unis et l'Union européenne : le Privacy Shield. Cette décision, adoptée dans la plus grande précipitation, ne répond pas aux inquiétudes exprimées ces dernières semaines à tour de rôle par le groupe des CNIL européennes, le Parlement européen et différents gouvernements européens, ainsi que par les associations de défense des droits.
(...)
Le projet de Privacy Shield, préparé et imposé dans la précipitation par la Commission européenne et le département du Commerce américain, ne présente pas les garanties suffisantes pour la protection de la vie privée des Européens. Il passe sciemment à côté du cœur de l'arrêt de la CJUE invalidant le Safe Harbor : la surveillance massive exercée via les collectes de données des utilisateurs. Les gouvernements européens et les autorités de protection des données doivent donc absolument refuser cet accord, et travailler à une réglementation qui protège réellement les droits fondamentaux. Les nécessités d'accord juridique pour les entreprises ayant fait de l'exploitation des données personnelles leur modèle économique ne peuvent servir de justification à une braderie sordide de la vie privée de dizaines de millions d'internautes européens.
Paris, le 8 juillet 2016 — Aujourd'hui, 8 juillet 2016, les États membres de l'Union européenne, réunis dans ce qu'on appelle le « comité de l'article 31 », devront se prononcer sur l'adoption de la décision d'adéquation qui encadrera les échanges de données personnelles entre les États-Unis et l'Union européenne : le Privacy Shield. Cette décision, adoptée dans la plus grande précipitation, ne répond pas aux inquiétudes exprimées ces dernières semaines à tour de rôle par le groupe des CNIL européennes, le Parlement européen et différents gouvernements européens, ainsi que par les associations de défense des droits.
(...)
Le projet de Privacy Shield, préparé et imposé dans la précipitation par la Commission européenne et le département du Commerce américain, ne présente pas les garanties suffisantes pour la protection de la vie privée des Européens. Il passe sciemment à côté du cœur de l'arrêt de la CJUE invalidant le Safe Harbor : la surveillance massive exercée via les collectes de données des utilisateurs. Les gouvernements européens et les autorités de protection des données doivent donc absolument refuser cet accord, et travailler à une réglementation qui protège réellement les droits fondamentaux. Les nécessités d'accord juridique pour les entreprises ayant fait de l'exploitation des données personnelles leur modèle économique ne peuvent servir de justification à une braderie sordide de la vie privée de dizaines de millions d'internautes européens.
La Commission européenne devrait finaliser mercredi le texte du Privacy Shield négocié avec les États-Unis, qui autorisera de nouveau les entreprises à exporter des données personnelles d'Européens vers les USA sans grandes formalités.
La Cnil irlandaise a demandé à la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) de dire si Facebook pouvait utiliser les clauses contractuelles types pour continuer à exporter des données personnelles d'Européens vers les USA, malgré l'annulation du Safe Harbor.
Google a annoncé jeudi qu'il faisait appel de sa condamnation par la Cnil, qui lui reproche une mauvaise application du droit à l'oubli. Mais les arguments publics de Google déforment les termes du débat.